Entre rock et electro, ils agitent au shaker leur cocktail d'influences.
Redlight en concert
Redlight : l'historique des concerts
Ve.
28
Avril
2017
Ve.
24
Mars
2017
Je.
22
Sept.
2016
Le Brin de Zinc - Chambéry (73)
Ve.
14
Fév.
2014
Le Social Club - Paris (75)
Ve.
17
Janv.
2014
Ma.
26
Nov.
2013
Ve.
05
Juillet
2013
Rue Consolat - Marseille (13)
Sa.
08
Juin
2013
L'Arlequin - Mozac (63)
Redlight : les dernières chroniques concerts 4 avis
Rue du Rock #1 (Festival Phocea Rocks) : Blah Blah + Mechanical Breed + Street Wanderer + Sicilian Disasters + 2014 + Memento Mori + Nitwits + Larsen Autist + Crumb + Redlight + Ed Mudshi + Partisan + Sobers + Panda Mojo + Fencies + Frozen Yellow Spot ...
De toutes les dates du festival Phocea Rocks celle ci était sans doute la plus culottée (plus que d'avoir fait passer 13 groupes locaux en un soir à l'Espace Julien) sinon en tout cas la plus originale. Le concept faire jouer un maximum de groupes dans des garages ou commerces de la rue Consolat (rebaptisée pour l'occasion Rue du Rock) ... Après moults péripéties organisationnelles (choix de la date, partenariat, sponsors, autorisation de fermer la rue, assurance, sécu, lieux ou groupes qui se retractent, ...) nous voici vendredi 05 juillet à 16h entre gens qui ne travaillent pas (ou qui ont pu prendre leur vendredi après midi) pour célébrer le rock marseillais avec une grosse vingtaine de groupes qui donneront donc des sets d'une grosse trentaine de minutes dans 5 lieux, de bas en haut : le garage de Marsatac, le Pole Info Musique (PIM), le garage de Thomas, le Resto du Midi et Casa Consolat. C'est Blah Blah qui attaque au PIM ... Hervé et Pierrot sont en forme et le son et bon Du coup les textes sont beaucoup plus intelligibles que lors de leur concert de la semaine dernière à la Machine à Coudre. Rentre dedans, sous un influence Béruriers Noirs assumée et même revendiquée, le sourire au lèvre il enchainent leurs titres devant... Lire la suite
Redlight + Cancels
Tout juste échappé du Poste à Galène où jouait Revolution Urbaine me voici au Lounge où je n'ai pas mis les pieds depuis fin octobre dernier. Deuxième étape d'une soirée qui finira logiquement à la Machine à Coudre avec les Keith Richards Overdose. Si me voici au Lounge c'est pour revoir les Redlight que j'avais eu tant de plaisir à découvrir lors des Massiliades 2010, et visiblement je ne dois pas être le seul ... en effet le Lounge est bien plein ! Cancels (the ou les) est sur scène quand j'arrive ... de gauche à droite : Jean-Louis (guitare), Fabien (batterie), Fred (guitare/chant) et Nico (basse) ... Quand je ne connais pas du tout un groupe, comme là, je cherche dans les détails des pistes ... Fred porte un t-shirt de Karaté, Jean-Louis un de Mickey avec des écouteurs ... Même si j'ai un peu de mal à faire la différence entre les morceaux, ceux ci sont plutôt sympathiques et le public est réceptif même s'il garde un peu ses distances par rapport au devant de la scène. Entre chaque morceaux le chanteur fait d'ailleurs des signes au public pour que celui ci approche ... il faudra cependant attendre l'avant dernier morceau (quand il joindra la parole aux signes) pour qu'il obtienne gain de cause. Le chant est en anglais ...... Lire la suite
Agop + Watine + Redlight
A l'heure où les petits lieux de musiques actuelles s'éteignent les uns après les autres, jugés bruyants et nuisibles à la paix du voisinage, il y a de la bravoure à vouloir continuer, désirer évoluer et voire même changer. Le Lounge fait partie des quelques résistants gaulois à vouloir se réinventer et continuer d'offrir une rare qualité d'accueil tant aux artistes invités, qu'aux photographes de lives et à son public. Samedi soir, c'est le South Indies Festival qui s'arrêtait à Marseille, nous invitant à écouter Agop, Watine et les Redlight. Lancé à l'initiative du label Forget-Me-Not Records qui tourne sur tout le sud, comme son nom l'indique. Une fois n'est pas coutume, le lieu était plein à craquer et l'ambiance vraiment chaleureuse. Agop nous a fait planer dans son univers urbain, sombre et inspiré. Le choix de... Lire la suite
Redlight + Crowne + Kabbalah + Debout sur le Zinc (Les Massiliades 2010)
Grosse grosse soirée à nouveau à l'Espace Julien. Le lendemain de la soirée Nova (que j'ai séché cette année malgré la présence de Kid Francescoli et des Chinese Men que je n'ai donc encore jamais vu en live, pour aller à la place découvrir la Noche) c'est au tour de l'école Centrale Marseille d'investir le lieu pour un festivbal d'un soir qui regroupe pas moins de 4 groupes allant du local au (inter)national. Sortant tout juste du Daki Ling où je viens de me marrer à écouter le spectacle Paco chante la Paix, j'arrive alors que le premier groupe est déjà sur scène. Redlight c'est ce groupe que je ne cesse de rater. Bien failli les voir après Watine au Lounge, mais j'étais retourné à l'anniversaire de Massilia Burning / Chavana à la Machine à Coudre et ce n'est donc que tout récemment, après avoir écouté leur album disponible en libre téléchargement sur leur site, que j'ai pris un bonne petite claque avec leur EP What's going on ?. Sur scène ils sont donc 6 : 1 chanteur, 2 guitariste, 1 bassiste, 1 batteur et 1 clavier. Il est amusant de remarquer que dans les rangs de ce groupe résolument rock on trouve quelques musiciens qu'on a plutôt l'habitude de voir dans le " reggae " (au sens large). Ainsi le clavier fait partie... Lire la suite
Redlight : les chroniques d'albums
Redlight : What's Going On ? (ep)
Chronique écrite le 28/03/2010, par Pirlouiiiit
Apres être honteusement passé à coté de leur premier album Crash System Control (téléchargeable ici) et les avoir raté de peu en concert, il aura fallu donc attendre la sortie de cet E.P. pour que j'ai l'occasion de rattraper un peu mon retard. Et quelle surprise ! 5 titres tous plus puissants que les autres et dans un style inattendu pour le plus west coast des groupes marseillais. On trouve en effet dans leur rock puissant des influences qui vont des Red Hot aux Beastie Boys en passant par Beck ou encore Rage Against the Machine. Que ce soit le titre phare What's going on ? (le plus rapé des 5), le jouissif N.Y.C. et son petit côté grunge à la (feu)-Layne, le torturé (comme pouvait l'être Forrest for the trees) Litte... Lire la suite