None Shall Be Saved en concert
None Shall Be Saved : l'historique des concerts
Je.
12
Oct.
2017
Le Molotov - Marseille (13)
Ve.
31
Oct.
2008
Secret Place - Saint-Jean de Vedas (34)
Di.
15
Juin
2008
Je.
24
Avril
2008
Ve.
07
Mars
2008
L'Esplanade - Mirville Bolbec (76)
Sa.
09
Fév.
2008
Espace Babylone - Briançon (05)
Di.
16
Déc.
2007
Le Korigan - Luynes (13)
Sa.
10
Nov.
2007
La Machine à Coudre - Marseille (13)
None Shall Be Saved : les dernières chroniques concerts 8 avis
Sonny Red + None Shall Be Saved + Kumshot Diesel - Brain Dead Festival
Ce soir au PàG, l'association LiveinMarseille - en ma personne - s'aventure dans une galaxie d'elle méconnue : celle du trash metal provençal. Galaxie dont l'épicentre est certes plutôt au dessus d'Aubagne (avec notamment l'Escale Saint-michel et autres labels Custom Core). Les groupes de ce soir ont en commune d'être mal référencés - pas moyen de trouver une bonne photo de chaque, alors tant pis : va pour l'affiche du somptueux navet de Peter Jackson, Brain Dead, nom du festival que produit ce soir l'association Swell. Un public typé, plutôt jeune et plutôt masculin comme on pouvait s'y attendre, avec des T-shirt qui vont du plus cool (Pantera) au plus ridicule (Manowar), enfin chacun voit midi à sa porte hein ! J'ai raté Ira Nascente et arrive donc pour Kumshot Diesel, du trash metal sympathique et parfois approximatif. Une joyeuse bande qui confesse ne parler que de filles, de bières et de camions. ca ne se prend pas au sérieux, mais ça fait un boucan d'enfer : le guitariste fait presque tout en powerchords (ou comment jouer très fort sur une guitare sans trop avoir à travailler). Le bassiste est un bel enfant joufflu et longuement chevelu, dont l'attitude ne déparerait pas dans un groupe oldschool genre Slayer. Le chanteur, un... Lire la suite
Chaos Fest : Dagoba + Aabsinthe + Fatal + None Shall Be Saved ...
Critique écrite le 29 septembre 2007, par Gandalf le Barbare
Espace Julien - Marseille 28 septembre 2007
Et une autre édition, une, pour le Chaos Fest marseillais ! La 5ème (première en 2003 au Trolley bus), ca commence à compter ! Toujours tourné vers extrême français sous un peu toutes ses formes, avec quelques expos peinture, un tatoueur, et sur deux jours... Une bonne ambiance qui permet de retrouver des têtes connues du milieu Métal local depuis des années. En plus, le prix d'entrée plus que correct (17 euros les deux jours, 10 euros l'un) est à applaudir des deux mains. Me voici donc tout seul en train de chercher avec désespoir une place dans tout l'hyper centre, après 21h, ce vendredi soir. Une fois la voiture jetée en haut du bd Chave, je rejoins la communauté métallique qui a déjà pris ses aises à l'Espace Julien, le fest commençant à 19h30. Niveau populace, y a un peu de tout. Pas mal de jeunes tout juste majeurs, tout comme des "vieux de la vieille" de ma génération, quelques parents, des metalleux traditionnels, quelques coreux, pas mal de jeunes au croisement du Neo, goth et je sais pas quoi pour l'accoutrement, bref ca se mélange sans heurts pour, je pense à vue de nez, quelques centaines de personnes, moitié de la salle en gros ( qui fait dans les 800 pèlerins). Mais à part pour Dagoba qui tient le haut de l'affiche ce soir,... Lire la suite
None Shall Be Saved + I Want It Now + Irisia + Time Out + Shootgun Suicide
Live report initialement posté sur Massilia's Burning : https://massilia.burning.free.fr/ Ce soir c'est la fête, oui oui la fête de la musique, l'occasion d'aller traîner en ville, flâner d'un concert à un autre. Ce genre de chose. Bon nous on est des feignasses donc on a décidé de ne pas bouger. Après concertation au sommet c'est donc vers un jolie petit plateau hardcore que notre choix se porte. Comme l'an dernier, la terrasse de l'Olympic Bar à la préfecture accueille en effet un mix rock / hardcore. J'apprends peu de temps avant de partir que NSBS et I want it now se sont rajouté à l'affiche, en voila une bonne nouvelle. On débarque à la Préfecture à bord de la vandmobile sur les coups de 21h, le temps de traverser la ville pour manger un kebab dégeu et se caler au comptoir de l'Olympic pour mater Pays-Bas / Argentine et on rate les groupes de rock qui ouvraient la soirée (The Metropolitans, Fate et un troisième dont j'ai oublier le nom). Place au hardcore avec I want it now, tout nouveau groupe dont c'était le premier concert ce soir. On retrouve dedans le batteur de Time Out, le guitariste d'Irisia, la guitariste jouait dans Backsight il me semble (pas sur) et au chant : Mat d'Irisia et Greg (ex-Disturb, NSBS, Try To Win, ...).... Lire la suite
Settle the Score + None Shall Be Saved
Live report initialement posté sur Massilia's Burning : https://massilia.burning.free.fr/ Un petit concert de hardcore à la Machine à Coudre en pleine semaine ça ne se refuse pas. Quand j'arrive la salle est plutôt bien remplie pour un mardi soir, disons que ça représentera plus ou moins les 3/4 de la salle du haut. En première partie on retrouve les marseillais de None Shall Be Saved qu'on ne présente plus. Un set énergique et puissant qui a vu défiler les morceaux habituels du groupe (Positive Pain, Enemies, None Shall Be Saved, Death and rebirth, Breathe of life, ... sauf erreur), toujours aussi bien foutu avec tout ce qu'il faut pour lancer des circle pit, KDS et autres danses old school. Pour autant le public sera un peu mou ce soir, hormis les karateka vitrollais, pas grand chose dans le pit. C'est vrai aussi qu'on est mardi soir ... Niveau point noir, une fois de plus moins de bla bla entre chaque morceaux ne ferait pas de mal, car une pause aussi longue entre chaque morceau fait sortir le public du concert et refroidi, c'est dommage parce que plus d'enchaînement pourrait... Lire la suite
None Shall Be Saved : les chroniques d'albums
None Shall Be Saved : Those Days Are Gone
Chronique écrite le 27/01/2006, par Zhou
Au départ je n'attendais pas spécialement le premier long format de NSBS car, contrairement à Disturb, le groupe n'avait pas réussi à retranscrire sur galette leur incroyable puissance scénique. Après une démo en tout point remarquable ils avaient un peu déçu avec un maxi manquant de punch, surtout quand on le comparer aux performances explosives du groupe sur scène. Et puis le sampler est passé par la, nous proposant quatre titres issus de l'album tout simplement énormes ! Toute la puissance de NSBS enfin sur disque. C'était donc désormais avec une immense impatience que je l'attendais fébrilement ce premier album des marseillais. Alors ? Bah ... inutile de tourner autour du pot, il déblaye tout ! Les onze morceaux de l'album sont autant de machines à moulinets lancées à grand coup... Lire la suite