Peaches pratique un electro punk qui tue, elle incarne à elle seule le dogme sexe, drogue and rock'n roll remis au goût du jour par des incursions électro/minimal. En 2022, Peaches part en tournée pour célébrer les 20 ans de son premier album culte, "The Teaches Of Peaches" et sera le 20 juin au Trianon de Paris pour une date unique en France.
Peaches en concert
Peaches : l'historique des concerts
Lu.
20
Juin
2022
Me.
30
Nov.
2016
Ve.
18
Nov.
2016
Ma.
15
Nov.
2016
Ve.
09
Sept.
2016
Di.
28
Août
2016
Parc de Saint Cloud - St Cloud (75)
Ve.
15
Juillet
2016
Site Festival - Dour(B)
Me.
04
Mai
2016
Marché de gros - Lyon (69)
Peaches : les dernières chroniques concerts 15 avis
Festival Woodstower : Zahra Hindi + Herman dune + Tricky + Peaches + André Duracell
Après une nuit glaciale dans la toundra lyonnaise, une heure de galère pour trouver la navette pour Lyon et une petite balade dans le village artisanal, nous voilà de retour au Woodstower Festival. Pour ce deuxième jour, le moins qu'on puisse dire c'est que les organisateurs ont mis le paquet, Tricky, Peaches, et même des petits fours à l'espace pro accompagnés de ponch. Arrivés en retard pour pouvoir apprécier le quatuor composant Max Tundr, nous nous rattrapons finalement sur Hindi Zahra, jeune chanteuse aux influences orientales. Ambiance minimaliste et intimiste, c'est sur un simple "Bonjour" que tout commence. Il faut avouer que dés la première chanson, la mélancolieuse voix d'Hindi envoute l'assemblée. A la frontière du psychédélisme, les danses entreprises par la jeune demoiselle convertissent les derniers incertains. La jeune chanteuse peut se féliciter d'avoir attiré un public nombreux, pas spécialement démonstratif mais en tout cas réceptif. Les morceaux se succèdent, bien qu'un peu répétitifs ces derniers ne manquent pas d'installer une ambiance zen et relaxante. Dans un tout autre registre, c'est Herman Dune seul qui prend le relais sur l'immense scène du lac, qui, pour le coup, parait bien vide. Pas de... Lire la suite
The Kills + Peaches + Papercuts + Camera Obscura + St Vincent + Forest Fire (La Route du Rock 2009)
Une bonne nuit de sommeil n'est pas de trop pour se remettre des délicieux excès sonores de la première journée de la Route du Rock 2009... Après ce passage obligé, on se lève du bon pied avec dans les oreilles quelques restes des jubilatoires larsens de My Bloody Valentine et A Place To Bury Strangers. Mais aujourd'hui, on ne se fera pas exploser les tympans : la journée s'annonce divine avec une programmation plus calme, mais toujours aussi classe, et il fait encore beau temps sur Saint-Malo. Compte rendu du samedi 15 août : Forest Fire On commence au Palais du Grand Large avec le set bien envoyé des New Yorkais de Forest Fire, encore une brillante découverte de Talitres Records. Même si le concert n'atteint pas tout à fait les sommets du disque Survival (vivement recommandé !), le quatuor américain arrive à propulser l'auditeur dans son univers étrange, versatile et sur le fil du rasoir. L'ajout de parties bruitistes un peu anecdotiques et l'absence de violon font légèrement retomber la niveau d'un set, par ailleurs puissamment agréable avec ces allers retour entre pop, folk et rock. Ce cocktail enlevé et marquant semble être réalisé par des membres du Velvet Underground, des Beatles et d'Arcade Fire réunis pour une... Lire la suite
Peaches + Matthew Herbert (Marsatac 2006)
Ma soirée commençait grave sous le signe de "c'est quoi cette soirée de merde" / "je suis trop vieux pour ces conneries" : - d'abord je rate Mogwai, puisque j'ai boulonné jusqu'à minuit...bon tant pis, me reste encore Peaches, The Rapture, voire Vitalic dont j'avais bien aimé l'album, me dis-je... Après avoir tourné pendant plus d'1/2 heure comme un psychopathe aux alentours du J4, qui en plus est mon quartier, pour trouver une malheureuse place de parking ("minuscule" parking de la marsatac complet, stationnements totalement anarchiques dans les rues voisines), il est déjà presque 1h00 et Peaches va pas tarder à attaquer son set... J'entends au loin une chanson de The Rapture (qui doit passer à 3h00), et je me dis tiens il passe le cd de The Rapture pendant le changement de plateau avant Peaches... Et là, j'arrive sous le chapiteau "Major", et c'est vraiment le syndrome "soirée de mes couilles" : The Rapture est sur scène ! Dans un élan fébrile, je demande à une petite nénette : "ils viennent de commencer ?"...- non, c'est la fin...Ah, COOL ! En plus, ils terminent avec Olio que j'aime pas trop... Bon, je me console en constatant que le son n'est pas très bon (près de la sono...), et que The Rapture n'ont pas... Lire la suite
(mon) Marsatac 2006 : Mogwaï, 2 Lone Swordsmen, Jahcoozi, Funkstörung, The Rapture, Vitalic, Peaches, Matthew Herbert, The Hacker
Troisième édition du festival Marsatac sur le J4, et pour la première fois ils ont fait exprès d'être ici ! Ca se sent de suite : aménagement beaucoup plus réfléchi et convivial que précédemment (bon, certes les fauteuils roulants peuvent toujours aller se faire peindre, grmbl), jolis chapiteaux, toilettes peu nombreuses mais somptueuses, bars sympathiques et abrités. Une organisation discutable au niveau de l'achat des tickets de bar, mais en corollaire beaucoup plus de fluidité aux bars. Pour cette soirée "nuque longue triomphante", arrivage massif d'une population stylée - programmation électro pointue oblige. Et quelques types en tenue crado-festival (en souvenir de la poussière de l'an passé) venus plutôt pour le rock, dont je fais partie - pour voir Mogwai, Peaches, The Rapture, et le très rock Vitalic, on veut bien se déplacer quand même !! On commence avec le post-rock de Mogwaï et une première hallucination : il avait fallu se battre cet été pour ne serait-ce qu'entrer sous le chapiteau aux Eurockéennes (8000 places), et ici vu l'heure précoce (et le public plus électro), on arrive tranquille au troisième rang, sans forcer. Il est vrai que programmer ce groupe-ci, à cette heure-là et dans ce festival-ci, est assez... Lire la suite
Peaches : les chroniques d'albums
PEACHES : FATHERFUCKER
Chronique écrite le 30/09/2003, par Pierre Andrieu
Peaches est bisexuelle, n'aime pas s'épiler, aime stimuler l'anus de ses partenaires masculins et emploie une grande quantité de grossièretés dans ses textes ("fuck", "shit", "dick", "rock ‘n' roll" etc.). Tout ceci est vraiment très intéressant et devrait énormément choquer Nadine de Rotschild... Oui mais voilà, en plus de manier la provocation avec dextérité, Peaches produit l'électro rock le plus puissamment jouissif du moment. Avec l'aplomb qui la... Lire la suite
Peaches : Vidéo