Groupe rock lyonnais élevé entre les Pixies et George Clinton
Groupe rock de la scène indépendante lyonnaise, Paloma (à l'orange) fait sa première apparition à l'automne 2001. Après plusieurs concerts à l'Espace J. Bargoin, au Palais des Congrès de Lyon, à la MJC d'Oullins, au CCO de Villeurbanne et au zénith de Nancy, le groupe enregistre "Le Premier Pas", son premier LP en mai 2002 avec l'aide de Fred Oscar. Le clip réalisé pour ce titre a remporté le prix de l'originalité des Masters de la Vidéo en octobre 2002. Après une série de concerts, un deuxième album intitulé " Envolées Immobiles" sort en novembre 2008. Depuis le groupe est passé par le Métal Café, le Furib'arts, la Casa Musicale, le Citron, le Voxx...
Influences:
pavement, noir desir, james brown, dEUS, graham coxon, pixies, beck, ben kweller, elliott smith, zita swoon, adam green, pj harvey, placebo, maceo parker, sebadoh, blink 182, red hot chili peppers, eels, little rabbits, mars volta, mano negra, sly and the family stone, weezer
Paloma (à l'orange) en concert
Paloma (à l'orange) : l'historique des concerts
Je.
19
Janv.
2012
Kraspek Myzik - Lyon (69)
Je.
04
Juin
2009
Ve.
19
Janv.
2007
Je.
11
Janv.
2007
Ve.
24
Nov.
2006
Paloma (à l'orange) : les dernières chroniques concerts 2 avis
Magnolia Electric Co. + Paloma
J'ai d'abord cru que la première partie avait été annulée. Voyant tout le matériel installé sur scène, la rangée de guitares, la pédal steel, je croyais que c'était l'équipement de Magnolia Electric Co. Eh ben non. C'est juste que Paloma joue exactement dans le même registre que Jason et ces Magnoliautes, le country-rock électrique et mélancolique. Le problème d'une telle association. C'est que soit la première partie vole la vedette à la tête d'affiche parce qu'elle est meilleure, plus motivée, soit elle déçoit, ennuie parce qu'elle n'est pas à la hauteur. Dans ce cas précis, je me suis plutôt ennuyé. Paloma creuse peut-être le sillon Neil Young depuis plus longtemps que Jason Molina. Moi, j'avais l'impression de me trouver face à un clone peu inspiré. C'était trop lent, trop uniforme, avec de trop rares montées de sève électrique lorsque les deux guitares s'associaient. L'ambiance est posée, les musiciens sont bons, mais il manque quelque chose. De quoi parle-t-on lors des réunions de famille chez les Molina ? De batterie, de songwriting, de Neil Young ? Un proverbe animalier de chez nous dit que les chiens ne font pas des chats. En effet... Ralph Molina, batteur du Crazy Horse, collaborateur de Neil Young depuis... Lire la suite
Mercury Rev + Paloma
Critique écrite le 22 avril 2002, par Pierre Andrieu
La Coopérative de Mai, Clermont-Ferrand 18 avril 2002
C'est le groupe Paloma qui a la lourde tâche d'ouvrir pour Mercury Rev, ils viennent de Moulins dans l'Allier, un département proche du Puy de Dôme (pour ceux qui ne connaissent pas la région et me lisent de Los Angeles). Le moins que l'on puisse dire c'est que leur prestation a divisé le public : il n'y a pas eu de bagarres mais les débats ont été animés après le concert... J'ai bien remarqué que le chanteur et leader du groupe n'avait pas trop de présence scénique, qu'il chantait un peu faux et jouait désaccordé mais je ne vois pas où est le problème. Si on apprécie la musique de Will Oldham, les chansons de Paloma ne sont pas désagréables, au contraire. Il me semble que l'émotion passe malgré les "défauts" cités plus haut. Le pop/rock électrique de Paloma prouve encore une fois que l'Auvergne est un joli plateau de musiques... A 21 heures et 45 minutes, Mercury Rev fait son apparition sur la grande scène de la Coopé. Bien qu'il n'y ait malheureusement pas grand monde (300 ?), je sens une joie immense me traverser tout le corps ! Il faut dire que depuis la sortie de Deserter's songs en 1998, je suis un fan inconditionnel du groupe ! Les voir en vrai interpréter devant moi The funny bird, leur premier titre jamais joué à... Lire la suite