Wild rock'n'punk. Ex Puceaux.
Sons of Mabuse en concert
Sons of Mabuse : l'historique des concerts
Ve.
29
Oct.
2010
La Machine à Coudre - Marseille (13)
Ve.
02
Avril
2010
La Machine à Coudre - Marseille (13)
Ve.
05
Mars
2010
Sa.
21
Mars
2009
Le Local - Marseille (13)
Je.
18
Déc.
2008
Sa.
15
Nov.
2008
Le Café Provisoire - MJC - Manosque (04)
Ve.
18
Avril
2008
Embobineuse - Marseille (13)
Sa.
12
Avril
2008
Salle des Fêtes - Dauphin (04)
Sons of Mabuse : les dernières chroniques concerts 3 avis
Sons of Mabuse + Crumb
Il y a deux choses qu'il faut que je fasse : acheter Red Dead Redemption pour me prendre pour un cowboy sociopathe et écrire une histoire de transat meurtrier. Mais la baffe du kif me fait déjà voir dans la rue de la Loubière des bouledogues aux regards sataniques. Tels des cerbères nains ils m'accueillent aux portes de la rue d'Aubagne et me toisent gravement de leurs yeux globuleux alors que je passe près d'eux, vers la pente infernale qui mène à la Machine à coudre. "achète le jeu" me dit l'un d'eux d'une voix de Barry White plutonien, "c'est de la bombe". "Prend le et savoure ses somptueux décors de pampa synthétisée sur le dos de ton fidèle mustang" me dit un autre "Du sang, du sexe, et des lassos" continue un troisième avec le même timbre de basse. Je les toise d'un air ahuri en clopinant sur le pont. La pub est vraiment partout. Voici que l'on passe près de la façade noire de l'église sans nom qui s'affaisse ici depuis des siècles, et les lumières guirlandesques au bout du tunnel nous guident, cahin caha, aux abords de la salle, discrète comme un vendeur de fausses montres. On entre dans le saloon, et la musique s'immisce, pareille à une bande son de film. Je me fige devant le tableau. Un véritable Velasquez. "Musicien ... Lire la suite
Corde Raide Editions 'Release Party' (Nitwits, Dolipranes, Lo, Chaminas, Lazybones, Le Nain, Backseat Girls, Les Puceaux, Elektrolux)
Soirée bien sympathique, paraît-il pour fêter la sortie d'un nouvel opus dans la déjà très vantée collection des éditions Corde Raide. Enfin bon c'est aussi et surtout un prétexte pour une bonne trentaine de musiciens, de venir rigoler sur scène et en backstage en reprenant chacun son tour trois titres punk, avec plus ou moins de travail de préparation/adaptation avant. On monte dans la fosse à la seconde où terminent les Nitwits (dont on a toujours pensé, et écrit le plus grand bien), on passera donc directement aux Dolipranes, un trio de grands gars minces avec des grands nez, qui jouent très bien de leurs instruments, chantent un tout petit peu moins bien, en tout cas un punk-rock de très bonne facture. Cela dit ils reprennent surtout des titres de stars locales (les Dirty Solex, ça vous parle ? moi non). En tout cas c'est sympa, un petit côté Hatepinks en plus sérieux ... Parlons-en brièvement des Hatepinks tiens, ça sera fait : ils sont là tous les 4 et ne joueront pas ce soir pour des raisons obscures ou plutôt, qui les regardent - quoi qu'il en soit ils auraient eu une occasion unique de jouer unplugged, dommage. Ensuite, l'entrée en scène de Lo vire un peu au gag (Xavier le bassiste n'avait pas compris que c'était à... Lire la suite
Napalm Tex and the Ashtrays + Les Puceaux
22 minutes la Plaine - L'Embobineuse à pied et avec une entorse. Bon score mais une cheville en feu après ça... J'arrive vers 23h30 et j'ai encore manqué Backseat Girls que définitivement je n'aurais jamais vu dans cette formation avec Nico Gasoil qui reprend la route... J'arrive et Les Puceaux sont déjà en train de jouer. On avait déjà été emballé par ces jeunes cons (c'est un compliment) lors de la soirée Cordes Raides à la Machine à Coudre mais bon comme on était bien entamé, une vérification (un peu plus) à jeun était nécessaire. C'est ça l'intégrité journalistique. Alors je suis formel, la nouvelle génération punk rockers vient bien des Alpes ! Les Puceaux déchire leur race (c'est aussi une expression) avec une formation en trio cette fois, un punk rock sous influence des ancêtres du genre (Aggravation), une rage à peine contenue et une envie de jouer évidente. Ne respectant rien, ils cassent tous les dogmes gasolheadiens, les Puceaux jouent vite, énervés, mais souvent plus d'1mn30s ! S'aventurant même parfois dans des aventures bruitistes. Un dernier avec un clavier qui apporte une touche krautrock / punk analogique 80's pour finir. Enthousiasmant et plus que prometteurs ! Mon entorse et moi on était pas spécialement motivé... Lire la suite