Chanteuse cubaine issue du Buena Vista Social Club. L'Edith Piaf cubaine célèbre son 60ème anniversaire de carrière, et son 3ème album solo, "Gracias".
L'Edith Piaf cubaine célèbre son 60ème anniversaire de carrière, et son 3ème album solo, "Gracias".
Cette grande dame commence son périple musical en tant que danseuse de cabaret à la Havane. Elle contribue dans la foulée à la naissance du filin', version cubaine d'une bossa nova teintée de jazz américain.
Alors qu'elle est en tournée à Miami, elle est surprise par la crise nucléaire de Cuba. Omara Portuondo revient sur son île natale et s'attache, pendant près de 50 ans, à combler le vide artistique provoqué par l'exil de nombreux musiciens. Forte de cette mémoire historique, elle contribue au projet du réalisateur Wim Wenders, en 2001, qui immortalise le Buena Vista Social Club, en lui dédiant un documentaire éponyme. C'est l'occasion de duos émouvants avec Compay Segundo et feu Ibrahim Ferrer.
La diva de Cuba obtient alors une reconnaissance internationale. Depuis cet incroyable succès, l'audacieuse Omara est restée active et créative. A en croire le nombre de jeunes artistes avec qui elle collabore et qui lui rendent hommage, la flamme qui l'anime est toujours belle et bien vive.
Omara Portuondo en concert
Omara Portuondo : l'historique des concerts
Je.
08
Août
2019
Je.
01
Août
2019
Théâtre Jean Vilar - Montpellier (34)
Ve.
26
Juillet
2019
Théâtre Antique de Fourvière - Lyon (69)
Je.
25
Juillet
2019
Palais Longchamp - Marseille 1er (13)
Sa.
20
Juillet
2019
Place Massena - Nice (06)
Ma.
02
Août
2016
Théâtre de la Mer - Sète (34)
Sa.
23
Juillet
2016
Place du Grand Jardin - Vence (06)
Lu.
04
Juillet
2016
Omara Portuondo : les dernières chroniques concerts 2 avis
Herbie Hancock, Zaza Fournier, Omara Portuondo, Nneka (Fiesta des Suds 2008)
Fiesta des Suds 2008, donc, désormais aux pieds de l'énorme et arrogant phallus bétonno-capitalistique qu'est la tour CMA/CGM ... Ayant une simple invitation, j'ai tout fait pour être à l'heure et j'ai presque réussi : 20 h 10 ! Surprise à l'entrée : les entrées "invitations" étant bondées d'un moulon d'au moins 500 personnes, les videurs by-passent les nouveaux arrivants, autrement dit : avec mon invitation je double d'autres gens avec des invites qui sont peut-être là depuis plus d'une heure, voire qu'on ne laissera pas entrer du tout ! Oh comme je n'aimerais pas qu'on me fasse ça ... Bref. Herbie Hancock est à pied d'oeuvre sous la Passerelle et la scène a encore grandi depuis l'an passé, mais avec des écrans géants - enfin ! Je comprendrai pourquoi plus tard : la scène moyenne (dite Hangar à Sucre) a disparu, au profit d'un resto où des social-traitres dégarnis du Modem viennent s'emmerder gentiment... Du coup on perd l'effet "dilution" des masses, c'est clairement : tout le monde au gros concert n°1, tout le monde à la buvette, tout le monde au gros concert n°2, etc, etc. Cela entraîne des queues monstrueuses, à moins de faire de savants calculs pour fonctionner à contre-temps... Par ailleurs la Fiesta a voulu, non pas... Lire la suite
Indochine, The Cure, Miro, Benabar, Yann Tiersen, Saez, Noir Désir + ...
Critique écrite le 18 août 2002, par Nicolas Leroux
Paleo Festival de Nyon 2002 25, 27 et 28 Juillet
25 juillet : Je commence ce sympathique festival par la grande scène et Indochine, ces vétérans du rock français nous livrent un concert honnête, bien que je ne sois pas fan de leurs dernières compositions, mais c'est toujours très sympa d'entendre "l'aventurier" en live... sympa. Je passe ensuite par les Cure, je suis placé assez loin de la grande scène et suit le concert sur l'écran géant, je ne sais pas si c'est la raison pour laquelle le set me parait décevant, mais les morceaux sont assez plat et la sauce ne prend pas, dommage. Dernier passage par le club tent, où Luciano, un DJ mixe une bonne techno. Je finit la soirée au village, où l'on peut écouter une bonne sélection Ska/Reggae. Soirée globalement assez moyenne. 27 juillet : J'arrive très confiant sur le site, persuadé que je vais passer une bonne soirée. J'arrive devant la grande scène et écoute le concert de l'Orchestre Baobab, très sympa pour commencer la soirée, bien qu'ils ne déchaînent pas les foules. J'assiste ensuite à la démonstration de Miro, tout seul sur la scène du dôme avec sa guitare et son ordinateur portable. Je ne connaissais pas et c'est très convaincant, bien que je sois réticent à cette absence d'instruments réels. Le charisme de Miro et son funk... Lire la suite