Créé par un lad anglais, contrebassiste et chanteur, débarqué à Marseille, Mick Wigfall & the Toxics va retourner de joie les amateurs de rock'n'roll, de rockabilly et autres douceurs explosives des 60's. Qui à la fin de leur set hurleront avec eux : Baby, please don't go !
Born in south London, Mick WIGFALL started his bass-playing career at the age of 16. One of his first bands was with well known English psychobilly band Guanabatz. Then he went on to play with many other bands such as Imelda MAY, Paul ANSELL's Number 9, sonny WEST and The Rhythm kings...In 1994, Mick and Darrel formed Darrel HIGHAM and The Enforcers, then in 1996, Mick formed his own band Solid Smoke, in which he sang lead vocals and became a song writer. He took part in many major musical events, including TV and radio appearances, toured all over Europe and the USA. He also played on over 50 albums. He ran his own professional recording studio, SWEET GEORGIA BROWNS STUDIOS in north London from 1997 to 2005, where he recorded people such as Jeff BECK, Robert PLANT, Fat Boy Slim, Rocky BURNETTE,etc... and the soundtrack for the movie I'll be there (2003), a Hollywood production with Charlotte CHURCH. And now he is the lead singer and bassist in Mick WIGFALL and The TOXICS. Seb started to gig as a guitar player around 17. Studied Jazz for two years, played in several pop/rock bands (mainly cover bands) for years. First recording session with a band called Mojo, then joined Perez Trop Ska (ska/rock band) and recorded two albums with them. Nearly at the same time, joined punk/rock band Warrior Kids (three albums with them and still going on, touring in France and Europe). Also makes music on his own and sometimes writes for others. Influenced by everything that's good to his ears, from Robert Johnson to The Ramones and a lot more... "Anything that's R'n'R is fine" John KURIAC a.k.a Mister K,is a multi-instrumentalist player.He plays and produces a music influenced by the rock n roll, soul, blues or surf music.Mister K in also during eight years played within THE MOSQUITOES but also 142 B.STREET, DUB DEFECTORS, THE CADILLACS, AL BABAM,THE MYSTERY TRAIN, PHIL RIZA, RUMBLIN' TORNADOES.... He works since 1999 with the electronic music label L'OVNI TENDRE / BOURBAKI
Mick Wigfall & The Toxics en concert
Mick Wigfall & The Toxics : l'historique des concerts
Sa.
17
Août
2024
Le Molotov - Marseille (13)
Ve.
27
Mai
2022
Sa.
13
Oct.
2018
Maison Hantée - Marseille (13)
Ve.
12
Oct.
2018
Maison Hantée - Marseille (13)
Ve.
04
Nov.
2016
Sa.
28
Juin
2014
Le Molotov - Marseille (13)
Sa.
21
Déc.
2013
Crep des Lices - Toulon (83)
Ve.
20
Déc.
2013
Mick Wigfall & The Toxics : les dernières chroniques concerts 13 avis
Warrior Kids + Mick Wigfall & the Toxics
Un bel exemple de consanguinité entre groupes marseillais, ce soir-là (et comme déjà la veille) à la Maison Hantée, puisque 4 musiciens suffisent à faire 2 groupes de 3 ! Consanguinité non handicapante heureusement, puisque chacun des deux groupes est très bon dans son style. Le duo guitare-batterie était d'ailleurs la seule chose qui reliait vraiment les deux concerts, très différents par ailleurs. En prem's, les Warrior Kids, groupe historique de punk oï absolument mythique à Marseille... pour tout ce qui y portait un bomber dans les années '80 ! Logiquement je découvre donc leur existence ce soir. Si on reconnait facilement le public skinhead venu exprès, il n'y a en fait sur scène qu'un vrai looké tight et seul membre historique, Marc Russo, bassiste très carré de son état. Le batteur n'a que les cheveux courts et le guitariste, lui, arbore plutôt une chevelure de metalleux ! On imagine sans peine que l'histoire du groupe doit forcément être très liée à la mythique Maison Hantée. Bon, ils sont sympas et plein de blagues mais musicalement je n'aime pas tout : ça joue un peu fort et le punk oï chanté en français,... Lire la suite
Mick Wigfall and the Toxics + Keith Richards Overdose
