Country blues
No Country en concert
No Country : l'historique des concerts
Sa.
07
Nov.
2015
Ve.
16
Oct.
2015
La Machine à Coudre - Marseille (13)
Ve.
05
Juin
2015
Sa.
16
Mai
2015
La Machine à Coudre - Marseille (13)
Sa.
28
Fév.
2015
Ve.
16
Janv.
2015
Ve.
12
Déc.
2014
Sa.
29
Nov.
2014
Machine à Coudre - Marseille (13)
No Country : les dernières chroniques concerts 2 avis
Rue du Rock #2 (Festival Phocea Rocks) : Mr Thousand & Ramirez + No Country + La Serenade + La Coupure + Lee Zeirjick + Binaire + Hush Hush + Malin + Mutacion Nacion + Devilish Piranhas + Super Payots 3000 + Onkalo + Big Fat Papa'z + Jim Younger's Spirit + the Laurie Strode's Brothers
En ce samedi 20 septembre 2014, avait lieu rue Consolat la deuxième édition de la Rue du Rock à savoir 15 groupes qui se succèdent entre 16h et 20h sur 5 lieux assez proches les uns des autres (mais suffisamment éloignés pour que les sets dans groupes puissent se chevaucher sans que l'un ne fasse de l'ombre à l'autre : de haut en bas : le garage Marsatac, le Pole Info Musique, le garage de Thomas, le théâtre de la Ferronerie et la Casa Consolat ... Comme Philippe je fais partie des organisateurs de cette après midi mais ça ne m'a pas empêcher de profiter de tous ces groupes en live et donc me permet d'en parler. Sommairement certes car chaque set étant décalé de 13 minutes je n'ai guère vu tellement plus de chacun ... juste le temps de faire quelques photos, une mini vidéo au son qui sature, tout en annonçant sur internet les retards ou changement d'ordre de passage entre les groupes. Donc j'irai vite notamment sur ceux dont Philippe à déjà parlé dans sa chronique à savoir Thousand & Ramirez, No Country, La Serenade, La Coupure, Lee Zeirjick, Binaire, Malin, Mutacion Nacion et Devilish Piranhas. Chose amusante si je connaissais au moins de vue pas mal des musiciens qui jouaient cette après midi, je découvrais plus de la moitié des... Lire la suite
(ma) Rue du Rock #2 - Festival Phocea Rocks 2014 : Thousand & Ramirez, Devilish Piranhas, La Coupure, No Country, Malin, La Sérénade, Lee Zeirjick, Mutacion Nacion, Binaire
L'archétype de la chronique merdique à rédiger - mais dans quoi je me suis encore fourré moi ?! Idéalement un chroniqueur sérieux et efficace lancé dans un festival, se doit de : savoir faire preuve d'impartialité (voire de sévérité), être extrêmement mobile pour voir un maximum de trucs, et enfin conserver une certaine sobriété - ou à défaut, prendre des notes : ça m'a souvent sauvé la mise ! Or ici j'ai d'abord un conflit d'intérêt majeur : bénévole occasionnel chez les agitéEs de Phocéa Rocks où je ne compte que des bons copains et bonnes copines, je connais aussi un certain nombre de musiciens impliquéEs dans les groupes qui ont joué ! Mais ce n'est pas tout : j'ai fait ce mini-marathon de concerts avec mon petit bonhomme dans les bras et toutes ses affaires dans un sac (ceci limitant considérablement ma mobilité), j'ai pas du tout pris de notes évidemment, et j'ai fini la chose ... complètement bourré. Oui, parfaitement, complètement bourré à 20 heures et avec mon fils endormi dans les bras, lui-même défoncé au lait-fraise dont il avait englouti 2 grands berlingots pendant que je m'enfilais des litres de bières ! Mettez-moi dans le guide du mauvais père, je m'en fous, en tout cas il s'est bien amusé et moi aussi ! Donc,... Lire la suite
No Country : les chroniques d'albums
No Country : Bring Me The Head Of Johnny Gooze !
Chronique écrite le 16/12/2014, par Philippe
Qui pourrait bien monter, et sans rigoler, un duo de musique folk country à Marseille en 2014 ? Si vous fréquentez un peu la scène alternative locale, vous avez sans doute déjà repéré leur patronyme décalé, sur les très jolies affiches que le groupe aime à produire quand il va jouer quelque part. Si en plus vous avez déambulé dans l'enthousiasmante Rue du Rock 2014, vous savez certainement à quoi ils ressemblent. Pas vraiment à des cowboys en l'occurrence : pas le moindre chapeau à signaler ... Il faut dire qu'il y a là Aurel "Revolver Klub" Farioli et Hervé "Véner" Lacombe, soit deux olibrii uniques en leur genre : un one-man-metal-band, et une moitié du two-men-punk-band (les Blah Blah, déjà souvent vantés ici). Autant dire une ample chevelure bouclée de metalleux et une quasi-crète de punk - No Country donc, tout est logique ? Ben non, parce qu'ils sont quand même fichtrement mal nommés, les No Country, eux qui ne font que ça ici - d'ailleurs ils ont mis 2 fois le terme "country" (et 4 fois le terme "folk") dans leurs tags bandcamp pour être... Lire la suite