Auteur-compositeur-interprète, Neil Young est un guitariste/chanteur de folk, country et rock originaire du Canada. Membre du groupe Crosby, Stills, Nash & Young, il a collaboré avec quantité de musiciens (Buffalo Springfield, Crazy Horse, Pearl Jam, Booker T... ) pour enregistrer les multiples disques parus sous son nom. Mister Young était en tournée en 2016 pour présenter l'album The Monsanto Years avec son nouveau groupe, Promise Of The Real... Nouvel album avec Crazy Horse intitulé "Barn" en décembre 2021 !
Neil Young en concert
Neil Young : l'historique des concerts
Ma.
12
Juillet
2016
Ve.
24
Juin
2016
Je.
23
Juin
2016
Ma.
21
Juin
2016
Je.
16
Juin
2016
Me.
15
Juin
2016
Lu.
13
Juin
2016
Ma.
23
Juin
2015
Neil Young : les dernières chroniques concerts 26 avis
Neil Young
Le Temps Des Cerises... À L'Eau De (LA) Vie ! Question(s) Sous Dôme Tandis que la salle bruisse d'envie et rumeurs concernant à la fois, le show à venir, et la sortie prochaine du énième Live officiel du Jeune Neil issu de la tournée actuelle - intitulé Earth et s'accompagnant d'une suite de sons très "natures" assez déconcertante, mais attractive - voici que s'avance LA première déception de la soirée (elles seront rares, il me faut avant tout chose, l'affirmer céans) sous la forme d'un préposé aux bougies posées sur le vieil harmonium (qui siège quasi au centre de la scène) qui vient les ÉCLAIRER, en lieu et place de les ALLUMER ! Sans doute "chargées" au nucléaire, vu l'actuelle répartition hexagonale et la microscopique part allouée aux énergies dites naturelles et renouvelables ; à moins que ce ne soient des piles, ce qui serait À PEINE mieux, en somme : pouvait pas s'éclairer tout bonnement à la flamme d'une bougie bien grasse qui dégouline et colle plein partout autour comme au bon vieux temps de notre terre originelle ? Une contradiction de plus à ajouter à la longue liste récente et passée traînant au cul du fantasque Canadien, façon casseroles : comme lorsqu'il vante et invente, alors qu'il est à moitié sourd, un système... Lire la suite
Neil Young + Promise Of The Real
Ah, Neil Young ! Que dire, si ce n'est que j'ai véritablement baigné dedans depuis mon plus jeune âge, mon père le vénérant et jouant quantité de ses titres à la guitare ? Les songbooks d'époque en portent d'ailleurs les marques... J'ai commencé à vraiment l'écouter et l'apprécier il y a une vingtaine d'années. Sa discographie est tout simplement immense et très variée avec une bonne douzaine de véritables monuments. Je l'avais déjà vu au POP Bercy en 2001 avec le Crazy Horse et Oasis (excusez du peu) en première partie. J'avais trouvé le concert excellent, mais pas inoubliable, la faute au son un peu trop à fond, à la salle et à certains soli vraiment trop longs. J'avais acheté des places pour son concert aux Arènes de Nîmes en 2013, mais ayant déménagé à 500 km, avant le concert, j'ai dû les revendre à contrecur. Informé de sa venue dans la cité phocéenne, j'ai longtemps hésité pour finalement craquer peu de temps avant, prendre mes places et 2 jours de congés pour passer un WE au soleil. Je ne cacherai pas que j'étais un peu inquiet, le Loner accusant tout de même 70 ans au compteur et ses disques récents étant moins percutants à mon goût que ses anciennes livraisons. Le dernier que j'ai vraiment adoré est Silver And Gold en... Lire la suite
Neil Young + Promise Of The Real
Neil Young accompagné des Promise Of The Real a livré un concert enchanteur lundi soir à Lille. Sauf si je me trompe, il s'agissait seulement du deuxième passage du Loner dans la métropole Lilloise depuis le début de sa carrière (son dernier concert remonte à la tournée TRANS en 1982). A en croire la presse locale, 7 000 personnes se sont déplacées pour assister au show, on veut bien les croire, sensation que la salle était quasi complète. Plusieurs générations de fans se sont données rendez-vous : du vieux baba au jeune fan de rock indé, Neil Young a un spectre large de fans. Il faut dire qu'il aura marqué la Folk music mais il est également une figure respectée pour les musiciens de la génération punk. Ses talents de parolier, de guitar hero, mais surtout son intégrité inspirera les musiciens de la vague grunge, de Kurt Cobain à Pearl Jam. J'ai déjà dis ce que je pensais du dernier album en date "THE MONSANTO YEARS" (Chronique sur https://gconcertcesoir.com), pas spécialement emballé par ce disque donc, mais un concert de Neil Young reste un événement et pour rien au monde je ne louperais cette soirée. Plein de stands anti OGM et/ou écolo avaient pris place dans le hall du Zénith Arena à côté des stands de merchandising. Neil Young... Lire la suite
Paléo Festival 2013 : Neil Young & Crazy Horse + Alt-J + Mermonte + Phoenix + Lou Doillon + Palma Violets + Heymoonshaker + Sophie Hunger + The Lonesome Southern Comfort Company + Mama Rosin + Les clandestines
Critique écrite le 27 août 2013, par Lionel Degiovanni
Paléo festival - Nyon (Suisse) 23 Juillet 2013
