Accueil Nirvana en concert
Jeudi 26 décembre 2024 : 6828 concerts, 27255 chroniques de concert, 5421 critiques d'album.


Jusqu'en 1994, Kurt Cobain, Krist Novoselic et Dave Grohl ont redonné au punk rock et à la pop leurs lettres de noblesse avec leur cultissime groupe, Nirvana... En 2011, le mythique album de Nirvana qui a déclenché le succès que l'on connait, Nevermind (lire la chronique ici), a été réédité avec plein de bonus. Et sinon, Dave Grohl a poursuivi sa carrière avec les Foo Fighters et il a invité Pat Smear (guitariste sur la dernière tournée de Nirvana) et Krist Novoselic à participer.

Nirvana : vos chroniques d'albums
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Nirvana en concert

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Nirvana : l'historique des concerts

Je.

29

Sept.

2011

No One Is Innocent en concert
No One Is innocent reprend Nirvana Nirvana | No One Is Innocent
Le 114 - Paris (75)

Je.

22

Sept.

2011

Soirée Anniversaire : Nirvana en concert
Soiree Anniversaire : Nirvana Soirée Anniversaire : Nirvana | Nirvana
Grand Rex - Paris 2ème (75)

Nirvana : les dernières chroniques concerts

Interview avec Steve Albini du groupe Shellac

Interview réalisée le 19 mai 2017, par Pierre Andrieu

Chicago Mai 2017

Interview avec Steve Albini du groupe Shellac

Inutile de tourner autour du pot, Steve Albini est une légende vivante du rock. Une légende hautement respectable pour son travail d'ingé son/producteur réalisé sur des disques qui n'ont pas pris une ride (ce n'est pas une expression, c'est VRAI !) comme "In Utero" de Nirvana, "Surfer Rosa" des Pixies, "Rid of Me" de PJ Harvey, "Over the sun" de Shannon Wright, "Strike" des Thugs ou encore "Plug" et "Planet Of Tubes" de Sloy, mais aussi pour sa participation marquante dans le groupe de noise rock Shellac, qui enregistre des disques qui tuent et donne des concerts de malade depuis les années 90. En plus, Albini a l'immense mérite a de ne pas avoir sa langue dans sa poche et d'appeler un chat un chat. Lui poser des questions à l'occasion de la tournée 2017 de Shellac, de la sortie du dernier disque de Ty Segall (sur lequel il a oeuvré) et à propos de sa vision du music business est donc un véritable bonheur ! Le dernier album " enregistré par Steve Albini " que j'ai écouté (et aimé!) est celui, éponyme, de Ty Segall, qui est sorti début 2017... J'ai l'impression que vous étiez faits pour vous rencontrer et travailler ensemble ! Tu suivais sa carrière avant de bosser avec lui ? Je ne connaissais pas trop ce qu'il faisait avant de faire ce... Lire la suite

Nirvana : les chroniques d'albums

Nirvana : Live At Reading

Chronique écrite le 28/11/2009, par Pierre Andrieu

Nirvana : Live At Reading

Extraordinaire document live sur l'un des groupes les plus marquants de l'histoire du rock, Nirvana Live At Reading permet de voir à l'œuvre sur scène un trio au sommet de son art punk rock devant l'immense foule - en ébullition ! - du festival de Reading. Nous sommes le 30 août 1992 et la vague du grunge venue de Seattle déferle sur toutes les ondes, emportant toute la variété moisie et le hair métal, aussi ridicule, putassier que superficiel, vers sa vraie place, le caniveau : Guns 'n Roses, Motley Crue et autres futilités serrent les fesses. Avec son album Nevermind, Nirvana rend ringard - pour l'éternité - tout le hard rock FM, provoquant une deuxième vague punk dès 1991 avant de s'auto détruire en plein vol en 1994. Grâce au génie mélodique de Kurt Cobain, à son sens imparable de la pop song punk et à la puissance de feu du couple Krist Novoselic/Dave Grohl, les tubes de Nirvana sont sur toutes les lèvres en 1992. Porte parole malgré lui d'une génération en manque d'idoles sincères et respectables, le mari de Courtney Love (qui aura droit à Reading à un poignant "We Love You Courtney !" hurlé par le public, à la demande - touchante - de Kurt) prend de plein fouet la célébrité, le succès colossal et les excès de la presse à... Lire la suite

