Deux basses et une batterie, pour un rock halluciné où des bribes de hardcore, mimiques de jazz cohabitent tant bien que mal, et de chaque collision, jaillit une tonne d'énergie, rayonnante, anticonformiste. Avec Le Singe Blanc, oubliez tout ce que vous croyiez savoir sur le power trio, la rationalité la plus basique de construction d'un morceau...
Le singe blanc est né à Metz en Automne 2000. Imposant à gros coup de basse basse batterie leur yéyé débile aux paroles alléchantes, il se mettent à écumer les salles et squatts de France et de Navarre avant de prendre lEurope dassaut (de la Belgique à lEspagne en passant par lItalie, lAllemagne ou lAutriche). Après avoir semé sur leur passage un certain nombre de créations automatiques (lsb 01. 8titres . 2001 ; LSB 02 ; 5 titres . 2002), puis semi-automatiques leur permettant de raffler au passage un distributeur belge, "Mandaï distribution"- (Gol-Goth-Attack, 21 titres . 2003 ; Witz . 14 titres . 2004), ils passent aujourdhui aux gros calibres et publient chez Keben records "Strak !" leur petit dernier excité comme cest pas permi et qui devrait sauter des bacs dès octobre 2006 (distribution française via Overcome ; Japon via Town tone et Bénélux via Mandaï). Alors que les journalistes se larrachent déjà pour le chroniquer, Lsb repart en tournée dès le mois de septembre pour allez faire fondre les cervelles de tous les fans de heavy metal jusquen Chine ! Quon se le dise le Singe Blanc na pas froid aux dents.
Le Singe Blanc en concert
Le Singe Blanc : l'historique des concerts
Sa.
30
Nov.
2019
Ma.
26
Nov.
2019
Je.
24
Janv.
2019
Sa.
24
Nov.
2018
Ve.
16
Nov.
2018
La Carene - Brest (29)
Je.
25
Janv.
2018
Sa.
07
Oct.
2017
Sa.
27
Fév.
2016
Le Singe Blanc : les dernières chroniques concerts 2 avis
Accelerator Jo + 25 + Le Singe Blanc + Lucertulas
Marseille 2111 L'heure est a la crise, partout en France et dans le monde, la musique se meurt. Plus exactement, certaine émotions musicales disparaissent, victimes d'un mystérieux virus. Voilà que les aberrations déambulent dans la rue, avec leurs faciès putrefiés de zombies du bois de Boulogne, projetant leurs déjections roses contre les murs, en poussant des râles de cormorans agonisants sous le pétrole. L'horizon n'est plus qu'un terrain vague , et le ciel le dernier refuge pour pleurer. Dur les gars. Super dur. Les survivants se nourrissent de barres mars périmées et de fanta frelaté. En regardant le Mickey souriant sur l étiquette , l'ironie devient insoutenable. Quelle est loin l'époque ou l on pouvait encore croire a l'illusion du bonheur. Il est mort le soleil, il est mooooort gémissent les non-infectés au fond de leurs caves insalubres éclairées par la Lumière anachronique de leurs lampes de poches. C est l'échec grave. Alors comme dans Postman (oui Postman), et quand la nuit n est pas trop meurtrière, les humains se retrouvent dans l'Embobineuse, une ancienne usine de taille-crayons reconvertie en asile d' alienés post-apocalyptique. J'y suis ce soir, parceque ce n'était pas trop dur de se frayer un chemin pour une fois.... Lire la suite
Le Singe Blanc
Critique écrite le 09 décembre 2005, par Mystic Punk Pinguin
Machine à Coudre - Marseille 07 Décembre 2055
Après Kabu Ki Buddha, Binaire et Stanley Kubi, Marseille accueille un nouveau groupe de punk barré avec le Singe Blanc. Le trio, deux basses et une batterie, investit la scène et d'entrée mettent les choses au point. Sans bouchons, j'y laisse les tympans. Première fois que ça m'arrive mais le son est trop fort, je passerais le concert dans les escaliers. Cela n'enlève rien à la qualité du groupe qui envoie une musique oppressante, viscérale qui laissera pas mal de gens scotchés. Ici pas de grand guignol comme les Kabu Ki Buddah ou Stanley Kubi, l'ambiance est plus proche des (mythique) The Ex (petit rappel, en concert au Poste à Galène le 12/02/2006). Le son noisy du Singe Blanc te chope, te vrille le cerveau et malgrès tout te fait bouger. Même si les cassures de... Lire la suite
Le Singe Blanc : les chroniques d'albums
Le Singe Blanc : Babylon
Chronique écrite le 27/10/2010, par Zeu Western Manooch
Captain Beefheart époque Trout Mask Replica, Primus, Mr Bungle et Sloy...Il eut été si simple de démarrer et conclure de ces quatre noms, de refermer ce billet sur Le Singe Blanc (LSB)en claquant la porte de ce grenier où s'étiolent les délires fumeux d'une musique blues, funk, punk et arty. Mais voilà que ces pestes se mettent à associer ferveur et talent. Va donc falloir en mettre un coup, là. LSB navigue à vue dans les eaux troubles de l'art-rock, depuis un bail maintenant, entre bruit et fureur, agitation du bocal et second degrés. Nous les pensions radicaux, on les découvre radicalement différents, littéralement à part, capables de... Lire la suite
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