Pour démarrer cette chronique du 38ième Paléo Festival de Nyon, évoquons tout d'abord quelques chiffres... Paléo a vu sa première session en 1976 et depuis, Paléo a accueilli 5 246 154 spectateurs. Pour cette année 2013, 297 spectacles au total en comptant toutes les scènes, 142 artistes et troupes y compris les animations, et une centaine d'artistes programmés sur les 5 scènes; Plus de 4600 collaborateurs, des journalistes et environ 565 professionnels, quelques maisons de disques, et plus de 1200 accrédités, avec 207 médias différents. Les partenaires concernant ce festival sont très nombreux et on les voit un peu de partout sur les nombreux panneaux et affiches présents au sein du festival. Pour continuer la présentation du Paléo pour ceux qui ne connaissent pas, Paléo est une ville dans la ville. Quand on a la chance de voir de l'intérieur tout le fonctionnement de ce grand complexe, on ne peut qu'admirer cette grande machine. Tout y est : tout le système de vidéo, avec de grandes caméras pro, une régie vidéo pour le montage, des équipes qui tiennent un blog, des sessions acoustiques, des interviews, un site toujours mis à jour, le catering, des restaurants où l'on peut trouver de la nourriture du monde entier, le merchandising,... Lire la suite
Neil Young : les chroniques d'albums
Neil Young : A Letter Home
Chronique écrite le 28/05/2014, par Pierre Andrieu
Avec la complicité de Jack White (qui a coproduit le disque et a fourni l'antique cabine d'enregistrement minute, un Voice-o-Graph), Neil Young envoie une petite carte postale musicale à sa mère... Et cela s'intitule fort logiquement A Letter Home ! Ce très bel album au son ultra vintage et intimiste voit chaque face débuter par un touchant message vocal adressé à sa génitrice lui disant que son fils Neil pense à elle, qu'elle devrait reparler à son père et qu'il a enregistré à son attention des reprises 100% folk des morceaux qu'ils écoutaient ensemble... Ces vieux morceaux exhumés de la mémoire de Mister Young sont de véritables perles composées en leur temps par de cultissimes génies ayant pour nom Phil Ochs, Bert Jansch, Gordon Lightfoot, Bob Dylan, Willie Nelson, Tim Hardin, Bruce Springsteen, Don Everly et Ivory Joe Hunter. Seul - ou presque - dans ce minuscule "studio", Neil Young... Lire la suite
Neil Young & Crazy Horse : Americana
Chronique écrite le 05/06/2012, par Pierre Andrieu
Un nouvel album de Neil Young ? Avec son groupe de garage rock 'n roll, Crazy Horse ? Intitulé Americana ? Composé de reprises de titres classiques et traditionnels américains ? Voilà une bonne nouvelle se dit-on, bonne nouvelle qui pourrait en appeler une autre : une tournée en France ! Prions pour que nos vux soient exaucés car Neil Young sur scène, c'est géant (cf son concert au festival Roskilde en 2008 !) et avec Crazy Horse, c'est immense, l'on se souvient encore avec émotion du show donné au Théâtre Antique de Vienne en 1996 (documenté dans un double album live et un dvd signé Jim Jarmush). Neuf ans après leur dernière collaboration sur l'assez dispensable Greendale, Neil Young et Crazy Horse - c'est à dire Billy Talbot, Ralph Molina et Frank " Poncho " Sampedro - reviennent aux affaires comme si de rien n'était : le son est intact, la guitare distordue hurle à souhait, les rythmes savant se faire lourds, souples ou enlevés, les churs prennent aux tripes et l'envie de jouer ensemble s'entend clairement sur chaque piste, qu'elle soit virulente ou alanguie. Si l'on ne trouvera rien de vraiment surprenant dans le son -... Lire la suite
Neil Young : Le Noise
Chronique écrite le 06/10/2010, par Pierre Andrieu
Produit par Daniel Lanois, d'où son titre Le Noise (humour ?), le dernier album en date de Neil Young expérimente l'enregistrement solo dans une maison avec voix et guitare passées au travers de multiples effets... Le résultat est incroyablement réussi car l'on trouve là intacts la voix d'adolescent en révolte perpétuelle de Mr Young, le célèbre coup de guitare du Loner, ses chansons écrites d'une plume énervée ou tendre et ses textes touchants sur l'amour, la guerre, l'expérience des drogues, les voyages... la vie quoi ! En écoutant le disque et en visionnant le remarquable film réalisé par Adam Vollick (génial film montrant le vieux Neil jouant l'album dans la mystérieuse maison où le disque a été réalisé : 39 minutes de bonheur intense avec pleine lune, effets psyché et tout le toutim), l'on se dit que cet artiste est bien le seul à pouvoir maintenir autant d'intérêt pour son travail après tout ce temps ! Car si les bidouillages sonores de... Lire la suite
Neil Young : Fork In The Road
Chronique écrite le 13/04/2009, par Pierre Andrieu
Dans une forme hallucinante sur scène en ce moment, Neil Young enchaîne les disques comme à la grande époque : après le très bon Chrome Dreams II, il vient de publier une sorte de brûlot rock ‘n roll qui ravira les fans du Crazy Horse... Soyons clairs, Fork In The Road n'est pas à ranger dans la catégorie des chefs d'uvres de Mr. Young mais constitue néanmoins un honnête recueil de dix chansons virulentes, efficaces et marquantes. Le taciturne et surprenant musicien a décidé de pousser les amplis dans le rouge (à deux exceptions près) sur son nouveau disque, qui se fait fort de mélanger country authentique et rock américain fleurant bon la poussière et la sueur... Âmes sensibles aux guitares en bois s'abstenir, vous aurez droit ici à un déluge de riffs joués à l'emporte pièce sur des guitares électriques distordues. Si l'on ajoute à cela des rythmiques enlevées, le tout invite à la chevauchée sauvage sur une autoroute balayée par un vent tournoyant... Le blues rock When Worlds Collide donne le ton au début du disque : l'auteur de la formule ô combien justifiée "Rock ‘n roll can never die" n'est toujours pas prêt... Lire la suite
Neil Young : Vidéo