Le groupe Parlor Snakes pratique un rock 'n roll blues garage du meilleur effet... Parlor Snakes est en concert à La Maroquinerie à Paris le 5 février 2018 et en tournée française avec Jen Cloher à l'occasion des Nuits De L'alligator 2018...
Parlor Snakes : tous les concerts
Je.
28
Nov.
2024
Parlor Snakes : l'historique des concerts
Sa.
03
Déc.
2022
Sa.
22
Oct.
2022
Chapelle St Jacques - Vendome (41)
Ve.
30
Sept.
2022
La Maroquinerie - Paris (75)
Di.
21
Août
2022
Stade Bayard - Charleville Mezieres (08)
Ve.
15
Avril
2022
Je.
10
Mars
2022
Me.
01
Déc.
2021
L'autre Canal - Nancy (54)
Sa.
04
Sept.
2021
Parc de la Combe à la Serpent - Corcelles Les Monts (21)
Parlor Snakes : les dernières chroniques concerts 4 avis
Guadal Tejaz, Maxwell Farrington, Special Friend, Parlor Snakes (La Cathédrale de Binic 2021)
Aucun respect des mesures barrières n'a pu être constaté... 24 juillet, troisième jour que l'on passe à La Cathédrale, Pointe de la Rognouse, la version payante et à jauge limitée (à cause de... ce que vous savez) de l'incontournable Binic Folks Blues Festival, qui est normalement gratuit et draine tous les ans des milliers de personnes dans la petite station balnéaire des Côtes d'Armor citée dans le nom de ce rassemblement d'indés passionnés. Après avoir apprécié au plus haut point les concerts de la veille (E.T. Explore Me, Marietta, Captain Excelsior And The Cosmic Crabs) sous le soleil et avec une vue sur la magnifique baie de Saint-Brieuc puis profité d'une petite baignade à la plage du Corps de Garde, située juste en dessous du site, on s'apprête à prendre une nouvelle gifle monumentale au milieu d'une foule bouillante avec la prog du jour, "dominée" par la présence des redoutables post punks rennais de Guadal Tejaz et comportant également des concerts de Maxwell Farrington (génial, et non annoncé sur l'affiche !), Parlor Snakes et Special Friend... C'est samedi et il y a encore plus de monde que la veille, on doit atteindre la capacité maximale de 500 sur un site où on pourrait mettre facilement 3000... Lire la suite
The Sheepdogs + Parlor Snakes
Une très belle soirée s'est déroulée en ce mardi 16 avril à la Flèche d'Or dans le 20ème à Paris. Au menu, nous retrouvons le groupe garage rock franco-américain Parlor Snakes et les excellents rockeurs Canadiens The Sheepdogs, qui seront la tête d'affiche. Pour commencer et vraiment à regret, on a raté avec Nico la première partie Parlor Snakes qui se compose entre autres d'Eugenie la chanteuse et clavier ainsi que de Peter à la guitare. Je regrette personnellement d'avoir manqué ça car j'ai été fortement séduit à l'écoute de leur premier album par la qualité des compos qui constituent leur disque sorti en 2012 chez Double Legs. Ils proposent un rock garage riche et loin, très loin d'être froid ou aseptisé. En un mot, un groupe qui mérite d'être suivi. Pour ma part, c'est à charge de revanche en espérant avoir à nouveau l'occasion de les retrouver sur la route et cette fois-ci, promis, je ne les raterai pas. Parlons maintenant du combo canadien. Pour ceux qui ne connaissent pas, ils ont 4 albums à leur compteur dont le petit dernier est sorti en 2012 et qui porte le nom du groupe The Sheepdogs. Ce dernier a été produit par le batteur des Black Keys, Patrick Carney et Austin Scaggs (rédacteur en chef de Rolling Stones... Lire la suite
The Jim Jones Revue + Parlor Snakes
Alors, pour passer une soirée rock n roll, vous prenez : Un pianiste stylé à la Jerry Lee Lewis. Le Jerry Lee quand il était encore jeune et qu'il épousait encore sa cousine, hein... Mèche de cheveux comprise. Un guitariste échappé d'un film de Jim Jarmusch ou de Aki Kaurismaki, genre vieux rocker perdu dans un monde oublié. Un chanteur dandy à la voix éraillée. Attention, pour le chanteur, le poil doit être lisse, le cheveu brillant et la voix bien polie au papier de verre. C'est important. Sinon, ça le fait pas. Ajoutez à cela une section rythmique bien carrée. Mettez le tout dans une petite salle bondée de 290 pinpins, de type Poste à Galène, à la moyenne d'âge certes un peu élevée mais avec pas mal de jeunots néanmoins. Branchez l'électricité. Pogotez un tantinet en prenant soin de renverser votre bière sur le cuir du voisin pour l'hydrater. Slammer deux ou trois fois en imprimant doucement l'empreinte de votre chaussure sur le front du rocker d'à côté. Vous pouvez, en suggestion, arroser votre gosier d'une ou deux petites Pelforth ou Duvel... Dégustez alors un concert de Jim Jones Revue sans modération ! Du véritable Rock Garage sixties! Et, à l'attention des incultes et autres cuistres contrariants,... Lire la suite
Parlor Snakes + The Jim Jones Revue
Epique soirée rock'n'roll hier soir au Poste à Galène : des mois déjà qu'on avait coché la date du retour en ville du barnum du Jim Jones Revue, quintette de milords anglais qui pille sans vergogne le rock des pionniers noirs (et même blancs) des 50's comme s'ils l'avaient inventé, sapés comme des mafiosi et gominés comme des petites frappes reprises de justesse. Proprement inratables pour tous les fans de rock et de garage, que ce soit d'Elvis ou des Cramps ! Et d'ailleurs la quasi-intégralité des gens que je connais dans ce public est là ce soir : le Poste est plein comme un uf... et du coup, effet agréable, il fait bon au milieu des cuirs (public plutôt masculin) ! En première partie, une jolie découverte : les Parlor Snakes, groupe en grande partie français (ça ne s'entend pas, notamment chez la chanteuse anglophone), énième déclinaison, grosso modo, des B 52's, mais supérieurs à mon goût en charisme et en composition à leurs contemporains The Love Me Nots, passés par ici il y a quelques mois ou années, et dont on ne regardait que la bombassiste pour oublier des titres parfois quelconques. Donc ici, du rock pêchu mais mélodieux, Farfisa à l'appui, joué par une petite chanteuse charmante à l'il comme à l'oreille, et... Lire la suite
Parlor Snakes : les chroniques d'albums
Parlor Snakes : Let's Get Gone
Chronique écrite le 12/04/2012, par Zeu Western Manooch
Aventure humaine autant que musicale, Parlor Snakes c'est l'extension du domaine du rock, un brasero sur lequel on aurait jeté du vieux bourbon, quitte à se prendre le retour de flamme en pleine poire ! Tendues à l'extrême, ces chansons propulsées par la voix féline d'Eugénie sortent constamment du cadre classique, balayant les us et coutumes du genre d'une revers ferme de la main. On pressent chez eux la tentation exacerbée de larguer les amarres,... Lire la suite