Le style musical est un mélange festif, entre hillbilly, western swing, country punk et rockabilly. Leurs influences viennent surtout de l'imagerie du sud des Etats-Unis que l'on retrouve sur scène dans le look et l'attitude.
The Dirty Farmers se présente :Formé en 2005 dans une grande du sud profond, les Dirty Farmers distillent une musique péchue aux forts accents américains. Le groupe est composé de Vincent (chant/guitare acoustique), Alex (guitare solo) Max (batterie) et Marianne (contrebasse). Mélange inclassable de Hillbilly, Country-Punk et Western-Swing, les 4 fermiers vous embarquent au triple galop dans une ambiance festive et entraînante. Sur scène, ils enchainent compositions originales et reprises "V8" de Johnny Cash, Elvis et autres Pogues... Si vous aimé Délivrance ou Sheriff fais moi peur, "you will love The Dirty Farmers".
The Dirty Farmers en concert
The Dirty Farmers : l'historique des concerts
Ma.
19
Juillet
2016
parc du centre socio-culturel - Cazan (13)
Ve.
11
Sept.
2015
Di.
24
Mai
2015
Le Molotov - Marseille (13)
Sa.
14
Mars
2015
Coco Loco - Marseille (13)
Sa.
14
Mars
2015
Coco Loco - Marseille (130)
Je.
27
Nov.
2014
Le Molotov - Marseille (13)
Sa.
26
Fév.
2011
Barbarian's Café - St Clément (89)
Sa.
09
Oct.
2010
La Machine à Coudre - Marseille (13)
The Dirty Farmers : les dernières chroniques concerts 2 avis
Dirty Farmers + Goddamn Gallows
Soirée à contre courant mercredi soir où les sirènes du foot s'ancrent tout autour d'un Molotov peu rempli malgré l'affiche prometteuse : du hobocore venu tout droit de la rust belt américaine. Les vidéos live sont démentes, ça sent la communion crasse et poisseuse ; on n'a pas été déçus. Le Molotov climatisé et sa playlist Deezer spéciale ‘folklore à boire anglophone' nous met dans l'ambiance et la salle se remplit d'un public bigarré entre fiftoses gomina pour les garçons et éventails pour les filles, country-girls, rude boys et autres brebis égarées. Montent sur scène les locaux de Dirty Farmers , cap de trucker et chemise de bûcheron, qui distillent du hillbilly punkifié sauce marécage, avec un duo de guitares, sèche et électrique, une batterie droite au but et une contrebasse rondement slappée. Le chant alterne entre voix nasale 100% redneck et le beau timbre chaud et mélodique de Marianne, dont on regrettera qu'elle ne chante que sur deux morceaux. On notera au passage les clins d'il un peu inégaux aux grands classiques des Pogues ( Vielle ville sale ), des Dead Kenn ( Viva Las Vegas ), voire même à l'homme qui tombe à pic , dans une tentative de camarguiser le bayou, avant de chanter à la gloire du... Lire la suite
Sarah Blackwood + The Dirty Farmers
Qu'on se le dise, le quartier de la Plaine dispose d'un nouveau lieu de qualité. Des concerts qui auraient voilà six mois encore intéressé les programmeurs de l'Intermédiaire (RIP) trouvent refuge à deux pâtés de maisons de là, rue Crudère. La salle, originalement décorée d'objets insolites, se nomme The Pussy Twisters que je n'ose traduire. Encore plus gore que l'explosion de foufoune chère à Bruno Carette. Ce n'est pas le premier concert qu'ils organisent, loin de là, mais leur com' s'améliore et leur programmation avec. Et en plus, ils commencent à l'heure ! J'ai à peine un quart d'heure de retard et The Dirty Farmers proposent déjà une musique qui sent bon la ferme mais n'a rien de crasseuse. Yeeeh Ooh ! Avec son chant à la O'Brother, on imagine bien Vince sur un cheval, un lasso à la main. Point de lasso dans le saloon, seulement des cordes. Les six de Vince et les six d'Alex sonnent country, les quatre de Marianne plutôt rockabilly. On visite les ranchs du Kentucky et les plaines du far west à peu de frais (5 € l'entrée) une étoile de shérif tamponnée sur la main. Yeeeh Ah ! Dirty Old Town des Pogues au rythme revisité rodéo au milieu de compositions dynamiques comme Burn That Barn et Beaver Song. Brûle cette... Lire la suite