Un voyage atypique en terres obscure où se mélangent trip-hop claustrophobe, rap, rock noise, perfs et vidéos.
Picore en concert
Picore : l'historique des concerts
Sa.
06
Oct.
2012
Centre Le Bournot - Aubenas (07)
Sa.
09
Juin
2012
Parc de la Gloriette - Tours (37)
Ve.
18
Mai
2012
Me.
16
Mai
2012
Ma.
15
Mai
2012
Sa.
21
Avril
2012
L'Echonova - St Ave (56)
Sa.
14
Avril
2012
La centrifugeuse - Pau (64)
Sa.
24
Mars
2012
Château Rouge - Annemasse (74)
Picore : les dernières chroniques concerts 2 avis
Picore + Kill The Thrill + Dalëk
Une soirée placée sous le signe des musiques sombres, entre hip-hop et indus, hum alléchant. Kill the Thrill on est accro à Liveinmarseille.com mais que ce soit Picore ou Dalëk, je ne connaissais que sur disque et c'est ma foi fort bloquant. Etant encore uen fois arrivé à l'heure annoncée, je poireaute un bon moment. Raah même un jeudi ça va finir à pas d'heure, dure réalité envisagée le lendemain au taf vu le manque de sommeil... Kill the Thrill Pas grave, Picore déboule sur scène. Curieux de voir ce que ça donne sur scène. Leur son sur www.myspace.com/p1core et le fait qu'ils soient signés sur Jarring Effects préfigure que du bon. Leur premier morceau est essentielement machines et rappellent furieusement le dub indus obsessionnel d'Ez3kiel. Kill the Thrill Mais au fil du set, Picore distille sa différence, faite de sons de clarinettes et trompettes free voire d'instant planants sur fond de rythmiques lourdes aux machines, à la basse et à la batterie. Des sons bien bloquant aussi avec la fameuse "antenne" qui réagit au vibration de la paume de amin (vue la premiere fois pour moi avec Jon Spencer). Kill the Thrill Mais la furie indus n'est jamais absente, notement avec un morceau où ils sortent une disqueuse qui en... Lire la suite
color blind - baratins de la joie - rhesus - picore - amélie les crayons - elka osa - mes anjes noirs - la doxa
Critique écrite le 15 décembre 2003, par Julie
Viviers 12-13 décembre 2003
Découverte printemps de Bourges au fin fond de l'ardéche ; on est arrivé en retard, on est arrivé à la fin de 'colorblind' ; jazz instru avec des chanteuses de soul, l'éclairage trop statique et l' ambiance très molle ne nous a pas aidé à nous décontracté dans une salle au tiers rempli ; rien retenu de leur musique ; ensuite arrive les 'baratins de la joie', une intro digne d'un film d aventure, avec musique et ambiance héro de la seconde guerre mondiale, malheureusement lorsque la musique et le chant ont commencé on s'est rendu compte que ce groupe n'avait pas la carrure de leurs costumes ; Non vraiment le festif y en a marre ; je crois que c'était le groupe local, et bien ce fut un supplice ; ensuite Rhesus arrive sur scéne, le public était bourré je crois car des gens les insultaient au premier rang ; malgré leur fébrilité apparente ils s'en sont bien sorti avec du rock bien envoyé et de choses plus calmes ; sentant... Lire la suite