Emmené par le songwriter de génie Kevin Parker, le trio australien Tame Impala compose de très prenantes pop songs psychédéliques à savourer délicatement perché... En concert en France en 2019 (We Love Green, La Route du Rock collection été) ! Nouvel album le 14 février 2020 : "The Slow Rush". (Photo : Titouan Massé)
Tame Impala en concert
Tame Impala : l'historique des concerts
Sa.
27
Août
2022
Parc de Saint Cloud - St Cloud (75)
Ve.
26
Août
2022
Parc de Saint Cloud - St Cloud (75)
Je.
25
Août
2022
Parc de Saint Cloud - St Cloud (75)
Je.
25
Août
2022
Parc de Saint Cloud - St Cloud (75)
Sa.
11
Juin
2022
Parc del Forum - Barcelone (Sp)
Je.
09
Juin
2022
Parque da Cidade do Porto - Porto
Je.
02
Juin
2022
Parc del Forum - Barcelone (Sp)
Je.
15
Août
2019
Fort de Saint Père - Saint Père Marc en Poulet (35)
Tame Impala : les dernières chroniques concerts 8 avis
NOS Primavera Sound Porto 2022 - Jour 1 : Nick Cave & The Bad Seeds, Kim Gordon, Black Midi, Squid, Shellac, Stella Donnelly, Tame Impala, Cigarettes After Sex
C'est l'histoire d'une nana qui devait passer 3 jours à Porto au Festival NOS Primavera Sound avec les potes et qui s'est finalement retrouvée à faire son premier festival en solo à l'étranger... DIIV Pour être honnête, le jeudi à Nos Primavera me paraissait plus prometteur que cela ne le fut : Nick Cave et les Bad Seeds prenaient sûrement toute la place dans mon coeur de rockeuse (coucou Julien C.). DIIV, que je n'avais jamais vu, a ouvert le bal de manière plutôt polie : étonnée par l'agrandissement du site du festoche et de cette 1ère scène quasi dès l'entrée, je me suis il est vrai plus attelée à déguster rapidement ma bière (Super Bock, pas trop le choix, et pas foufou), les yeux brillants de retourner à un tel événement après 2 ans de disette. Pas très attentive donc, mais j'en garde un souvenir de guitares électriques bien présentes assez agréables. Stella Donnelly Puis j'ai continué mon chemin, retrouvant peu à peu mes repères que sont les fameuses "fucking" collines de NOS : Stella Donnelly, que je n'avais pas sélectionnée lors de mes révisions auditives, me ravie. Moi, assise au soleil, elle, par sa frimousse enjouée et ses rythmes estivaux un peu folk, accompagnée par une formation basique, sa voix claire... Lire la suite
Tame Impala, Idles, Stereolab, Black Midi, Fontaines D.C., Pond (La Route du Rock Collection Été 2019)
Critique écrite le 22 août 2019, par Pierre Andrieu
Fort de Saint-Père, près de Saint-Malo 15 août 2019
Chaude (surtout le jeudi) et humide (le vendredi et le samedi) La Route du Rock Collection Été numéro 29, avec comme tous les ans une prog bien au-dessus de la moyenne dans un cadre relativement intimiste et assez idyllique... On dénombrait plus de 10 000 personnes le premier soir dans la sympathique moiteur du Fort de Saint-Père pour le show des stars australiennes électro pop synthético psyché de Tame Impala et ceux des autres artistes à l'affiche, souvent à fond dans les guitares, eux, comme Idles, Fontaines D.C. ou Black Midi. En cadeau bonus, les trop peu connus du grand public, les rois du krautrock pop expé indé, Stereolab. Ah, et puis en apéritif parfois un peu léger/FM, Pond, néanmoins idéal pour lancer la soirée, qu'on vous raconte juste après... Pond Jeudi 15 août, 18 heures 30, Pond attaque sur la scène des remparts avec un set très pop, ultra psyché et truffé de good vibrations... Le leader du groupe Nick Allbrook (ex membre de Tame Impala) en fait des caisses à la voix haut perchée, aux solos de guitares trippant et aux grimaces, ses acolytes aux synthés déclenchant, quant à eux, un déluge de sirop de glucose. Tout cela est idéal pour remuer le bassin en profitant du soleil, même si certains titres sont un peu... Lire la suite
(mes) Eurockéennes 2016, 2/2 : Courtney Barnett, Kurt Vile, Mac Demarco, The Kills, Tame Impala, Sleep, Ratatat, ZZ Top
Critique écrite le 05 juillet 2016, par Philippe
Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert 3 juillet 2016
