Petula Clark en concert
Petula Clark : l'historique des concerts
Lu.
07
Nov.
2011
Petula Clark : les dernières chroniques concerts 2 avis
Petula Clarck + Casse-Brique + N-Twin
Probablement parce que j'ai grandi en écoutant certains de ses classiques je suis resté très fan de Leonard Cohen, c'est ce qui m'a poussé à aller le voir à Nice en 2008 puis à Nimes en 2009, et à nouveau ce soir au Dome. Néanmoins n'ayant le droit de prendre des photos que pendant un seul morceau, j'en profiterai pour me rendre à l'Enthropy pour ce plateau alléchant puisque composé de Petula Clarck qui m'avaient bien impressionné lors de leur passage à la Machine à Coudre avec les 25, et aussi de N-Twin que je n'avais pas vu depuis trop longtemps. Lorsque j'arrive ces derniers attaquent à peine. Première constatation : le bassiste à changé (l'ancien est d'ailleurs dans le public). Deuxième constatation : les cheveux de Pia ont poussé et sont ... frisés ! Troisième constatation : N-Twin est toujours un groupe de noisy rock absolument époustouflant. Rageur, tendu, torturé, bref tout le contraire de ce qu'ils semblent être dans la vie (calme, souriant, apaisés). Roland et le (nouveau) bassiste (pour moi) jouent au pied de la scène qui n'est donc occupé que par Pia. Je ne me souviens plus dans le détail de leur set, mais en gros ils ont du jouer tout le contenu de leur nouvel album (dont j'ai récupéré le vinyle à la fin et dont... Lire la suite
Lee Zeirjick + CaVe CaNeM + Petula Clarck
Critique écrite le 07 octobre 2009, par Mystic Punk Pinguin
Machine à Coudre - Marseille 3 Octobre 2009
Petite affluence pour cette soirée prometteuse de noise. Certes, on est jeudi mais c'est quand même dommage que vu le public existant pour ce style, on ne soit pas plus nombreux pour découvrir les belges de Petula Clarck. et encore une fois l'adage les absents ont tord va se vérifier... Lee Zeirjick aka Ben des 25 commence donc devant une poignée de personnes, au milieu de la Machine à Coudre, déambulant avec se gratte, sur fond de magneto K7 délivrant des boucles noise oppressantes. La base est toujours la même, 25 minutes de cette bande-son, mais par dessus son jeu de gratte change à chaque fois. Non pas qu'il délivre des riffs légers et drôles, le fond est toujours obsessionnel, mais on sent qu'il varie au grès des humeurs. Là il commencera quasi-hilare, avant de sombrer dans une phase plus autiste. En transe sur sa gratte, il enchaînera rythmiques plombées, montées progressives et diverses saturations, maltraitant sa disto sans cesse. Cette relation d'amour haine entre un homme et sa machine passera même pas une étape de "fessée" où il claquera le cul de sa gratte pour la faire vrombir (de plaisir ?). Visage crispé, il semble transmettre ses névroses à travers le manche. Comme à chaque fois, on en ressort secoué et... Lire la suite
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