Rock & folk psychédélique pour le chanteur/guitariste de Porcupine Tree, Steven Wilson. En concert au Zénith de Paris le 21 septembre 2020 !
Steven Wilson : tous les concerts
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Steven Wilson : les dernières chroniques concerts 6 avis
Steven Wilson
crédit : William Kopecky Truth / Family / Fake / Enemy / Information / Religion / Desinformation / Love / Death... des mots sur des images des mots qui se décalent et des images qui changent de sens des sens qui laissent un gout amer un film de quelques minutes pour envelopper Lara dans l'ambiance d'une soirée magique et engagée. Engagé, Steven Wilson l'est assurément. Dans sa musique et, Lara pouvait l'imaginer à travers sa musique, dans sa vision du monde. Les frontières, Steven Wilson ne les apprécient pas et il a bien raison. Les frontières, dans la musique, sont ennuyeuses. Et dans le monde, elles sont meurtrières. De sa terre à l'Italie, de l'Italie à Marseille, de Marseille à Calais, de Calais à ailleurs... Les notes de piano de Refuge en témoignent. Steven Wilson , en gentleman, presque timide, parle à Lara. Il lui dit qu'il aime Marseille, que la ville est belle, qu'il s'y installera, peut être un jour, dans le futur. De l'humour anglais, à n'en pas douter. Steven Wilson se joue des frontières et les transgresse. Et se joue de la réalité avec des hologramme qui le cache un peu, parfois, lui et ses talentueux musiciens, derrière un voile léger. Dans cette réalité, Ninet Tayeb chante, une... Lire la suite
Steven Wilson
Critique écrite le 14 novembre 2013, par Jacques 2 Chabanne
Espace Julien - Marseille 10 Novembre 2013
"Dreaming Barefoot" (Lumineux et sans failles...) Le plus difficile, au niveau de l'hyperactif Steven Wilson, c'est de se tenir constamment à la page, d'arriver à le "marquer à la culotte" de la créativité, de longue ; ce mec n'arrête jamais. Jamais. Lors, l'on vient à peine de digérer son fantastique et très abouti The Raven That Refused To Sing (Kscope/2013) que surgit déjà l'inattendu Drive Home (un CD + DVD partagé de plaisir entre versions "live", versions inédites et vidéos) : toujours un train de retard, que nous avons, vu qu'entre-temps il se sera sans doute chargé de produire tel ou tel groupe en devenir, de composer de nouvelles chansons ou bien de remastériser d'envie les légendaires albums de l'inégalé King Crimson. Toujours un train de retard, qu'on vous dit... N'en ayant cure, celui-ci se permet de nous plonger d'emblée dans l'obscurité, afin que de nous laisser peu à peu s'y faire happer par SON univers (plus que particulier) à l'aide d'un large écran vidéo occupant l'ensemble du fond de scène. Sur icelui, posté à un coin de rue bruyant, un homme semble y faire la manche, sans conviction : couvert et perturbé qu'il est, par une suite de sons qui interpelle les sens ; du moins, jusqu'à ce que sa guitare prenne... Lire la suite
Steven Wilson
Ce mardi soir, je me rends au Transbordeur avec un mélange de nervosité et d'excitation qui m'envahit peu à peu à l'approche de la salle. La peur d'arriver en retard, que ça ait déjà commencé, qu'il n'y ait plus de places. Eh bien oui, car ce soir-là, Steven Wilson joue à Lyon... Autant dire que ce n'est pas chose commune. Le passage du musicien britannique dans Lyon a rameuté du monde. Son nom ne vous est peut-être pas inconnu, il baigne dans plusieurs projets musicaux dont son très fameux groupe Porcupine Tree, Blackfield ou encore Storm Corrosion (avec Mikael Åkerfeldt d'Opeth) pour n'en citer que quelques uns et compte plusieurs cordes à son arc (compositeur, guitariste, chanteur, ingénieur du son et producteur). Ce multi instrumentiste ne chôme pas, les idées sont abondantes et la musique florissante ! Arrivée à bon port, je me dirige avec empressement à l'entrée du Transbo. On me recommande de ne prendre des photos uniquement sur les 3 premiers morceaux sans flash. Ce détail qui peut-être relativement sans importance et courant dans les concerts est ici minutieusement respecté à la lettre à la demande de l'artiste. Une amie m'a précisé que Steven Wilson ne désirait pas être enregistré par quelconque appareil afin de... Lire la suite
Steven Wilson
Dès notre arrivée au Trianon nous comprenons bien que nous allons nous retrouver devant la même scène que l'année passée ... 6 mois ont passé, mais la scénographie est la même : Rideau blanc qui masque la scène, sur lequel est projeté une image fixe en noir et blanc de Lasse Hoile, avec la bande son de Bass Communion en fond. On retrouve donc cette forme très conceptuelle de première partie, découverte ici même en Octobre dernier et avec toujours le même souci : Ce n'est ni annoncé, ni expliqué, ce qui la rend difficile à appréhender pour le public. De plus, il n'y aura quasiment qu'une seule image fixe tout le long des 45mn de musique (alors que la fois dernière, les images défilaient ... Lentement certes, mais défilaient quand même !). Alors c'est d'une esthétique qui dérange et qui titille, c'est certain, mais cela reste vraiment un moment réservé aux initiés et qui nécessite un silence totale pour pouvoir pleinement entrer dans le jeux (ce qui n'est absolument pas le cas). L'image géante est renvoyée sur le mur de fond par le jeu des superpositions. Seules les lumières des amplis font apparaitre la scène en arrière plan, l'ombre des instruments se détachant sur le décor. Quelques mouvements et bruits d'accordage jouent les... Lire la suite
Steven Wilson : Vidéo
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