Live électro atmosphérique et teinté de techno minimale aux influences post-rock, electronica et ambient, qui ne sont pas sans rappeler My Bloody Valentine, M83 ou Boards of Canada.
Nathan Fake en concert
Nathan Fake : l'historique des concerts
Sa.
19
Nov.
2022
Ve.
09
Fév.
2018
La Vapeur - Dijon (21)
Sa.
09
Sept.
2017
Fort De Penfeld - Guilers (29)
Sa.
10
Juin
2017
Plaine du Courneau - Canejan (33)
Ve.
28
Avril
2017
Sa.
02
Mai
2015
Ve.
03
Avril
2015
Sa.
21
Mars
2015
Nathan Fake : les dernières chroniques concerts 3 avis
Pantiero festival : Walls + Gold Panda + Trentemoller + Nathan Fake
Critique écrite le 09 septembre 2011, par Croc-Blanc
Terrasse du palais des congrès - Cannes 13 août 2011
Le Pantiero festival, c'est avant toute chose un cadre des plus atypiques : la terrasse du palais des congrès de Cannes, qui cumule les avantages d'être au bord de l'eau et en plein centre-ville, est un lieu agréable pour les yeux (standing croisette oblige) mais aussi pour les pieds des festivaliers, avec un surprenant gazon synthétique qui, s'il doit être abominable à nettoyer d'un soir sur l'autre (on évitera d'imaginer les combos bière / chewing-gum / vomi), est particulièrement agréable à fouler. Disons-le, l'impression globale en arrivant en haut des escaliers du palais est plutôt excellente. Un tableau un peu trop beau pour être honnête ? Hélas... Sur le papier, le line-up a pourtant tout pour faire saliver l'amateur de musique électronique de bon goût (si, si, on peut le dire) : entre Gold Panda dont la côte a explosé depuis la fin 2010 avec son premier LP Lucky Shiner, Trentemoller qui a sorti la même année l'un des albums les plus surprenants et les plus réussis de la scène électro (Into The Great Wide Yonder), et enfin le génial Nathan Fake qui, s'il nous a sevré de nouvelles créations ces deux dernières années, reste (et restera) ce qui se fait de mieux en électro progressive et atmosphérique pour encore un bon bout de... Lire la suite
The Dead 60s, the Divine Comedy, Architecture in Helsinki, Swayzak, Nathan Fake, Hifiklub, Henry et Georgette...
Critique écrite le 29 septembre 2007, par stéphane sarpaux
festival Marsatac, J4, Marseille 28 septembre 2007
Il fut un temps où le festival Marsatac, mieux reconnu en France que dans sa bonne vieille ville de Marseille, ne savait pas trop où poser ses scènes. Et c'est vraiment par accident (l'incendie des docks en 2005) qui l'a conduit sur le J4, cette merveilleuse esplanade à l'entrée du Vieux Port, entre mer, centre-ville et ferry de voyageurs. Un lieu parfait pour un festival qui propose de nous ouvrir les écoutilles au maximum pour y faire entrer du hip hop, du rock, de l'électro, du rap concocté aux quatre coins de la planète. C'est d'ailleurs en se stabilisant sur le J4 depuis 3 ans que Marsatac a vraiment pris de l'ampleur et qu'il a acquis ses lettres de noblesse tout en continuant à prendre des paris sur la programmation artistique. A Marsatac, on lorgne sur le modèle des Transmusicales de Rennes, pas celui des Francofolies de la Rochelle. Il faut donc se prémunir d'une bonne dose de curiosité et d'humilité pour s'y rendre. Parce que pour quelques découvertes renversantes (Rubin Steiner et Cinematic orchestra il y a 4 ans, Bauchklang et Kid Koala il y a 3 ans, David Walters et Birdy Nam Nam il y a 2 ans, Bat for Lashes l'année dernière), il faut également se frapper la tête contre les murs devant certaines prestations... Lire la suite
Nathan Fake + Riton + Fred Berthet (Territoires Electroniques 2006)
Critique écrite le 16 février 2006, par Art Kraft
Cabaret Aléatoire / La Friche - Belle de Mai / Marseille 11 Février 2006
Depuis 1997 (hé oui, c'était au siècle dernier!), le team BIOMIX nous a habitué à des soirées électro de qualité, investissant ainsi des lieux insolites et programmant des artistes émérites. A l'instar de ce passé glorieux, le festival TERRITOIRES ELECTRONIQUES fait figure de pièce maîtresse. Zoom sur l'édition 2006 en avant-première au Cabaret Aléatoire... Un peu avant minuit, nous arrivions dans un Cabaret Aléatoire déja quasi-comble et NATHAN FAKE venait juste de commencer sa prestation live. Et quel live!!! Le jeune anglais délivrait une oeuvre synthétique quasi-symphonique, impressionnante de maturité. Entre douceur mélancolique, mélodies aériennes, rythmes abstraits, textures fuyantes et chimériques, son univers était à la fois bucolique et hautement psychédélique, évoquant parfois des ambiances proches de BRIAN ENO, KLAUS SCHULZE, SYD BARRETT et PINK FLOYD. C'est un peu comme si le psychédelisme musical hippie était revu et corrigé par les expérimentations sonores contemporaines de BOARDS OF CANADA ou APHEX TWIN...jusqu' à cet hymne électronique qu'est "The sky was pink". Un pur moment de rêverie sonore,... Lire la suite
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