Originaire d'Athens, le groupe américain R.E.M. développait des mélodies aériennes et lumineuses, le tout sur des textes sombres, profonds et inspirés. Actif de 1980 à 2011, le combo formé par Michael Stipe (au chant), Peter Buck (à la guitare), Mike Mills (à la basse) et Bill Berry (à la batterie) est devenu légendaire grâce à ses multiples tubes intemporels : "Losing my religion", "Eveybody hurts", "Shiny happy people", "Drive", "The One I Love", "It's the End of the World as We Know It (And I Feel Fine)", "What's the Frequency, Kenneth?", "Daysleeper", "E-Bow the Letter", "Imitation of life" etc.
R.E.M. en concert
R.E.M. : l'historique des concerts
Sa.
20
Sept.
2008
Je.
28
Août
2008
Domaine National de St Cloud (92)
Je.
28
Août
2008
Domaine National de St Cloud (92)
Sa.
16
Août
2008
Obuda Island - Sziget
Di.
27
Juillet
2008
Site Paléo Festival - Nyon (Ch)
Me.
09
Juillet
2008
Ma.
08
Juillet
2008
Sa.
05
Juillet
2008
Plein Air - Bilbao (Esp)
R.E.M. : les dernières chroniques concerts 18 avis
R.E.M. + Joseph Arthur
17 000 personnes avaient assisté à la prestation de R.E.M. au Pavilhão Atlântico, en 1999. Environ 12 000 spectateurs s'étaient déplacés, le 7 janvier dernier dans ce même lieu, à l'occasion de la première date européenne de la tournée 2005 du trio d'Athens. Comment expliquer cette désaffection ? Le public de R.E.M. a mûri : les aléas de la vie font que la musique a été reléguée au second plan des préoccupations de beaucoup de fans du combo nord-américain. Par ailleurs, R.E.M. n'a pas sorti d'album majeur depuis Up, et n'en publiera vraisemblablement plus. Toutefois, l'annonce de cette virée, au coeur du Premier Monde, augurait de très bonnes vibrations, tant Michael Stipe est réputé pour être un excellent performeur. Ce dernier introduira, himself, Joseph Arthur au public Lisboète. Un Michael inquiétant, au premier abord, avec barbe hirsute et casquette de grand-père : le sieur qui comptabilise 45 ans au compteur, en paraissait subitement 10 de plus : l'effet Vote for change ? Joseph Arthur, ex-futur prince du folk inspiré - qui ressemble de plus en plus à Liam Gallagher versant tête à claques - ne marquera pas son époque. Même s'il chante dans 15 ans ses acceptables ritournelles, on ne saura toujours pas qui il est. Manque de... Lire la suite
Concert hommage à David Bowie (avec Michael Stipe de R.E.M, Karen Elson, TV On The Radio, The Flaming Lips, Debbie Harry, Robyn Hitchcock, Pixies, Tony Visconti, Amanda Palmer, Anna Calvi, Kronos Quartet, Joseph Arthur etc)
Critique écrite le 10 avril 2016, par Demi Playmobil
Carnegie Hall, New York 1er avril 2016
Soirée hommage à David Bowie au Radio City Hall, à New York, hier soir... Le groupe de Mc Caslin qui joue sur le dernier album de du Thin White Duke Blackstar a composé une superbe version instrumentale de Lazarus. Kyp Malone de TV On The Radio a joué une version incroyablement belle de Moonage Daydream. Le grand moment de la soirée, c'était la magnifique version de Ashes to ashes par Michael stipe (dans la lignée de sa reprise de The man who sold the world) en compagnie de Karen Elson... Amanda Palmer, Anna Calvi et le Kronos Quartet ont repris Black star, mission impossible et pourtant superbement réussie. Très belle version de Life on mars par les Flaming Lips, avec un Wayne Coyne à dos de chewbacca pendant tout le morceau. Les Pixies ont repris Bowie reprenant les Pixies : le titre Cactus... Bowie avait en effet repris ce génial morceau du combo de Black Francis sur un de ses propres disques ! Joseph Arthur a fait une version solo foutraque de The man who sold the world tout en brandissant un drapeau... Lire la suite
R.E.M. + We Are Scientists
