J'avais déjà beaucoup aimé le peu du set de Miss Paillette en ouverture de la dernière édition de la Rue du Rock, mais je dois reconnaitre que je n'en avais vu que 3 morceaux. Du coup lorsque Diane a invité Lucie pour aller la voir au théâtre du Strapontin j'en ai profité pour venir aussi. Samedi après midi bien chargé comme souvent ... revenant de chez Francesca je dépose Lucie au théâtre du Strapontin (que j'ai d'abord cherché beaucoup plus haut dans la rue) et repasse par chez moi pour aller déposer Alice. A mon retour le concert a commencé. J'arrive pile sur Scooter un de ses tubes ! Contrairement à la Rue du Rock où elle était aussi accompagné d'un bassiste, en cette fin d'après midi elle se produit en duo avec l'excellent guitariste Jeff Kellner. Comme j'écris cette petite chronique près d'un mois après le concert et que la seule chose que j'ai notée ce sont les titres ou sujets des chansons ça va être dur ... Je ne sais pas exactement combien la salle contient de personne mais elle est bien pleine. 3 rangs de parents sur des marches et 3-4 rangs d'enfants par terre. Public plongé dans le noir et sur la scène 2 amplis, un pied de micro, un accordéon et une basse (dont elle joue) et une guitare. Ils enchainent avec une... Lire la suite

Et de 5 ! C'est déjà l'édition #5 de la Rue du Rock par Phocea Rocks ! Comme le temps passe... Quand on repense aux deux premières, il y a de quoi mesurer le chemin parcouru, aussi bien en fréquentation (de moins de 500 à ... peut-être 2 500 ce dimanche ? en tout cas ça m'a paru bondé !), qu'en programmation (de 5 lieux à 7, voire 8 en comptant les Danaïdes en bonus) qu'en ... sécurité ! Se rappeler que la rue Consolat n'était même pas toujours fermée à la circulation pendant l'événement, selon les années et autorisations erratiques reçues... Alors que pour la deuxième année consécutive en 2017, on a en effet du non seulement tout bloquer, mais faire dégager toutes les voitures de la rue ! Heureusement, beaucoup moins sont parties en fourrière même si 3 ou 4 vraiment mal placées ont fini par être rattrapées par la patrouille municipale en début d'aprème. Bref, plus de préparation mais plus de confort après. Le problème est qu'au fil des 5 éditions je suis passé presque à mon insu, de vaguement bénévole de l'association (en tant que chroniqueur gonzo amateur), à bénévole complet, vraiment mobilisé sur les petites et grandes choses à faire, défaire, et parfois refaire. Autrement dit : avant j'étais trop bourré pour faire une chronique... Lire la suite