Les Sticky Boys sont un trio français de rock 'n' roll métal...
Sticky Boys en concert
Sticky Boys : l'historique des concerts
Sa.
26
Oct.
2019
Complexe Sportif - La Briffière (85)
Sa.
21
Sept.
2019
Sa.
13
Avril
2019
Palais des Grottes - Cambrai (59)
Sa.
08
Déc.
2018
Le Ferrailleur - Nantes (44)
Sa.
13
Oct.
2018
Ve.
28
Sept.
2018
Di.
16
Sept.
2018
Chateau de la princesse d'Arenberg - Raismes (59)
Ve.
17
Août
2018
Site de Kerboulard - Saint Nolff (56)
Sticky Boys : les dernières chroniques concerts 8 avis
BACKYARD BABIES - STICKY BOYS - HIGH-SCHOOL MOTHERFUCKERS
High-School Motherfuckers Ce soir, ce seront les High-School Motherfuckers qui ouvriront la soirée à 20h15 pétante. Leur punk rock très influencé par les Ramones est très bien adapté à la soirée qui sera placée dès les premières notes sous le signe de la bonne humeur et du rock n roll puissant ! Ces habitués de l'Empreinte, qui déroulent leur punk rock depuis 2003, disposent d'un temps de jeu de 30 minutes, donc pas de temps à perdre, le set file à la vitesse de l'eclair jusqu'à la reprise de Motörhead hommage au Ramones : "R.A.M.O. N.E.S." bien sûr ! Avant de repartir, n'oubliez pas de vous procurer de toute urgence leur dernier cd : le split CD avec leurs amis de The Joystix : "Skulls Out !". Sticky Boys Dans le cadre de la tournée de leur excellent 3ème album "Calling The Devil", les Sticky Boys sont ce soir presque à domicile. Pour faire un peu de teasing sur leur date en headliner sur Paris, ils offrent ce soir un petit aperçu de 30 minutes de leur set avec une intro sur les chapeaux de roue avec "Better Days" et "The Game is Over". Les désormais classiques "Girls in the City", et "Miss Saturday Night" et "Mary Christmas" mettent toujours l'ambiance. Le groupe s'éclate toujours autant sur scène et le son sera excellent... Lire la suite
Accept + Sticky Boys
Mais comment Tom fait il pour avoir des dents si blanches ? Mais quel est donc le secret des cheveux soyeux de JB ?? Mais quel exfolient utilise Alex pour sa barbe ??? Et surtout, surtout, surtout, comment diable font les Sticky Boys pour avoir autant d'énergie après dix heures de camion et 45°C sur la scène ???? Mais putain, c'est le rock n'roll leur potion magique ! Le bon vieux rock hard punk des familles, c'est lui qui leur permet de garder ce teint de jeunes filles au sortir de l'adolescence, de courir dans tous les sens en headbangant comme des tarés, de dégager autant d'énergie sur les planches et de partager leur plaisir d'être là ! Car les Garçons Pégueux sont heur-eux d'être là, heureux de nous cracher à la gueule leur petits morceaux de hard rock, simples, certes, mais d'une efficacité prouvée et approuvé par une bonne partie du public ! Comment ne pas taper du pied (au minimum), bouger la tête (option de base) ou remuer le tafanàri (recommandé) avec plus ou moins de vigueur sur les Fat Boy Charlie, Great Big Dynamite ou Bang that head ? Leur connivence et leur plaisir de partager leur passion, moi, je la trouve contagieuse...et je ne suis pas le seul si j'en juge par les réactions du public, leur passage... Lire la suite
Hellfest 2015 (1/3) : Judas Priest, Alice Cooper, Billy Idol, Sticky Boys, No Return, Armored Saint, Vallenfyre...
Et de 10 ! Dix ans déjà que le Hellfest existe, et quel chemin parcouru depuis les débuts... Jusqu'à devenir le plus gros festival Metal francais et un des plus gros d'Europe, pas mal les mecs, pour un festival fait par les fans pour les fans, comme c'était inscrit sur une devanture à l'entrée. Un fest qui s'est amélioré d'années en années jusqu'à devenir une grosse machine, inévitablement. Mais une grosse machine bien huilée, "tout confort" pour le festivalier et les groupes je dirais, avec toujours quelques points noirs à résoudre, même si au regard de l'énormité de la chose, il n'y a rien de catastrophique (à part l'accès Warzone... ). En effet et en premier lieu, les organisateurs ont ecouté les griefs de l'an dernier concernant les points d'eau et sanitaires sur site qui étaient trop peu nombreux. Cette fois, rien à redire, les pissotières étaient légions et les robinets en assez grande quantité d'un bout à l'autre, plus un bon nombre de toilettes fermées et/ou sèches à travers tout le site. Autre très grande amélioration, très appréciée et appréciable : la séparation des scènes Altar et Temple ! Enfin un espace décent, avec une grande tente pour chacune d'elle, sans que l'une soit perturbée par les balances... Lire la suite
Sticky Boys + Heavy Duty + Flayed + Private Hell
Un an après leur présence au Marcel Festival, premier du nom, c'est dans la petite salle du Korigan que les amis des Sticky Boys reviennent dans le sud. Pour une date très intimiste, calée un dimanche soir, jour de match à domicile pour l'OM, avec uniquement des groupes locaux... Ca fait beaucoup de paramètres foireux pour parvenir à remplir la salle de plus d'une cinquantaine de pèlerins malheureusement... Mais fi de ces conditions défavorables, les quatre combos se sont donnés comme s'ils jouaient devant plusieurs centaines de personnes ! Honnêtement, il est très rare de mon point de vue, qu'un plateau français et/ou local soit d'une telle qualité. A part les amis parisiens, je ne connaissais aucune des autres formations à l'affiche, et pourtant nous n'avons passer que peu de temps dehors (essentiellement pour faire les cons autour du van des Sticky, cela va de soi !) tant tout le monde a assuré. Je ne comptais d'ailleurs pas faire de cr, mais il me semblait normal, après cette soirée, de leur rendre hommage pour leurs prestations convaincantes, même si ce ne sont que quelques mots. La soirée débute donc avec les Private Hell, qui ont proposé un très bon Metal'n roll comme ils disent. Des riffs efficaces rien à dire la... Lire la suite
Sticky Boys : les chroniques d'albums
Sticky Boys : This Is Rock'n Roll
Chronique écrite le 08/05/2012, par Gandalf
Le trio parisien des Sticky boys nous sort enfin son album tant attendu dans le petit monde du hard local. Et ce qui frappe d'emblée, c'est le packaging soigné, de la pochette style comics (magnifiquement colorisé par la pointure Admira Wijaya) representant les membres du combo, au booklet très coloré et flamboyant. Ajoutez à cela une très bonne prod, digne d'un groupe pro, et vous comprendrez que l'on se retrouve avec un opus fait par des gars qui ne sont pas là pour faire dans la demie mesure approximative ! Musicalement, le titre de l'album annonce la couleur: du rock, du hard, et du rock. Rien qui ne révolutionnera un genre qui ne peut plus guère être révolutionné, mais au moins du rock très bien foutu, direct in your face. Dès la première écoute on tape du pied, et l'on se surprend à retenir facilement quelques refrains bien sentis. Évidemment, il est impossible de ne pas penser à AC/DC, tant leur zik s'en inspire, sans pour autant en être un vil plagiat. Au contraire, les parisiens ne cherchent pas à cacher leurs influences, rendant hommage aux australiens,... Lire la suite
Top Metal-Hardcore
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