Nirvana : Nevermind

Chronique écrite le 14/04/2005, par Philippe

Nirvana : Nevermind

Nevermind ? Je ne peux pas supporter plus longtemps que ce disque ne soit pas vraiment chroniqué ici, alors tant pis, je me lance. Mmmmmmh.... Respirer un grand cou et s'attaquer à un mythe. Rien que pour le plaisir d'afficher cette image (qui se souvient qu'elle fit scandale à l'époque ? Mais dans le monde cul-pincé et parano d'aujourd'hui, paraîtrait-elle seulement encore ?). Les critiques de rock ont coutume de dire, souvent à la légère, que "le rock est mort ce jour-là", soit pour dater la sortie d'un album (au choix, Revolver des Beatles, le premier album de Black Sabbath ou de Led Zep, Pink Floyd The wall, etc, etc.) soit après la date d'un festival (Woodstock généralement, ou sa déclinaison européenne à l'Ile de Wight). Mais s'il y a bien un album pour lequel cette expression peut presque avoir un sens, c'est sûrement pour Nevermind de Nirvana. En fin de compte, tout commence et tout finit avec la chanson Smells Like Teen Spirit, celle-là même qui précipita la groupe à sa perte : chacun sait que si Kurt Cobain est mort, c'est principalement de n'avoir pas pu gérer le succès et la pression dont il fut victime après ce succès planétaire. Au niveau du fond, s'en prenant à l'odeur d'un déodorant à la mode aux USA, cette chanson est une... Lire la suite

Nirvana : With The Lights Out

Chronique écrite le 04/01/2005, par Pierre Andrieu

Nirvana : With The Lights Out

Nous passerons rapidement ici sur les longues et écœurantes tractations mercantiles ayant conduit à la publication tardive de ce coffret réservé aux fans du groupe de Kurt Cobain, Nirvana. Pourquoi gâcher son plaisir alors que cet objet - un peu sinistre au premier abord - recèle des trésors enfouis ? With the lights out comporte en effet 81 morceaux - dont 68 inédits ou versions rares - et un livret aussi instructif que soigné de 60 pages. Sur le premier des trois CD et sur la première partie du DVD, on découvre avec émotion les débuts du Nirvana première mouture en répétitions ou en concert avec les prédécesseurs de Dave Grohl à la batterie. L'esprit est punk/hardcore, les riffs sont inspirés de Led Zeppelin ou Black Sabbath et l'atmosphère est furieusement violente. Pourtant, la face pop influencée par les Beatles affleure déjà avec des versions aussi excellentes que touchantes de Polly et About a girl datant de 1988. Kurt Cobain sait déjà écrire des morceaux qui marquent, il est déjà écorché vif et inquiétant : ses cris sont saisissants, ses plaintes vocales sont déchirantes et son attitude réservée et taciturne tranche avec celle des autres. A titre d'exemple, il chante avec son micro placé contre un mur, tournant complètement... Lire la suite

NIRVANA : Bleach / Nevermind / In Utero /Unplugged

Chronique écrite le 21/01/2002, par LaurentM

Nirvana. L'annonce de la sortie prochaine d'une nouvelle compilation du groupe mythique des 90's, véritable figure de proue du rock mal léché et bandant (avec guitares) m'a donné l'envie de revisiter l'œuvre et l'influence de Kurt Cobain et de tous ses acolytes... Introduction to the Nirvana's autodestruction. Petit retour en arrière : Début des années 90, nous sommes alors en véritable partouze de musiques électroniques. Fornique pêle-mêle des groupes aussi divers et variés que Dépêche Mode, Talk Talk, Simple Minds, Aha, mais aussi Pet Shop Boys, The KLF, etc etc ... Pour résumer, on ressasse depuis le début des années 80 les mêmes recettes efficaces : Des synthés + des clips léchés + des looks parfaitement étudiés = Beaucoup de blé (C'est pour résumer hein...). Merci qui ? Au " Thriller " de Mickael Jackson. En 1991, si certains groupes prodigieux émergents : Pearl Jam avec Ten, Massive Attack avec Blue Lines, My Bloody Valentine avec Loveless et que d'autres confirment leurs emprises sur les charts : Les Guns N'Roses avec Use your Illusion I et II, Métallica (l'album noir), les Red Hot Chili Peppers avec leur Bloodsugarsexmagik, Dire Straits et autres UB40, rien ni personne ne pouvait prévoir le vent de tempête qui... Lire la suite

Nirvana : Vidéo