Chanteuse australienne à la croisée du jazz et d'un folk moderne.
Sarah Blasko en concert
Sarah Blasko : l'historique des concerts
Sa.
21
Mai
2016
Botanique - Bruxelles (B)
Je.
19
Mai
2016
Ma.
10
Déc.
2013
Ma.
16
Avril
2013
Café de la Danse - Paris 11ème (75)
Sa.
13
Avril
2013
Sa.
29
Oct.
2011
Salle Del Castillo - Vevey
Je.
02
Déc.
2010
Epicerie Moderne - Feyzin (69)
Sa.
17
Juillet
2010
Sarah Blasko : les dernières chroniques concerts 2 avis
Stolen Sweet Hearts + Sarah Blasko + Eiffel + Maccabees + Coeur de Pirate + White Lies + Wax Tailor + Indochine + Luke (Festival Musilac 2010)
Il est 14h, les barrières bloquent l'accès aux scènes, mais les indofans sont au rendez-vous. Ils chantent déjà sur les tubes des balances du groupe. Nous sommes de retour à Musilac (comme le soleil) pour cette dernière journée. Et après le sprint des fans pour les premiers rangs, nous découvrons Stolen Sweethearts. Et je prends alors conscience qu'ouvrir une journée de festival par un groupe de rock français anglophone est sûrement devenu une tradition. Même si leur musique reste excellente, un plat réchauffé est toujours moins bon. Ensuite la programmation nous avait annoncé La Patere Rose, mais en fait non ça sera Sarah Blasko. Oulala ! que se passe-t-il aujourd'hui ? Serait-ce la chaleur ? La douce voix de Sarah, tout comme le public, semble écrasée sur l'esplanade par ce soleil de dimanche. L'australienne fait étrangement penser à Cat Power, mais le public de majorité indochinoise n'accroche pas, trop fatigué, trop chaud ! Mais Eiffel rebooste tout ça, avec son rock français (en français s'il vous plait) à la Noir Désir. Le chanteur a d'ailleurs des faux airs de Bertrand Cantat. Ils sont relayés haut la main par The Maccabees, qui récolte une ovation du public. Il est 18h. Le soleil libère le public de ses... Lire la suite
Festival de Robion : Sarah Blasko + Yasmina
Flap flap, je vais voir Sarah Blasko, flap flap. L'écrin est à la hauteur. C'est ici que surgit de terre le Luberon. Le Théâtre de Verdure de Robion est au pied-même de la falaise où naît ce massif cher à mon coeur qui s'efface à Apt avant de rejaillir vers l'est. Cette soirée va lui ressembler. Il inspire le premier groupe, auteur d'une première partie euphorisante. Ce quatuor originaire de Lyon emmené par Yasmina, frêle féline nus pieds, débute par une pièce chantée en anglais assez anidifrancoesque où contrebassiste et guitariste grattouillent leurs cordes en alternance en amont et en aval de l'accord. On sera par la suite davantage dans l'esprit de l'étiquette originelle de ce festival "Musique du Monde". Les pieds nus ont fait école sauf pour le contrebassiste, dissident, en tongues. Les mains sont nues la plupart du temps aussi pour le percussionniste plus attiré par son djembé que par ses caisses et cymbales. Moment chargé d'émotion lorsqu'elle nous raconte le parcours de ses parents, mère oranaise, père kabyle et leur voyage vers Lyon en intro d'un merveilleux Lâchez Les Lyons. Sept titres seulement mais sept très agréables voyages à travers la planète (sonorités africaines ou indiennes) ou dans le temps (2043).... Lire la suite