Pedro, membre des Kabu Ki Budhas, joue de la guitare, de la batterie, du trombone, chante... Le tout avec des gants de boxe. Homme orchestre, oui, mais avec un groove imparable, il nous fait rentrer illico dans son délire festif et improbable.
Pedro de la Hoya en concert
Pedro de la Hoya : l'historique des concerts
Sa.
19
Déc.
2015
L'Embobineuse - Marseille (13)
Ve.
31
Janv.
2014
Ve.
17
Janv.
2014
Akwaba - Chateauneuf de Gadagne (84)
Sa.
30
Nov.
2013
Ve.
20
Sept.
2013
Je.
19
Sept.
2013
Je.
12
Sept.
2013
Je.
20
Juin
2013
Pedro de la Hoya : les dernières chroniques concerts 3 avis
Binaire + Hag + Ayatollah + Pedro de la Hoya (French Invasion Tour)
Très allechante affiche que celle ce ce soir à l'Embobineuse par laquelle passait cette mini (re)tournée intitulée French Invasion Tour avec comme sous titre " 1 Van, 9 Men, 5 bands! ", à savoir Ayatollah (Dark metal noise / Lyon), Hag (Industriel / Montpellier), Seb & the Rhâââ Dicks (Folk Song / Lyon), Pedro de la Hoya (Boxing Folk Song / Lyon) et Binaire (Industriel Neo-Punk, Lyon/Marseille). Des 5 groupes en questions je ne connais donc que les 2 derniers, mais le fait de savoir que le Seb du 3ème groupe est un ancien Kabu Ki buddah lui aussi (comme Pedro) me met encore plus en confiance. Seulement voilà ce soir je suis invité pour un apéro et l'Embobineuse c'est loin. Néanmoins ayant trouvé un indic sur place je suis tenu au courant presque en temps réel du début des hostilités. C'est ce qui expliquera que je ne raterai qu'un seul des groupes. Pas de chance pour moi ce sera Seb & the Rhâââ Dicks à propos duquel j'aurais bien aimé recueillir les impressions du Pinguin mais ce dernier a eu un contre-temps qui lui a fait aussi raté le premier groupe. Bref, je rentre au moment où Binaire (qui, une fois n'est pas coutume joue en second) attaque ; comme à leur habitude l'un en face de l'autre avec leur micro en T, calés au pied de la... Lire la suite
Pedro de la Hoya
Pour fêter une journée de boulot bien remplie et parce que je n'étais pas tout à fait sûr (et finalement j'ai eu raison de m'inquiéter) que je pourrai aller à un concert ce week end, c'est décidé ce soir je vais aller revoir Pedro de la Hoya ! D'autant que c'est à la Salle Gueule dans laquelle je n'ai encore jamais mis les pieds (sauf à l'époque où elle s'appelait le O'Bundies) Ce concert venait fêter une soirée consacrée aux éditions Même Pas Mal et plus precisement à la sortie de Euclide (séance de dédicaces à Distant District, puis expo des planches de Texier et Cecily à la Salle Gueule). Pas le temps d'y jeter un oeil en arrivant puisqu'alors que je suis en train d'accrocher mon vélo devant la porte dans une rue d'Italie à moitié vidée (de son goudron) j'entends que le concert va commencer ... Je fonce direct au sous sol qui me parait beaucoup moins sombre que pour le concert.des Mahones. J'arrive donc alors qu'il a encore son peignoir de boxe et ses gens (dont la marque a été cachée par du chatterton cette fois ;-) et c'est dans cette tenue (et avec gants) qu'il jouera l'intro. Et en plus en jouant du trombonne ! Puis il enlèvera son peignoir et ses gens pour passer aux choses plus sérieuses. La musique de (celui qui... Lire la suite
Arrington De Dionyso + Pedro de la Hoya
Critique écrite le 08 février 2009, par Mystic Punk Pinguin
L'Embobineuse - Marseille 7 Février 2009
Direction l'Embobineuse sous un vent de 120 km/heure au moins (une légère brise selon la police), pour assister à deux concerts solos de membre de groupes que j'adore, Arrington De Dionyso des déjantés Old Time Relijun et Pedro de la Hoya de non moins foutraques Kabu Ki BuddAH. Bref que du bon, et cela placé sous le signe d'une expo 3D de Dave 2000 : Exposition 3D pour la sortie de son dernier livre au Dernier Cri. C'est donc avec les fameuses lunettes bleues et rouges que nous entrons dans la salle de l'Embob' (note pour les prochaines fois : éviter de chausser ses lunettes avec la même main qui tient un verre de pinard plein...). Tentacules, femmes-serpents nues et autres plantes carnivores (dont une qui a failli avaler Ben Ed Mudshi sous mes yeux !) s'agitent devant nous. C'est sur fond de tentacules lovecraftiennes que le moustachu Arrington De Dionyso commence son set après le speech de Felix l'hôte des lieux. Mélopée hypnotique au saxo (enfin une sorte de saxo long et allongé), transe quasi chamanique, le décor est parfait. Pour son second morceau, il enveloppe son sax dans du papier alu, ce qui rajoute des froissements métalliques amplifiés au son free jazz. Barré vous dites ? Non là encore c'était (plus ou moins)... Lire la suite