Quand j'ai vu passer l'annonce de la date Mick Wigfall + Keith Richards Overdose au Molotov je n'ai pas hésité une seconde. Il y avait bien VENDETTATATATATA à l'Embobineuse, mais le Molotov c'était moins loin et je n'avais pas vu Mick depuis leur passage en ouverture des Meteors au Trolley Bus. De plus ayant raté le set de Laurent Boudin & les Crystaloves hier à la Machine à Coudre je me disais qu'en venant au Molotov j'avais une petite chance de faire coup double. Cela dit journée un peu plus longue que prévue et c'est le sms de Stefan ("Keith joue") qui me rappellera à l'ordre ... Le temps d'arriver en vélo au Molotov le set est déjà bien entamé (a priori Stefan a lui aussi du rater le début), ce dont je n'étais pas sûr en arrivant car il y avait pas mal de monde devant le Molotov. Une fois dedans je comprends, au moment où je me mets à dégouliner de sueur : il fait très chaud ! Sur scène les 4 membres de KRO ont d'ailleurs l'air d'accuser un peu le coup. Au fond le batteur souffle, devant le chanteur titube, pendant que sur les côtés guitariste et bassiste suent avec classe. Avec la chaleur ce que leur rock a peut-être perdu en énergie, il l'a gagné en paraissant encore plus poisseux que d'habitude ! Arrivé pendant the worst... Lire la suite
Marilyn & the Rocking Bombs + Darell Higham & The Enforcers
Ce vendredi soir au Molotov, c'est grand-messe rockabilly ! Le public ad hoc est donc de sortie, tous tatouages et mèches en avant : psycho, rocker, skin *, partant du trentenaire et jusqu'à des gens qui ont apparemment l'âge du rockabilly lui-même... La salle est remplie à ras-la-gueule et c'est bien agréable de revoir ainsi prospérer l'ex-Balthazar, qui offre en outre une carte de bières importées d'Albion, tout à fait passionnante à explorer et pour des prix très raisonnables. Compte-rendu succinct puisque non photographique (sauf si quelqu'un me vient en aide... ce qui n'arrive généralement pas). Première partie, Marilyn & The Rocking Bombs. Putain, une bonne photo m'aurait bien aidé quand même, donc j'en ai piqué une (le type de gauche était absent) : le look du groupe est absolument magnifique ! Le contrebassiste a une coupe de rocker gominé des 50's absolument parfaite avec une raie latérale tracée comme à la règle, et des lunettes Buddy Holly, le gretschiste (on ne dit pas guitariste bien sûr, dans ce style-là !) également gominé de frais ressemble à un garçon de ferme de la Bible Belt qui se serait fait beau pour l'église du dimanche. La chanteuse, toute mimi et gironde, porte robe et chapeaux tout à fait dans le même... Lire la suite
Festival Phocea Rocks : Thee Atom Brain + Mick Wigfall
Aujourd'hui, épisode 4 du Phocéa Rocks, avec La Rue du Rock et la soirée Sud Side. C'est l'heure de l'apéro, on se dirige tout d'abord rue Consolat qui a été investie pour l'occasion par différents groupes de la scène marseillaise....très bonne ambiance et on se régale à déambuler avec notre bière, on est dans l'esprit festival. Mais je laisse mes collègues vous raconter tout ça. Donc, migration vers la soirée Sud Side, on m'avait promis du rockers tatoués et un lieu hors norme....étant néo-marseillais, j'avais hâte de voir cette scène mythique de l'underground marseillais. Arrivée à la cité des arts de la rue, avec son bus qui trône à l'entrée, et découverte de l'atelier Sud Side, et là je tombe sous le charme de cet endroit incroyable et je comprends en discutant avec les habitués qu'ils ne veulent pas trop partager ce bien.....mais ce soir on ouvre les portes et on fait tous la fête ensemble! Les adeptes et non initiés arrivent tranquillement et se baladent et s'interloquent sur l'avion planté au milieu du hangar. Pour la musique, au programme, punk, garage et rockabilly avec tout d'abord le trio Thee Atom... Lire la suite
Mick Wigfall & The Toxics : les chroniques d'albums
Mick Wigfall & The Toxics : Mick Wigfall & The Toxics
Chronique écrite le 18/10/2011, par Philippe
En entamant leur premier disque par la reprise d'un standard absolu, Teenage Kicks des Undertones, Mick Wigfall et ses Toxics annoncent la couleur : il n'est pas du tout question de réinventer ici la machine à courber les bananes ! Le trio est formé d'un noble Lad anglais débarqué il y a quelques mois de Londres, buriné et gominé, contre-bassiste & excellent chanteur de son état, et des deux meilleurs musiciens qu'il ait pu trouver à Marseille. Et il joue principalement d'excellentes reprises de rock'n'roll : c'est vintage, c'est old school, take it or leave it ! Reprises étalées au fil des âges, et pour partie assez connues : I ain't got you par exemple, de Clarence Carter, est un de ces trucs hyper-repris écrits par un Noir a priori mort sans voir son premier million de dollars, et joué par plein de blancs-becs (des Yardbirds à Aerosmith) qui ont touché le pactole à sa place. On a aussi reconnu un titre de T-Rex (Born to Boogie), vaguement un autre de Gene Vincent (Poor Man's Prison, qui semble ici chanté par le Johnny Cash de chez Sun Records), ou encore identifié l'auteur de Nervous Breakdown, Eddie Cochran, parce que sa voix était ici très bien imitée ! De même, on se... Lire la suite