The Film revisite l'héritage psychédélique à coups de riffs racés et de rythmes lancinants. Des voix sinueuses et trafiquées, haut perchées, malignes, avec ces
choeurs, ces réminiscences de rock glam et d'éternelles mélodies teenagers, posées sur des guitares rebelles, poseuses riffant glitter.
The Film en concert
The Film : l'historique des concerts
Sa.
11
Nov.
2017
La Sirene Espace Musiques Actuelles - La Rochelle (17)
Di.
11
Nov.
2012
Sa.
10
Nov.
2012
Je.
05
Juillet
2012
Sa.
27
Nov.
2010
Ve.
13
Avril
2007
Sa.
30
Sept.
2006
Sa.
06
Mai
2006
Flèche d' Or - Paris 20ème (75)
The Film : les dernières chroniques concerts 7 avis
The Film, Psykick Lyrikah, Chateau Flight, Whomadewho, Panico, Riton, dEUS, 2 Many Djs (Marsatac 2005)
Comme on pouvait s'y attendre cette dernière journée fut la plus réussie et aussi la plus crevante ! Ca commence tranquille avec The Film qui jouent dans un chapiteau bien trop grand pour leurs style et ambitions : au Café Julien l'an dernier ce fut explosif, ici c'est juste correct, malgré une énergie indéniable. Certains morceaux passent bien, comme "Top of the hopes" et leur single "Can you touch me ?", les riffs et les louches de saxo sont là, le peu de gens présents apprécient. Sous le petit chapiteau, on va voir quelques morceaux de Psykick Lyrikah, le groupe de rap Rennais estampillé intello. Les ambiances saupoudrées de bons scratches distillées par le dj sont intéressantes, par contre le mc a un flow très monotone pour ne pas dire ennuyeux. On décroche assez vite. Le set de Château Flight n'est guère plus passionnant, l'invité vaguement prestigieux Burgalat est aux abonnés absents, le claviériste moog et le flûtiste sont un peu là pour faire joli alors que les dj balancent une house pas désagréable mais anodine, genre musique papier peint qui passe sur certaines radios, du coup comme on a le choix ben on zappe. Whomadewho est le bon plan sur la scène d'a coté, ces Danois font danser avec... Lire la suite
(mon) Rock en Seine, 2005, 2/2 : Asyl, La Phaze, Goldfrapp, Herman Düne, The Departure, Babyshambles, Feist, Foo Fighters, The Film, Robert Plant, Franz Ferdinand
Pour le premier jour du festival c'était par là ! Avant de rejoindre le site du Parc de Saint-cloud on se fait une grosse balade le nez au vent dans Paris, où l'image du parisien désagréable en prend un coup : les commerçants sont sympas et une seule personne a essayé de nous écraser (c'est assez peu, pour un marseillais). Et puis des gens qui jouent à la pétanque en bras de chemise à leur pause de midi peuvent-ils être foncièrement mauvais ? En tout cas aujourd'hui encore la météo semble d'humeur clémente pour ... Une excellente journée de rock, pleine de suprises agréables ! Asyl nous éveille fortement les oreilles, c'est du rock français et ça à l'air de bien pousser, quel dommage qu'on arrive seulement vers la fin ! On s'est par contre donné les moyens de voir en entier La Phaze, révélation à Belfort, LE groupe le plus excitant en 2005 sur la scène punk française (et les plus gros squatteurs de iPod du moment). Les inventeurs du pungle (punk et jungle), gênés de jouer en plein jour, envoient toute la sauce dès le départ : don à sonf, pas de répit, décollage immédiat pour le D&B Show (on est prévenus, ça va ch... grave) puis pour un explosif Nouveau Défi ! Le début trompeur de Inside my brain (la voix du petit chanteur,... Lire la suite
the National + The Film + Film School
Habituellement je me rends aux concerts en vélo. Très rarement je prends ma voiture (lorsque je vais à l'Espace Doun a Rognes par exemple) et exceptionnellement je prends le train comme ce week-end pour me rendre a l'EMB a Sannois (banlieue parisienne). Cela fait quelques temps que mon cousin a attiré mon attention sur cette "petite salle de banlieue" a la programmation culottée et variée. Le passage de the National pour leur dernière date française* avant une trêve bien méritée pendant laquelle ils devraient se mettre a l'écriture d'une troisième album, était une raison suffisante de monter voir ça de mes propres yeux. On