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Jeudi 21 novembre 2024 : 6751 concerts, 27228 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.


Les pop songs oniriques et psychédéliques du groupe américain Mercury Rev permettent de visiter des contrées inexplorées et de ressentir des sensations inédites, et ce sans prendre de drogues. Un véritable trip sur scène et sur disque ! Le combo emmené par Jonathan Donahue a décidé de rejouer son chef d'œuvre Deserter's Songs en live en 2018, pour fêter les vingt ans de sa sortie. A consulter, une interview de Mercury Rev datant de 2002...

Mercury Rev : vos chroniques d'albums
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Mercury Rev en concert

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Mercury Rev : l'historique des concerts

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Nicole Atkins en concert
Mercury Rev, Nicole Atkins Mercury Rev | Nicole Atkins
Botanique - Bruxelles (B)

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Festival Primavera Sound en concert
Primavera Sound 2011 : Deakin, My Teenage Stride, Bmx Bandits, Mercury Rev Perform Deserter's Songs, Me And The Bees, The Vaccines, Ariel Pink Festival Primavera Sound | Mercury Rev | The Vaccines | Ariel Pink
Poble Espanol - Barcelone (Espagne)

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Low en concert
Mercury Rev Joue Deserters's Songs + Low Low | Mercury Rev
Bataclan - Paris 11ème (75)

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Les Nuits Du Botanique en concert
Mercury Rev "deserter's Songs" + The Walkmen Les Nuits Du Botanique | Mercury Rev | The Walkmen
Cirque Royale - Bruxelles (B)

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Mercury Rev : les dernières chroniques concerts 18 avis

Mercury Rev

Critique écrite le 27 septembre 2018, par Samuel C

Alhambra - Paris 25 septembre 2018

Mercury Rev en concert

"Deserter's songs" est un des plus grands disques parus en 1998. 20 ans plus tard, Grasshopper et Jonathan Donahue, respectivement guitariste et chanteur de Mercury Rev, ont décidé de célébrer ce classique de la pop. Une dizaine de dates ont été programmées eu Europe en ce début d'automne, le groupe américain annonçant se produire en version acoustique. Comme le souligne le passionnant Donahue, très loquace entre les morceaux (il précisera qu'il déteste parler et plutôt enchaîner les titres les uns aux autres !), la genèse de "Deserter's songs" fut des plus ardues. En 1995-96, Mercury Rev était en panne d'inspiration. Ce fameux matin, où ils allaient se réveiller avec une idée géniale, n'arrivait pas. C'était alors leur dernière chance de graver un album marquant qui leur correspondait alors pleinement, après des années d'indie-rock underground. Quand on redécouvre "Deserter's songs"deux décennies plus tard, on ne peut qu'être admiratif du résultat magistral obtenu, même si l'on sait... Lire la suite

Mercury Rev plays ''Deserter's Song'' + Low

Critique écrite le 26 mai 2011, par Philippe

Bataclan, Paris 25 mai 2011

Mercury Rev plays ''Deserter's Song'' + Low en concert

Splendide concert au Bataclan, que celui de Mercury Rev, groupe rare en France qui nous avait fait l'honneur inespéré d'un concert visuellement sublime à l'Espace Julien de Marseille en 2005. Un show total dont le souvenir affectif est encore assez fort pour nous faire traverser la France à leur rencontre, 6 ans plus tard. Deux surprises à l'arrivée : la salle est en configuration assise (ça ne tiendra heureusement pas tout le concert), et elle est à moitié vide (elle se remplira à la fin de la première partie - à croire que les gens étaient mieux informés que nous ?). Le bal est en effet poussivement ouvert par Low, un groupe de pop lente qui se voudrait atmosphérique, dont les textes de chanson ne dépassent a priori pas 2 lignes : beaucoup de titres consistent à répéter à l'envi une phrase dans une lente progression, qui ne décolle jamais vraiment. On s'amuse d'imaginer l'équivalent en français, d'un groupe qui dirait 50 fois dans une chanson "Mon amour est gratuit" (My love is for free) ou "Bonbons et fleurs" (Sweets and flowers) : ils seraient ridicules et Low n'est pas loin de l'être... Dommage, parce que le duo de belles voix homme-femme fonctionne assez bien, mais le problème de paroles est aggravé de mélodies plutôt... Lire la suite

