Dans la lignée d'un Prince, il mélange funk, soul, électro, hip hop, pop. Dans les fondements d'une discothèque en vrac, il y a l'afrobeat de Fela qui tourne en boucle dans la maison familiale, la sensualité de Sly Stone, le Bikutsi et Makossa du Cameroun originel, la poésie amère de Mélodie Nelson ou la culture hip-hop du "Montreuil City Zoo".
Spleen en concert
Spleen : l'historique des concerts
Ve.
13
Déc.
2013
Je.
31
Oct.
2013
Ve.
25
Oct.
2013
Lu.
07
Oct.
2013
Me.
15
Août
2012
Me.
15
Août
2012
Di.
27
Mai
2012
Di.
12
Juillet
2009
Site - Marseillan (34)
Spleen : les dernières chroniques concerts 6 avis
Spleen
Spleen, c'est le mot. Lorsque l'on rentre dans la salle de concert de l'Affranchi avec une bonne demi-heure de retard sur l'horaire affiché et que l'on compte moins de 40 personnes, on prend un coup au moral. Gentiment, l'équipe de l'Affranchi fait un peu durer et la salle se remplit un peu mais ne dépasse pas les 80 âmes. Bonne occasion pour se mettre au premier rang. On ne le regrettera pas. Spleen va nous mettre le feu. C'est fou le bordel que ça fait 80 excités. Spleen, donc, entre en scène avec son backing band qui va bien. En quelques notes, on sent que le groupe est bon, bien en place. Spleen s'adresse au public : "bon qu'est-ce qu'on va jouer maintenant ?". Un fan : "Tu l'aimeras" ! (le tube). Spleen : "Ok" et vas-y pour le tube en version rock brutal. Miam ! C'est ça la recette de Spleen, une interaction... Lire la suite
Spleen, Q Bert, Public Enemy, Amon Tobin, Sayag Jazz Machine (Marsatac 2006)
Ces dernières années, j'étais une adepte du 100% Marsatac à savoir la totale des soirées avec déambulation maximum pour être sûre de ne rien louper. Ce qui m'avait permis de faire le plein de découvertes et de passer de super moments (aaahhh Buck 65 et Birdy Nam Nam, pour ne citer qu'eux ...) Une fois n'est pas coutume, ce samedi de clôture sera pour moi la seule occasion de profiter du cru 2006 de Marsatac. Je mise donc tout sur cette unique soirée et m'en vais dès 19H place de Lenche pour profiter de l'apéro. Une très bonne idée que d'investir le Panier ! Sur place c'est plutôt détendu : plein de monde et du très bon son soul, electro, funk, hip hop avec notamment une belle performance de la scène locale dignement représentée par Selecter the Punisher. L'idéal pour se mettre en jambe. Tellement sympa que je tarde à me diriger vers l'esplanade du J4. Arrivée là-bas vers 21H30 je me heurte aux imperfections du petit festival devenu grand. Ça démarre avec des places gagnées à un jeu-concours qui mystérieusement n'apparaissent pas sur la liste des gagnants ?!? La soirée se jouant à guichets fermés, ça amputera ma joyeuse bande de deux amis ... autant vous dire que ça casse l'ambiance. J'enchaîne avec l'accueil musclé du service... Lire la suite
Spleen + Parade
Soirée découverte pour moi, ce soir, au NoMad Café. Les groupe à l'affiche, Parade et Spleen, ne me sont pas familier et le domaine dans lequel ils officient itou ! Je dis peu familier, car malgré une ouverture d'esprit que je revendique prétentieusement, je fais peu de concert dans le style proposé ce soir. Allez zou, on ouvre les débats avec Parade, jeune trio originaire du Sud Ouest dont c'est ce soir, seulement, le deuxième concerts de leur carrière, avec un EP à leur actif. Un batteur, un claviériste et un chanteur-guitariste en costard qui mène la danse. Voilà l'effectif. Ils sont tout beaux, bien sapés, et propose une funk-soul aux accents tantôt rock, tantôt chanson, portée par un chanteur aux mimiques tout à fait expressives. Bon, faut quand même attendre la fin du premier titre pour les voir se détendre et se dérider un peu, les loulous...mais une fois le groupe lancé, on se surprend rapidement à taper du pied et à remuer du tafanari. C'est que les titres sont bien ficelés et envoient même méchamment du steak -si vous me permettez l'expression- quand le guitariste, Simon Prouveze, envoie les doigts pour balancer quelques soli pas piqués des vers. C'est qu'il sait jouer le bougre ! Et la je sais bien que c'est... Lire la suite
Yael Naim + Spleen
Mini chronique presque 2 mois après pour rattraper mon gig retard. En venant vois Yael Naim j'étais un peu méfiant. Toutes ces chanteuses à la belle voix qui débarquent du jour au lendemain sur les ondes et à la télé (genre Ayo)... ça ne m'a jamais inspiré confiance ... surtout quand c'est dès le premier album. 2 semaines après avoir été déçu par le set de Alena Diane au Poste à Galène je m'attendais pas franchement à mieux ... Et pourtant ... première partie plutôt sympa (dont je ne verrai que la fin) avec un Spleen (déjà vu à Marsatac) bien en forme ... avec un set quand même beaucoup plus calme que la dernière fois. Accompagné d'un pianiste, un beatboxer, et un guitariste (pas de batterie je crois) il charmera l'essentiel de l'Espace Julien (qui affichait complet) avec ses morceaux et son bagou de crooneur entre ... un peu à la P'tit Dernier en plus carré musicalement. Puis vint le tour de Yael Naim ... sous le charme de laquelle je tomberai assez vite. Un peu comme An Pierlé (cf ici) elle est souriante, fraiche, naturelle, se fait plaisir, ne donne pas l'impression de calculer ses gloussements parfois enfantins et elle a en effet une superbe voix. Discrètement accompagnée par un bassiste (dans le fond), un... Lire la suite