Avec banjo, mandoline, guitare, percussions et accordéon qui s'allient au souffle du saxophone, du bugle et du tuba, Mazalda parcourt le folklore mondial des musiques à danser avec une énergie et un sens du détournement. Le groupe enchaîne air traditionnel chinois, chanson napolitaine déchirante ou reprise de "Johnny guitar" sans perdre son âme.
Mazalda en concert
Mazalda : l'historique des concerts
Sa.
20
Nov.
2021
Ve.
29
Nov.
2019
Ve.
13
Sept.
2019
Di.
02
Juin
2019
Les Chais Magelis - Angoulême (16)
Sa.
01
Juin
2019
Sa.
24
Nov.
2018
Ve.
13
Avril
2018
Je.
05
Avril
2018
Mazalda : les dernières chroniques concerts 2 avis
Babel Med Jour 2
Mazalda Turbo Clap Pas déçu de la scène originale posée en extérieur rue Urbain 5 et proposée par le concept du groupe Mazalda Turbo Clap : une cinquantaine de longs haut parleurs gris metal fixés au dessus de la scène en forme de porte voix sont balayées aléatoirement de face par un éclairage blanc, effet festif garanti. Le chanteur s'enflamme à nous encourager comme un chef de manif sur .Tropical Cops, type chant rai de minaret, réverb en plus.C'est du Gros P-Funk survitaminé en rythmique basse batterie surboosté au sousaphone. Ca passe direct dans les reins, déjà impossible de tenir en place là dessus. Le groupe déploie toute son armada d'instrus Orgue farisa, pipeau, synthés pour un départ sur la planète psychédélique. C'est joué à toute vitesse et complètement délirant. Sous quel soleil est-on? L'équateur, l'orient, l'inde?La chaleur est là, la joie en prime avec l'Ewi joué caché sous l'écharpe qui renforce le trait drôle de l'ambiance.Triturage électronique du son, refrain qui se reprend en coeur, castagnettes, bouzouki électrifié, synthé qui cogite, mini gong,développement instrumental transitifs, percutions bois (briquettes tapées en rythme) ,souffle synthétique, trompette espagnole, re-refrain, ça rend accro! Un merci et ca... Lire la suite
Luberon Jazz Festival : Mazalda Turbo Clap Station (+ Megamegaphone)
Des conditions climatiques critiques m'avaient fait renoncer la veille à parcourir les quelques dizaines de kilomètres qui me séparent d'Apt. Le programme était pourtant alléchant pour cette antépénultième journée du Luberon Jazz Festival : Akosh S. & Gildas Etevenard puis Enrico Rava. Le temps est toujours plus que maussade en ce samedi après-midi. Etait prévue une balade musicale faisant intervenir dans les rues de la ville une cinquantaine de musiciens. Je ne vis qu'une douzaine de participants, ceux de la troupe de MégaMégaphone qui prenaient leur rôle d'ambianceur à cur tout en ne se prenant pas au sérieux. Dix mégaphones autour d'un sax soprano, d'un tuba et d'une grosse caisse pour seuls instruments, c'est un drôle de concept. Les passants s'approchent, des yeux s'écarquillent, des sourires apparaissent. On ne demandait sans doute pas plus à cette troupe, alors mission accomplie. En pénétrant dans la salle municipale, la curiosité est à nouveau suscitée mais par le décor cette fois : une multitude de haut-parleurs trompes donne à la scène un impressionnant cachet. Le Mazalda Turbo Clap Station n'a pas que le nom d'énigmatique, on a hâte de voir le groupe évoluer au cur d'une telle installation. Ils... Lire la suite