Le samedi, c'était par ici ! Sous un climat absolument parfait (pas de pluie, pas de canicule, quelques nuages sympathiques), on arrive sur le site au son de Blossoms, excellent groupe de glandage du dimanche après-midi, qui permet aux festivaliers aux mines fatiguées de reprendre doucement le dessus, avachi.e.s dans diverses positions et dans un gazon encore étonnamment présentable après 2 jours d'occupation. Une partie importante d'entre eux arbore les couleurs de la France à l'occasion du match du jour (oui, certes pas vraiment celui de cette photo, qui n'a rien à voir avec le texte mais qui est bien jolie !). Bon, les drapeaux nationaux ne sont pas notre tasse de thé a priori, mais si ça peut leur faire plaisir ... et surtout les aider à se souvenir qu'ils ont une carte d'électeur (un truc autrement plus efficace, pour être utile à son pays), la prochaine fois ? C'est entendu, Courtney Barnett pond des albums agréables, elle a une jolie voix faussement désinvolte (tout comme son jeu de guitare, picking avec tous les doigts - elle semble juste se gratter le bidon, mais arrive à sonner très proprement !), et un vrai talent pour composer des belles choses souvent plus pétaradantes que ce qu'on pensait à l'écoute du disque. On... Lire la suite
Tame Impala (Festival Rock en Seine 2015)
Critique écrite le 11 septembre 2015, par Pierre Andrieu
Domaine national de Saint-Cloud 30 août 2015
Tame Impala En début de soirée, sous un soleil radieux (et pile au même moment que Mark Lanegan, misère !), Tame Impala produit une onde sensuelle de good vibrations et provoque de grosses envies de " love, looove, looooove " lors de sa prestation sur la grande scène du festival Rock en Seine... Présent juste devant nous, Jésus himself - ou son très ressemblant sosie officiel approuvé par Dieu le père - semble avoir kiffé sa race au point d'entreprendre des séances de collé serré avec sa copine, plutôt bonnasse, et de se lancer juste après dans un ménage à trois avec le très gay homme à l'énorme banane gonflable, qui a l'air d'être drogué jusqu'au yeux. Voilà donc de nouvelles preuves tangibles de la puissance de la musique électro pop psyché, de l'existence de Dieu (?) et de sa tolérance envers les multiples formes que peut prendre l'amour. Merci Tame Impala ! Voilà, j'ai vu le mirifique groupe de Kevin Parker en live en compagnie de 25 000 ou 30 000 personnes et ça m'a mis très, très en joie... Il faut dire que les Australiens volants et leur excellent batteur toulousain ont de quoi booster les défenses immunitaires en permettant la sécrétion massive d'hormones du bonheur avec leur set débutant par le tubesque Let It... Lire la suite
Tame Impala : les chroniques d'albums
Tame Impala : Lonerism
Chronique écrite le 04/09/2013, par Philippe
Ultime devoir de vacances, bêtement procrastiné jusqu'à la rentrée scolaire et donc fini à l'arrache : parler du très bon deuxième disque des australiens de Tame Impala pour lui apporter la reconnaissance qu'il mérite ! Curieux que ça n'ait pas déjà été fait ici, dans la mesure où leurs prestations live ont enchanté les gens de bon goût au fil de l'été 2013, et que le cerveau unique du groupe, Kevin Parker (qui a conçu cet album seul en exil à Paris), s'est également déjà fait remarquer en couple avec une jolie française, sur le délicieux album de Melody's Echo Chamber. Une question sous-jacente suivante explique peut-être en partie ce retard : comment aborder un album aussi riche et foutraque, portée par une d'abord déconcertante voix haut-perchée, album censé parler de solitude mais qui vous met étrangement la banane ? Essayons par la bande : quelque part aux USA, l'auteur de cette chronique a bu un jour un jus de fruits vraiment très vert, appelé "Green Machine". C'était un mélange de pomme, de kiwi et... de brocoli. "Looks weird, tastes amazing !" disait le slogan et, en effet, c'était aussi bizarre que très bon. Une définition on-ne-peut-plus adaptée de la pop psychédélique de Tame Impala ! Illustrée dès Be Above It : fausse... Lire la suite
Tame Impala : Vidéo
Tame Impala : écoute