Chanson variable. Des mélodies simples et attachantes, des textes à fleur de peau ou à bout de nerfs, un univers intimiste et réservé, entre confusion des sentiments et critique sociale, dérive des sens et folie ordinaire.
Stephane Pena en concert
Stephane Pena : l'historique des concerts
Ve.
09
Mars
2007
Sa.
16
Sept.
2006
Machine à Coudre - Marseille (13)
Sa.
06
Mai
2006
Machine à Coudre - Marseille (13)
Ve.
28
Avril
2006
Stephane Pena : les dernières chroniques concerts 3 avis
Huggie and the Glitters, P?Na! (Pena), Ich bin Dead, Cowboys from Outerspace (Night of the Dead Ratakans)
Ouaip, ça devait arriver, ce coup-ci c'est la fin des Ratakans. def. Ratakans : A kind of Punk 77' - Badge & sunglasses wearing - Japan &/or garage - Hate and love - poseur Gig Organisers, located in the Eastern South of France, and most usually in the Jean (punque)Roque Street. Ce coup-ci pas d'excuse footballistique - rappelons que la défaite de l'OM face à P%#f?ck$SG en avril dernier a au moins permis à l'asso Ratakans de vivre un peu plus longtemps (6 ans et quelques d'après nos calculs). La fête avait été belle pour ses 5 ans, on ne s'est donc pas retenus d'aller enterrer la sale Bête. Comme à peu près l'intégralité du public R'n'R de Marseille. Ce soir donc trois groupes de rock et un poète maudit à l'affiche. A la Machine à Coudre évidemment. déf.Huggie and the Glitters : Groupe d'apparence volontiers dépravée, composé de morceaux des Hatepinks, d'Aggravation et de dieu-sait-qui encore. Pratiquent un rock'n'roll pétaradant, assez jouissif, jouent trop fort et avec un chanteur de qualité mais braillant un peu trop près du micro (que du bonheur, donc). Très plaisante boule à facette, un amour probablement démesuré du strass et des paillettes. Album à paraître circulant déjà sous le manteau de certains individus. Idéal... Lire la suite
Pena + Blah Blah + Professeur Sombre + Dj Oscar
Soirée de soutien à des NON-victimes de violences policières (Tous les détails de l'affaire, ici), une remarque mesquine me fait dire que c'est pas les groupes qui gueulent le plus "Révolution !" qui se mobilisent... Pas mal de monde, notamment des militants, pas forcement mélomanes qui squatteront plus le bar que la salle de concert (pas grave l'important c'est de ramener la thune pour les amendes !). Dommage pour eux tout de même car ce soir la programmation est de très grande qualité ! Tout d'abord un duo avec un drôle d'instrument (j'ai pas trouvé sur google, j'ai cru comprendre que ça s'appelait un angh), un espèce de couscoussière renversé qui offre une palette de sons assez scotchante quand le musicien tapote dessus avec ses doigts, les sons allant du grave à l'aigu selon la partie de l'instrument titillée. D'autant que la chanteuse à une voix scotchante et va nous interprété des airs tarditionnels égyptions dont un d'Oum Kalsoum. Assez bloquant ! Un détour par le buffet très slurslurpant et le bar, et voici Pena sur scène. Toujours seul avec sa guitare sèche, il va nous livrer ses chansons "à fleur de peau ou à bout de nerfs, un univers intimiste et poétique, qui lorgne parfois du côté du Thiefaine de la bonne époque. Entre... Lire la suite
Pena
Critique écrite le 21 octobre 2002, par Mystic Punk Pinguin
Machine à Coudre - Marseille 18 Octobre 2002
Pena c'est un mec kya des choses à dire (presque toutes ses chansons sont des chansons en "je") et kya pris sa guitare sèche pour le faire. Chanson qui parlent de nanas, de mal vivre, d'alcool et chansons engagés aussi (il finit d'aileurs par un reprise de "Société tu m'auras... Lire la suite
Stephane Pena : les chroniques d'albums
George Tabb / Stéphane Pena : Take My Life, Please / Livre
Chronique écrite le 28/01/2007, par Philippe
Une des plus belles choses que le rock'n'roll, l'alcool et la drogue aient produit est un effet secondaire dans la littérature : c'est le style dit "gonzo" (une forme de journalisme inventée notamment par Hunter S.Thompson et sa Las Vegas Parano) dont le maître en chroniques rock'n'roll reste à tout jamais Mr Lester C. Bangs. Quoi qu'il en soit cette capacité à se mettre en scène, sans autres artifices que l'humour, dans l'histoire qu'on raconte (ou l'incapacité de faire autrement... parole de chroniqueur), est à double tranchant : mal écrit, ça peut vite devenir fatiguant et nombriliste. Mais quand il s'agit de George Tabb traduit par Stephane Pena (grand auteur gonzo s'il en est, voir l'hilarant récit de sa tournée avec les Spinal Tap phocéens), non seulement ce n'est pas chiant, mais c'est assez fabuleux. Les expressions hurler (ou pleurer) de rire ne sont pas trop fortes pour décrire l'état dans lequel vous mettent ces chroniques new-yorkaises. Soit la bio d'un jeune punk né au bon endroit, au bon moment, c'est-à-dire, adolescent et habitant près du mythique club CBGB, à la fin des années... Lire la suite
Pena : P?na
Chronique écrite le 10/09/2006, par Pirlouiiiit
Cela fait des années que le Pinguin me parle d'un gars qui bien que présent a la plupart des concerts punks (en tout cas ceux organisés par Ratakans) fait de la chanson française. C'est vrai qu'on le retrouve sur certains clichés des feu-Gasolheads. Depuis que je l'ai enfin vu sur scène en ouverture d'un festival de barbares a la Machine a Coudre, seul avec sa guitare (même pas électrique) je dois dire que j'attendais ce disque avec impatience. Le résultat est plus que sympathique. 10 titres ou Stéphane Pena nous conte des petites histoires comme peut le faire un Ignatus autre poète de chanson minimaliste a qui il ressemble finalement pas mal. Il semble avoir laissé de coté ses textes... Lire la suite