Signé sur le label de Thee Oh Sees, Castleface, Meatbodies est un groupe américain de rock garage complètement hystérique... Le surexcité combo est composé de Chad Ubovich, Patrick Nolan et Kevin Boog. Chad Ubovich joue de la basse dans le groupe de Ty Segall, Fuzz.
Meatbodies en concert
Meatbodies : l'historique des concerts
Sa.
17
Août
2024
Fort de Saint Père - Saint Père Marc en Poulet (35)
Ve.
28
Juillet
2023
Sur les Quais - Binic (22)
Me.
12
Juillet
2023
Square Dom Bedos - Bordeaux (33)
Sa.
08
Juillet
2023
Ile du Gaou - Six-Fours-les-Plages (83)
Sa.
03
Sept.
2022
Lu.
29
Août
2022
Je.
25
Août
2022
Square Dom Bedos - Bordeaux (33)
Me.
24
Août
2022
Meatbodies : les dernières chroniques concerts 7 avis
Viagra Boys, Kevin Morby, Meatbodies, Billy Nomates, Jul Gacio, Benefits (Pointu Festival - jour 2)
Critique écrite le 16 juillet 2023, par Pirlouiiiit
Presqu'ile du Gaou, Six Fours les Plages 08 juillet 2023
Déjà 8 ans que ce festival, qui a pris la suite des Voix Du Gaou, existe et je n'y avais encore jamais mis les pieds. Ce n'est pas faute d'avoir voulu ; je me souviens m'être sincèrement posé la question en 2017 pour Dinosaur Junior ou en 2018 pour Sleaford Mods, mais sans voiture trop loin et compliqué. Un peu comme le Festival de Nîmes. Bref cela fait donc 13 ans (voir chronique par ici) que je n'ai pas mis les pieds sur la presqu'île du Gaou pour un concert, presqu'île où j'ai quand même vu Motorhead en 2009 (voir chronique par ici), la reformation des Pixies en 2006 (voir chronique par ici), Massive Attack en 2006 (voir chronique par ici), ou encore Iggy and the Stooges en 2005 (voir chronique par ici). Cette année je suis là pour les Viagra Boys dont les clips (c'est rare que je découvre un groupe par ce biais) m'ont vraiment conquis.Après m'avoir fait croire qu'ils avaient des places pour Mylène Farmer c'est donc avec Yann et Soisick que je me rends au Brusc assez tôt pour tenter d'éviter les longues files d'attente dont j'ai entendu parler à propos de la soirée de la veille. En plus je veux être sûr d'être là pour accompagner Margaux qui doit interviewer les Viagra Boys justement. Svet qui devait être de la partie a renoncé pour... Lire la suite
(mes) Eurockéennes 2017, 1/2 : Thomas Azier, Johnny Mafia, Rei, HMLTD, Killason, Meatbodies, Explosions in the Sky, Dropkick Murphys, Vitalic, Justice
Critique écrite le 10 juillet 2017, par Philippe
Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert 8 juillet 2017
Devenir un vieil Eurockéen ? Ce n'est pas être vieux et aller encore au festival, non, c'est juste faire le constat que d'y aller pour la 24 ième p...n d'année d'affilée, donne une curieuse correspondance avec l'âge moyen des Eurockéens d'aujourd'hui, qui doit être pas loin de 24 ans, justement. Fort heureusement, mes ami.e.s et moi-même ne sommes pas les seul.e.s à être fidèles (puisque les 3/4 du public y grandissent/vieillissent avec nous, en y revenant eux aussi). Pour tout dire, il y a même déjà plusieurs années que les plus grands enfants de notre petite bande nous y accompagnent ! En tout cas le petit miracle de pouvoir venir à Evette-Salbert retrouver notre cher festival une année de plus, depuis la lointaine Marseille, nous met en joie en 2017 comme à chaque fois. Cette année les organisateurs ont souhaité programmer les concerts sur 4 jours : c'est sans doute lucratif mais pas vraiment compatible avec une vie de grande personne. Au moins les lycéens qui ont eu leur bac il y a quelques jours pourront-ils le fêter dignement ici ! En terme de notoriété des artistes, ça produit quand même un effet de dilution : pas vraiment d'énormes têtes d'affiche à regretter ces jeudi et vendredi en ce qui nous concerne, à part quand même... Lire la suite
Meatbodies + Brain Zero
Critique écrite le 27 avril 2016, par Pierre Andrieu
La Coopérative de Mai, Clermont-Ferrand 14 avril 2016
Éparpillé par petits bouts façon puzzle, voilà dans quel lamentable état nous a mis le méchant concert à la Coopé des malades de Meatbodies, le groupe de Chad Ubovich (aka le bassiste/chanteur jouant en toge avec chaussettes apparentes du groupe heavy rock de Ty Segall, Fuzz)... Brain Zero La soirée "rock garage bien énervé de la disto" commence avec une belle mise en jambe apéritive signée Brain Zero, un jeune groupe local déjà vu moult fois et qui progresse à chaque sortie. Le trio clermontois est clairement influencé par Ty S. et s'en inspire intelligemment pour une belle série de titres qui claquent sévère. Le chanteur/guitariste à mèche arborant un t-shirt... Ty Segall Band gueule souvent comme un putois qu'on égorge, façon hardcore à la Refused, voire à la Saint Jay Reatard (trop tôt parti au paradis des jusqu'au-boutistes du rock 'n roll). Brain Zero conclut d'ailleurs son set assez percutant (seul un ou deux morceaux paraissent dispensables) avec une bonne reprise de My Shadow, l'un des tubes de l'auteur du prémonitoire album Watch Me fall. A suivre... Meatbodies Dès le premier riff de gratte bien gras de Chad Ubovich, on se fait violemment électrocuter par le son jouissivement extrémiste des quatre... Lire la suite
The Pleasures + Qúetzal Snåkes + Meatbodies
Soirée de rock très très copieuse au Poste à Galène ce mardi-là : trois groupes s'enchaînent sans temps mort et dans des styles suffisamment variés pour éviter tout essoufflement du public, un public bien garni en l'occurrence ! En première partie The Pleasures, nouveau groupe ultraconsanguin puisque composé des bien connus Pascal, Miguel, Stéphane, Patrick, autrement dit d'ex-Aggravation, Ich Bin Dead, Technicolor Hobo, Neurotic Swingers, pour ne citer qu'une référence par musicien (mais on doit pouvoir arriver à 15 groupes, sans forcer...). Ils ont du métier, c'est sûr, on se demande quand même pendant un moment ce qui va pouvoir faire la plus-value de cet énième groupe de rock un peu pépère, d'autant qu'ils paraissent d'abord un peu sur la réserve (ça peut se comprendre, pour un premier show devant une salle pleine de potes et de chroniqueurs vicelards...), mis à part Pascal dont le jeu de scène outrancier est toujours plaisant à voir. Fort heureusement, ils prennent confiance au moment où leurs titres se musclent (dans la deuxième moitié du set) et deviennent un poil plus originaux : mélodies et breaks se font plus accrocheurs, on oublie l'absence de basse quand une troisième gratte apparaît, on dirait même que Miguel le... Lire la suite