La Rockal qui accueille le groupe ce soir, semble sorti de nulle part. Pas facile d'y arriver, le Gps nous arrête un peu trop tôt, et après un détour par le centre ville, nous voici revenus a notre point de départ, mystère de la technique. Mais nous comprenons vite dans quelle direction il nous faut nous diriger au vu des voitures qui se suivent à la queue leu-leu. La réceptionniste de l'hôtel nous ayant alertés sur la difficulté de se garer, nous stoppons sur un parking proche, et décidons de finir à pied. Nous ne sommes pas les seuls d'ailleurs à opter pour cette stratégie. Le paysage autour de nous est indescriptible, finalement bien dans l'esprit de la pochette de Accelerate, sauf que nous sommes au beau milieu d'une friche industrielle. Les bâtiments sont marrons, rouillés, et il y a des gravats partout autour de nous, sacré chantier . j'aurais bien du mal à imaginer qu'une salle de concert puisse avoir été érigée ici, sans la présence d'une tour ultra moderne pour me rappeler que la vie continue. Après un chemin qui me semble interminable, nous touchons au but car il y a une queue importante pour rentrer. J'y gagne un Cd d'un guitariste amateur, et après une fouille en règle, nous pénétrons dans la salle. Le bâtiment est... Lire la suite
R.E.M., Tricky, Dirty Pretty Things, Hot Chip, Narrow Terence, These New Puritans, Plain White T'S, Kaiser Chiefs, Apocalyptica (Rock en Seine 2008)
Grâce au show impeccable des vétérans de REM, la journée du 27 août restera en tête comme un excellent moment pour les festivaliers réunis au Domaine de Saint-Cloud à l'initiative de Rock en Seine... La bande à Michael Stipe, remontée à bloc (comme à Vienne en 2003), a en effet très vite fait oublier la prestation dramatiquement triviale et lourdingue des Kaiser Chiefs, qui étaient programmés juste avant sur la grande scène. Hurler à qui mieux mieux et haranguer la foule permet parfois de passer en force auprès du public, mais proposer de bonnes chansons semble une bien meilleure solution... C'est celle qu'a choisi le groupe d'Athens : présenter un show best d'1h20 (un peu trop court !) composés des titres intemporels ayant jalonné son irréprochable carrière et l'agrémenter avec des titres récents (majoritairement en dessous du niveau des autres). R.E.M. Malgré une ou deux - légères - baisses de régime artistique, les bons moments se succèdent donc. Commencé avec le puissant et fédérateur Bad day, le concert permettra au public d'apprécier des versions tour à tour musclées ou touchantes de Drive, What's the frequency Kenneth, Ignoreland, Electrolite, Fall on me, The One I Love, Let me in, Imitation of life, sans oublier le... Lire la suite
R.E.M. : les chroniques d'albums
V/a : Kurt Cobain About A Son
Chronique écrite le 09/04/2008, par Pierre Andrieu
La BO du film About A Son permet de faire un tour quasi complet des influences de feu Kurt Cobain, et de comprendre ainsi la genèse de l'univers de Nirvana... Le métal rock experimentalo bruitiste des Melvins, le blues ancestral de Leadbelly, la pop des Vaselines, de Half Japanese et de R.E.M., le rock de David Bowie et d'Iggy Pop, le grunge de Mudhoney et de Mark Lanegan, la country folk d'Arlo Guthrie et de Creedence Clearwater Revival ou encore les embardées punk bruitistes des Bad Brains et des Butthole Surfers, tout ce tourbillon de musique... Lire la suite
R.E.M. : IN TIME 1988-2003
Chronique écrite le 05/11/2003, par Pierre Andrieu
En 1991, le premier label de R.E.M., I.R.S., avait fait paraître The best of R.E.M pour capitaliser sur le succès du single Losing my religion et de l'album Out of time. Cette excellente première compilation couvrait la période 1982/1987 et permettait de revenir sur les premiers albums du groupe d'Athens... En 2003, les données ont changé, R.E.M. est toujours un groupe unique artistiquement mais traverse une mauvaise passe au niveau des ventes de disques. Pour relancer la carrière du groupe, l'idée d'un album Best of précédé par une tournée mondiale a fait son chemin... Après avoir vérifié la forme éclatante du groupe sur scène cet été lors d'un concert mémorable au théâtre antique de Vienne dans le cadre du festival Les Côtes du Rock, on se retrouve donc avec In time 1988 - 2003 entre les mains (et les oreilles). Ces 18 titres sont l'occasion d'un agréable retour sur les albums Green,... Lire la suite
R.E.M. : Vidéo
R.E.M. : écoute
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