Groupe de rock garage à soudure électronico-latino-américaine. Eduardo, chanteur-leader propose un mix offrant des ponts entre la musique "primitive" chilienne et des morceaux plus pops ou électros.
Panico en concert
Panico : l'historique des concerts
Sa.
19
Mars
2011
Ve.
18
Mars
2011
Sa.
05
Fév.
2011
Ve.
04
Fév.
2011
Je.
03
Fév.
2011
Je.
27
Janv.
2011
Sa.
15
Janv.
2011
Sa.
13
Fév.
2010
Showcase - Paris (75)
Panico : les dernières chroniques concerts 7 avis
Cheveu + Panico
La soirée commence moyennement, peu de monde pour constater à 22h que Markovo est toujours en train de faire ses balances. Avant d'annoncer façon Jean Claude Camus la mort dans l'âme que le concert est annulé à cause d'un problême de carte son. "Je vais me lancer dans le folk accoustique comme ça il n'y aura plus ce genre de problêmes", ah oui pas bête. Panico commencent à peu près à l'heure prévue et la salle s'est bien remplie. Mis à part le charme vénéneux de la bassiste, pas gardé un énorme souvenir de leur lointain passage à Marsatac en 2005. Peut être n'étaient ils pas dans un bon jour cette fois là car ce soir je les ai trouvé excellents. "Illumination", le premier morceau vrombissant met directement dans l'ambiance, elle sera sombre, psyché, tapageuse. On loue souvent à ces Chiliens un coté tropical somme toute assez discret car ils auraient très pu venir de Manchester, sur quelques titres on est pas loin des orages électriques d'un Joy Division. La rythmique est lourde avec un batteur et un percussioniste, le guitariste assène des riffs secs et brutaux. On ne remettra pas une louche sur la bassiste mais l'envie y est, toujours aussi bluffante, pour passer au chanteur surexcité et parfois un peu flippant. Il ne... Lire la suite
Panico
Putain de samedi soir ! "Si on les avait bookés en semaine, peut-être qu'il y aurait eu plus de monde", me dit une jeune fille de la Cave aux Poètes, salle roubaisienne bas de plafond et haute en programmation : bientôt NLF3, Laetitia Shériff, Oh ! Tiger Mountain, Cercueil... En attendant, ce soir, c'est Panico, quintet chilien qui te secoue la pulpe du fond. Leur dernière galette, Kick, porte son nom à merveille. Et sur scène, ils redoublent les coups de pied au cul. Tant pis pour les absents, qui ont eu bien tort de ne pas venir. Quant à la grosse soixantaine d'happy fous présente, elle s'est pris leur set de plein fouet, façon crescendo : percus folles, guitare métronome, basse marteau piqueur, batterie puissante et précise, chant habité. Car... Lire la suite
The Film, Psykick Lyrikah, Chateau Flight, Whomadewho, Panico, Riton, dEUS, 2 Many Djs (Marsatac 2005)
Comme on pouvait s'y attendre cette dernière journée fut la plus réussie et aussi la plus crevante ! Ca commence tranquille avec The Film qui jouent dans un chapiteau bien trop grand pour leurs style et ambitions : au Café Julien l'an dernier ce fut explosif, ici c'est juste correct, malgré une énergie indéniable. Certains morceaux passent bien, comme "Top of the hopes" et leur single "Can you touch me ?", les riffs et les louches de saxo sont là, le peu de gens présents apprécient. Sous le petit chapiteau, on va voir quelques morceaux de Psykick Lyrikah, le groupe de rap Rennais estampillé intello. Les ambiances saupoudrées de bons scratches distillées par le dj sont intéressantes, par contre le mc a un flow très monotone pour ne pas dire ennuyeux. On décroche assez vite. Le set de Château Flight n'est guère plus passionnant, l'invité vaguement prestigieux Burgalat est aux abonnés absents, le claviériste moog et le flûtiste sont un peu là pour faire joli alors que les dj balancent une house pas désagréable mais anodine, genre musique papier peint qui passe sur certaines radios, du coup comme on a le choix ben on zappe. Whomadewho est le bon plan sur la scène d'a coté, ces Danois font danser avec... Lire la suite
dEUS, 2 many DJs, château Flight, Riton, Panico, Lenny Larkin... (Marsatac 2005)
Critique écrite le 25 septembre 2005, par stéphane Sarpaux
festival Marsatac à Marseille 24 septembre 2005
Seconde soirée plus rock et électro du festival de Marsatac. Toujours autant de monde (enfin, surtout après la fin du match de l'OM, on est à Marseille, quand même), toujours un son très bon, mais sur scène, et contrairement à la vielle, c'est surtout dans la grande salle que tout s'est joué... En général à la seconde journée d'un festival, nous ne sommes plus dans les mêmes dispositions. On connaît les lieux, les petites astuces (comme les bars qui font bière et ceux qui n'en font pas, le bon timing pour aller pisser sans attendre 2 heures comme des cons en file indienne,etc...), on est plus à l'aise en somme. Tout cela nous rend beaucoup plus disponible pour la musique et curieusement beaucoup plus exigeant, vous ne trouvez pas ? J'arrive à peine 5 minutes avant que ne débute le set de Château flight sous la grande tente. L'un à la batterie, l'autre devant son ordi, Burgalat annoncé n'est pas là (je ne pense pas pour autant que cela aurait changé grand chose)...Le son est énorme, carré. l'ordi balance des basses, la batterie joue de la cymbale, un flutiste vient faire un morceau dans le style Saint-Germain (mais bien en-dessous quand même) Voilà tout est dit, on est dans l'électro de masse qui fait des bonds et des... Lire la suite