Garage blues, avec des membres de Nitwits, Technicolor Hobo et Elektrolux.
The French Revolution, Composé de membres des Nitwits, de Technicolor Hoboes et d'Elektrolux, comprenant Monsieur Saint-Just à la batterie, Mister Thomas Payne à la guitare et au chant, et Monsieur Camille Desmoulins à L'autre guitare et chant.
Les trois citoyens suscités produisent un dérivé de blues radical, musique populaire en vogue dans les anciennes colonies britanniques aujourd'hui nommées "Etats unis d'Amérique". A rapprocher du Jon Spencer Blues Explosion...
The French Revolution en concert
The French Revolution : l'historique des concerts
Sa.
29
Oct.
2022
Ve.
13
Déc.
2019
Sa.
31
Mai
2014
Espace Julien - Marseille (13)
Je.
20
Juin
2013
La Machine à Coudre - Marseille (13)
Ve.
23
Nov.
2012
La Machine à Coudre - Marseille (13)
Sa.
21
Janv.
2012
La Machine à Coudre - Marseille (13)
Je.
05
Mai
2011
Enthropy - Marseille (13)
Sa.
16
Avril
2011
The French Revolution : les dernières chroniques concerts 4 avis
The French Revolution
Est-ce parce que le pays est quelque peu agité de convulsions sociales que certains espéreraient pré-révolutionnaires ? En tout cas, il se produit un petit événement ce soir au Lollipop Music Store : Vincent Palacio, musicien émérite et "juste" créateur de la Rue du Rock (aka Notre Leader Immarcescible et Bien Aimé, donc), remonte sur scène après 5 ou 6 ans d'absence due à des problèmes de santé, et c'est pour y rejouer à la Révolution Française ! Or nous avons tous d'excellents souvenirs de cette sauterelle apoplectique et chevelue tabassant ses fûts avec la langue pendante, principalement derrière les mythiques Nitwits : l'endroit est donc bondé et tous les usual suspects de la photographie y sont en embuscade... Car ce soir, The French Revolution, projet annexe ou super-groupe, au choix, dont il tient la section rythmique, remonte sur le linoleum du lieu pré-cité... Avec Patrick 'Pleasures' Atkinson à l'aile gauche, et Cedric 'No Jazz Quartet' Neuser à l'aile droite (pour ne citer que leurs groupes actuels), on sait que ça va défourailler, surtout avec les deux qui chantent en alternance ! Habitués aux voix sortant de leurs très élégants vinyles respectifs, selon que c'est l'un ou l'autre qui envoie de la glotte, on entend... Lire la suite
(mon) Festival Phocea Rocks 2014 : Tomy & the Cougars, Killboy Powerhead, Quetzal Snakes, the French Revolution, The H.O.S.T., Revolver Klub, Splash Macadam, Sunsick (sun sick), Dagoba, Post-Coïtum
Phocéa Rocks à l'Espace Julien, 2e édition ! Le plus beau des festivals de grands petits groupes remet le couvert en 2014, une fois dissipé l'écran de fumée de Marseille Capi'Cul' 2013. Eh, Jean-Claude, nous aussi, on est encore là, et largement moins lestés du c... que toi ! Quelques petites innovations tout de même : un prix par concert qui a "largement" augmenté (de 6 euros les 13, à 8 euros les 10, faites le calcul, c'est extravagant !) mais qui, tout en restant foncièrement ridicule, permet de payer un peu mieux les artistes et d'avoir en outre une tête d'affiche pour ce soir-là : les metalleux mondialo-marseillais de Dagoba. Pour ma part, en tant que bénévole à l'inutilité revendiquée (je ne sais rien faire autour d'une scène de concert, à part boire et faire des commentaires vaseux), je suis affecté comme l'an dernier (où ce fut une soirée proprement fabuleuse !) à la caisse, activité au prestige modeste, mais qui nécessite une présence constante et un tout petit peu de sérieux. Caisse partagée encore une fois avec le Mystic Ping Punkqueen. A vrai dire on est tellement mieux organisés que l'an dernier, et avec tellement moins de tickets vendus (hélas), qu'on s'y serait presque un peu emmerdés. D'où des relais plus courts,... Lire la suite
Los Bastardos + Catalogue + The French Revolution
Critique écrite le 26 novembre 2012, par Mystic Punk Pinguin
Machien à Coudre - Marseille 23 Novembre 2012
Belle soirée rock'n'roll encore une fois à la Machine à Coudre. Après une nouvelle claque de Sam Karpienia au Molotov, après une pause poulpes Chez Gilda, direction la rue Jean Roque. Après quelques échanges intersyndicaux avec le portier, me voilà donc dans l'antre, avec pas moins de deux groupes à découvrir. Le premier, Los Bastardos, vient de Marseille (le batteur) et d'Osaka (la guitariste / chanteuse). Dans la lignée directe de Sonic Youth, on aura droit à des dissonances, des guitares maltraitées avec rage, des cassures rythmiques, avec une voix qui chante très aiguë, rappelant parfois les chants traditionnels japonais. Parfois, rarement, le rythme ralentit et le chant psalmodie. La batterie se fait plus oppressante et la gratte plus plombée et toujours désaccordée. Belle découverte pour les amateurs de déluges soniques, dont je suis. Catalogue, nouveau groupe composé d'Emma de Human toys au chant et à la gratte, d'Eric d'Elektrolux à la 2ème gratte et d'un troisième compère, Bruno à la basse, que je ne connaissais pas pas. Avant toute chose, je dois dire que leur set a été entrecoupé d'aller-retour entre le Maroc, le Vietnam, la Mongolie et la Machine à Coudre en ce qui me concerne, je n'ai donc pas... Lire la suite
LO + the French Revolution
je la fais ou j'attends que le Pinguin la fasse ... Bon aller pour fêter la mise en ligne des 14 albums photos de LO je m'y colle ... sans accents dans un premier temps et donc surement avec un peu plus de fautes qu'à l'accoutumée, mais je profite de cette petite demi heure d'inactivité pour écrire quelques lignes sur le retour sur scène de LO précédé de la première apparition sur scène de the French Revolution. Échappé du concert archi complet et fort sympathique de Chinese Man, j'arrive dans la Machine avant même que le premier des deux groupes ne commence (merci le tram !). the French Revolution c'est donc rien moins que Cedric (chant et guitare) de Elektrolux, Patrick de Technicolor Hobo (chant et guitare) et Vincent (batterie) des Nitwits. Si le premier et le dernier ont déjà joué ensemble (lorsque Vincent avait sur une tournée de LO et d'Elektrolux remplacé les deux batteurs indisponibles), en revanche je n'ai aucune idée de ce que la fusion des 3 va donner. 1, 2, 3 c'est parti. Des les premiers riffs ca sonne comme une évidence : sur scène je préfère de loin le rock à l'electro. Instantanément mon corps entier réagit, alors que moins d'une heure plus tôt il battait poussivement du pied sur des morceaux que je trouve... Lire la suite