The Cure, Yo La Tengo, The Raveonettes, Great Lake Swimmers, Camille, !!!, The Polyphonic Spree, The Wedding Present, The National, Sébastien Shuller, Mus, The Organ, Art Brut, Alamo Race Track, Boom Bip, Maxïmo Park, Colder, Sonic Youth, Mercury Rev (La Route du Rock 2005)

Critique écrite le 28 décembre 2005, par Pierre Andrieu

Fort de Saint Père et Palais du Grand-Large, Saint-Malo 12 au 14 août 2005

The Cure, Yo La Tengo, The Raveonettes, Great Lake Swimmers, Camille, !!!, The Polyphonic Spree, The Wedding Present, The National, Sébastien Shuller, Mus, The Organ, Art Brut, Alamo Race Track, Boom Bip, Maxïmo Park, Colder, Sonic Youth, Mercury Rev (La Route du Rock 2005) en concert

Quinzième anniversaire réussi pour la Route du Rock. Fort de la plus belle affiche de l'été, la quinzième Route du Rock a permis d'offrir aux festivaliers ravis un panorama quasi complet de ce qui se fait de mieux actuellement en pop et rock (voire électro, mais dans une moindre mesure). Les slogans affichés sur les t-shirts 2005 du meilleur festival français de la catégorie pop - qui semblaient un peu trop aguicheurs avant le début des hostilités - étaient cette année "Pop is not dead" et "Sea, sex and rock 'n roll" ; ils se sont finalement révélés prémonitoires et furieusement tendance. La pop n'est toujours pas morte, c'est vrai, mais ça on s'en doutait quand même un peu... La plage de Saint-Malo est plus que jamais magique, avec son sable fin et sa vue imprenable sur les bikinis et autres strings ou top less, et si l'eau est un froide au début, quand on en ressort elle provoque instantanément des envies humides, voire lubriques. Hum, hum... Le rock 'n roll, quant à lui, est toujours la chose la plus réjouissante inventée par l'homme pour péter les plombs. La preuve ? Même les branchés têtes à claques, qui il n'y a pas si longtemps s'extasiaient sur le moindre DJ planqué derrière ses sinistres platines et dissertaient à n'en plus... Lire la suite

Mercury Rev

Critique écrite le 01 juin 2005, par Philippe

Espace Julien - Marseille 31 mai 2005

Mercury Rev en concert

Impossible de dire quoi que ce soit sur Black Fields (l'avant-groupe) : le jour de la Fête des Voisins, bête et discipliné, ben je bois l'apéro avec mes voisins, voilà ! D'autant que je ne pouvais pas laisser perdre les 3 litres de punch que je n'ai pas pu servir, la veille, au vernissage de l'excellente exposition de photos de concerts de Pirlouiiiit from LiveinMarseille, au bar le Tournez la Page rue St Pierre (à voir jusqu'au 30 juillet). Quoi qu'il en soit c'est raisonnablement guilleret, voire éméché, que j'aborde le concert dans une salle qui, à ma grande surprise, est loin d'être pleine ... y'a vraiment des styles de musique où le public de Marseille n'est pas à la hauteur de l'événement. Comment peut-on snober ainsi le premier passage des papes de la musique stratosphérique et planante que sont les Mercury Rev, seuls dignes héritiers de Pink Floyd, une musique qui donne envie de courir nu dans des champs de fraises pour toujours, alors que je serais allé les voir en rampant (nu, donc) jusqu'à Nîmes s'il le fallait ? Par contre les quelques 2 ou 300 personnes qui sont venues savent parfaitement pourquoi : c'est un véritable triomphe qui est réservé à Jonathan Donahue et sa bande des Castkill Mountains, dès la... Lire la suite

