En écoutant des morceaux d'Orval Carlos Sibelius, on se croirait happés dans une faille spatio-temporelle qui nous aurait ramenés dans les années soixante. Psychédélique, rock, international et intemporel, Axel Monneau (c'est son nom) nous fait voyager à travers le temps et le rock. Le 28 avril 2017,Orval Carlos Sibelius publie l'album Ordre et progrès chez Born Bad Records...
Orval Carlos Sibelius en concert
Orval Carlos Sibelius : l'historique des concerts
Lu.
28
Mai
2018
Ve.
02
Mars
2018
Petit Bain - Paris (75)
Ve.
16
Fév.
2018
Je.
15
Fév.
2018
Ve.
02
Fév.
2018
Je.
01
Fév.
2018
Me.
31
Janv.
2018
Me.
24
Janv.
2018
Orval Carlos Sibelius : les dernières chroniques concerts 3 avis
Frustration + Cheveu + Cannibale + Orval Carlos Sibelius (Printemps de Bourges 2017 / 10 ans du label Born Bad Records)
Grosse soirée au Nadir dans le cadre du Printemps de Bourges (en coproduction avec l'asso Emmetrop) pour célébrer les 10 ans du label Born Bad Records, avec par ordre d'apparition scénique Orval Carlos Sibelius, Cannibale, Cheveu et Frustration... La salle est bondée, le public est chaud, la faune qui s'est déplacée est bien punk, toutes les conditions sont réunies pour que tout se passe bien, et c'est bien évidemment ce qui se produit ! Orval Carlos Sibelius Orval Carlos Sibelius met tout le monde d'accord dès le début, avec un superbe set de pop psychédélique, à la fois oblique, trippant et original... En entendant cette voix douce et décalée flottant sur des titres cosmiques, on pense à une version psyché de Bertrand Burgalat. Et on se sent vraiment biiiiiiiiiiien... Ne pas manquer la sortie du nouvel album de Orval Carlos Sibelius chez Born Bad Records le 28 avril 2017, Ordre et progrès ! Cannibale Ensuite, le seul groupe de la soirée dont on n'était pas fan a priori, Cannibale, se charge de nous convaincre en deux temps trois mouvements... Sur disque, on n'avait pas été emballé, et là, en live, on ne peut constater que le truc fonctionne dans le genre garage psyché teinté d'afro beat. C'est frais, dansant,... Lire la suite
Levitation France 2014 : Allah-Las, The Soft Moon, Moon Duo, Joel Gion, Loop, The GOASTT, Woods, Kadavar, POW !, The Asteroid #4, Christian Bland, Spindrift, Aqua Nebula Oscillator, JC Satan, Orval Carlos Sibelius, Holy Wave, White Hills, Eagles Gift, Quilt
Gros week-end de concerts psyché à l'occasion du festival Levitation France, les 19 et 20 septembre à Angers, dans l'enceinte du Chabada. Pour cette version européenne (et officielle !) du fameux Austin Psych Fest, la météo annonçait de persistants risques d'orage dans le ciel angevin, au final juste de petites gouttes, mais c'est plutôt sur les deux scènes qu'il y eut des éclairs pour les 2400 fans de musique cosmique... Le vendredi 19, c'est Eagles Gift qui lance les hostilités de fort belle manière. Instantanément, l'on se retrouve dans une sorte d'enfer paradisiaque pour tout amoureux de rock psyché : chant caverneux et menaçant, guitares barrées, atmosphères troubles, une sorte de téléportation classieuse en Californie dans les années 60 ! Ceux qui prennent la suite dans la salle du Chabada ne sont autres que les terrifiants Aqua Nebula Oscillator, un gang de trois musiciens faisant beaucoup d'efforts pour foutre les jetons au public : looks de gourous illuminés, séances d'incantations et morceaux carrément vaudous avec de sérieux bad trips à la clef. De la bonne défonce auditive en somme... Sur la scène érigée en plein air, Spindrift déroule un jubilatoire set oscillant entre BO de Western Spaghetti et psychédélisme... Lire la suite
Orval Carlos Sibelius + Kid Francescoli
Rien que pour son nom espiègle, cette soirée "Impasse Invaders" proposée par le Grim ne pouvait qu'attirer l'amateur de pop et d'electro. Première partie assurée par le Marseillais Kid Francescoli, qui s'apprête à sortir un bien bel album, "With Julia", aux sonorités sensiblement différentes du précédent. Désormais plus inspiré par les synthés italo d'un Johnny Jewell que de la pop à guitares d'un Jason Lytle. Son live en solo avec ses machines a ses bons moments mais ne semble pas passionner toute la salle, parasité par un brouhaha des plus agaçants. Entre deux plages instrumentales qui auraient eu davantage d'impact dans un autre contexte, il prend le micro mais sa voix est malheureusement largement couverte par ses instrus, laissant au final une impression mitigée. On ne va pas se mentir, même si la jauge du Grim est... Lire la suite