arrive assez tôt a la salle, une légère pluie ayant remplacé les flocons de neige du matin ... the National viennent a peine d'arriver (ils ont été ralentis dans leur retour de Bretagne par la neige). Ils ont l'air épuisé pendant les balances ... Quelques heures après tout le monde a fini de faire les balances et le public commence a se presser a l'intérieur de l'Espace Michel Berger. Ce fut juste car en fait ce soir il n'y a pas moins de trois groupes. En plus de la double affiche initialement annoncée the Film + the National, il y en aura un petit troisième du nom de Film School. Ces derniers, qui... Lire la suite
Wraygunn + The Film
Critique écrite le 08 novembre 2005, par Pierre Andrieu
La Coopérative de Mai, Clermont-Ferrand 7 novembre 2005
Sex & rock ‘n roll L'affiche Wraygunn + The Film a permis de chasser le blues du lundi soir en province au mois de novembre à grands coups de décibels et de textes sexuellement connotés... Même si le club de la Coopérative de Mai sonnait un peu creux, les aficionados de rock fiévreux qui s'étaient déplacés n'ont pas eux à le regretter : The Film est désormais une redoutable machine de guerre scénique, quant à Wraygunn, c'est un sérieux prétendant au trône de superstar du punk ‘n blues sexy, toujours occupé par l'inestimable Jon Spencer. Electric warriors La soirée commence par une bonne décharge de punk rock glam signée The Film... Le groupe, qui évolue désormais à quatre sur scène, a accompli des progrès considérables depuis son concert en première partie de Dionysos au festival de Sédières, en juillet 2004. Avec un batteur, les excellents titres qui figurent sur le premier album des Bordelais sont maintenant ultra percutants sur scène. En plus, cela encourage Guillaume Brière et Benjamin Lebeau à se lâcher sur leurs instruments (basse énorme, guitare machine à envoyer des riffs) et leurs micros respectifs comme des guerriers électriques. Les violents gimmicks à la Ron Asheton, à la Marc Bolan, voire à la Keith... Lire la suite
The Film : les chroniques d'albums
The Film : The Film
Chronique écrite le 06/04/2005, par Pierre Andrieu
Même si l'on est farouchement contre le lobby de l'automobile et du pétrole (qui provoque des guerres, pollue, entraîne le réchauffement de la planète, des catastrophes de plus en plus fréquentes, et encourage les gens à rouler des mécaniques dans leurs voitures symboles de virilité, puissance et prospérité, beurk !), la pub pour une marque de voitures avec en bande son Can you touch me de The Film a eu le grand mérite de nous faire découvrir ce titre jubilatoire. Car ce morceau - signé par deux Bordelais, Guillaume Brière et Benjamin Lebeau - est un tube, qui annihile en deux secondes toute velléité de résistance : riff de guitare à la T. Rex, chant psycho glam, gimmicks entêtants, rythmique électro vrillante, breaks tuants, c'est une irrésistible bombe dansante... Il ne restait plus qu'à passer avec succès le cap de l'album pour The Film. C'est désormais chose faite avec un disque de rock... Lire la suite
Le Nouveau Rock 'n Roll : Français...
Chronique écrite le 22/03/2005, par Pierre Andrieu
Le nouveau rock ‘n roll français, la compilation parue en début d'année 2005 regroupant 22 groupes de rock made in France, est une excellente initiative, à renouveler le plus vite possible. Cette très bonne idée met un coup de projecteur bienvenu sur la scène rock d'ici, qui en a bien besoin, délaissée qu'elle est par la plupart des médias. Car s'il y a d'excellents groupes de rock ‘n roll en Angleterre, aux USA, en Suède, en Espagne et dans de nombreux autres pays, le rock français n'a pas à rougir du niveau de sa production. Au contraire... On n'avait pas attendu cette compilation pour le savoir mais elle peut permettre de relancer l'intérêt du public pour ce qui se fait non loin de chez lui. Outre quelques têtes connues de nos services (AS Dragon, Gomm, The Magnetix, The Film et Daniel Darc bien sûr, qui officie en tant que guest star de luxe sur un - excellent - titre) la promotion 2005 est riche en... Lire la suite