Mercury Rev : les chroniques d'albums

Mercury Rev : Snowflake Midnight / Strange Attractor

Chronique écrite le 02/12/2008, par Philippe

Mercury Rev : Snowflake Midnight / Strange Attractor

La première écoute de Snowflake Midnight, dernier de Mercury Rev, s'avère une expérience très déconcertante. Le groupe le plus flamboyant de la pop mélodique nous avait habitués à des titres riches en mélodies et en émotions, défendus lors de concerts sublimes et stratosphériques. Titres pourtant d'un grand classicisme, souvent symphoniques, ce qui faisait une partie du charme. Or ici tout semble balancé joyeusement cul par dessus tête ! Parmi les rares points de repère, la voix haut perchée du leader et son amour jamais démenti, quasi enfantin, pour les flocons de neige, les papillons, les jeunes filles et les fleurs - rappelons que Johathan Donahue est le seul chanteur qui puisse battre des ailes en chantant sans avoir l'air ridicule. Et toujours, il est vrai, des envolées d'un lyrisme totalement premier degré et charmant. Par contre, plus trace de ces mélodies académiques et splendides, idéales pour des rêves éveillés et endormis. Mais des rythmiques speed, des ruptures et des ponts étranges avec rires d'enfants énigmatiques (Butterfly's wing), qui semblent exprimer, en plus des psychotropes habituels, la prise en supplément d'amphétamines par le groupe : des passages déchaînés (Senses on fire), un groupe par moments totalement... Lire la suite

Mercury Rev : The Essential 1991-2006

Chronique écrite le 10/10/2006, par Pierre Andrieu

Mercury Rev : The Essential 1991-2006

La première (double) compilation offrant un panorama complet sur la carrière de Mercury Rev est essentielle, comme son nom l'indique : The Essential Mercury Rev. Le premier disque permet de constater la pertinence toujours intacte des titres majeurs du groupe, quelle que soit l'époque à laquelle ils ont été gravés et quelle que soit la formation du groupe. Les titres de pop panoramique du chef d'œuvre Deserter's songs (Goddess on a hiway, Opus 40 ou encore Holes ) sont bien évidemment en bonne place, mais l'auditeur trouvera également des titres (parfois sacrément bruitistes) de chaque album enregistré entre 1991 et 2006, avec des parties vocales façon Syd Barrett de David Baker (le très perturbé premier chanteur) et des interventions à la flûte de l'excellente Suzanne Thorpe. Un bonne occasion de découvrir toutes les facettes du trio basé dans les Catskills Mountains... Jonathan Donahue (chant sur le fil du rasoir), Grasshopper (guitares stratosphériques) et Jeff Mercel (claviers planants et batterie), les... Lire la suite

Mercury Rev : The Secret Migration

Chronique écrite le 25/01/2005, par Pierre Andrieu

Mercury Rev : The Secret Migration

Le concert magistral donné par Mercury Rev en première partie de Nick Cave à la mi novembre 2004 avait pleinement rassuré sur l'état de forme du groupe des Catskills Mountains. Malgré le peu de morceaux inédits joués, on savait déjà que le nouvel album risquait de nous accompagner pendant de longs mois. C'est donc (presque) sans surprise qu'on découvre en 2005 la toute dernière collection de pop songs - toujours aussi féeriques - signées Jonathan Donahue, Grasshopper et Jeff Mercel (avec l'apport précieux de Dave Fridmann à la production). Mercury Rev fait toujours du Mercury Rev, qui s'en plaindra après les réussites éclatantes de Deserter's songs et - à un degré légèrement moindre - de All is dream ? La voix de Jonathan Donahue est plus que jamais saisissante de beauté, les musiques, quant à elles, ont toujours ce côté évocateur presque magique grâce à la guitare tarabiscotée de Grasshopper, aux claviers... Lire la suite

Mercury Rev : ALL IS DREAM

Chronique écrite le 05/04/2002, par Pierre Andrieu

Mercury Rev : ALL IS DREAM

Ah, merde, cet album est trop beau. J'écrase une larme. Pourquoi tant de beauté ? Je pose la question ! Si vous avez aimé le précédent album de Mercury Rev, il vous faut "All is dream". Les mêmes ingrédients savoureux ont été utilisés : des compositions inspirées, des musiques psychédéliques, une production envoûtante signée Dave Fridmann, un chant donnant la chair de poule... Ce nouvel album est dans la même veine que "Deserter's songs" mais ce n'est pas un remake, c'est une suite. Ce groupe réussi à produire des comptines pour adultes absolument fascinantes. Les scies musicales, les soli de guitare hallucinants, la voix cristalline,... Lire la suite

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