Punk rock. Le nouveau groupe de Olivier Gasoil (The Hatepinks, Gasolheads), Sonic Polo (Holy Curse, Lollipop), Rudy et Miguel (The Aggravation).
The Irritones se présente :Irritones : un stimulus ou agent qui induit une irritation. Un irritant. Mais aussi le nouveau groupe d'Olivier Gasoil (The Hatepinks, Gasolheads), Sonic Polo (Savage Circle, Holy Curse, Lollipop), Rudy et Miguel (The Aggravation). Du coup, ça sonne étrangement un tout petit peu comme les Hatepinks à la voix, l'Aggravation à la basse et Holy Curse à la guitare. Chez Irritones, y'a un peu de ce qui sonne ou sonnait le mieux dans les 4 groupes pré-cités, le tout sous influence de Wire, Black Flag et les Adverts. Aucun doute, Marseille semble s'être trouvé une nouvelle source d'hystérie qui pourrait rapidement devenir incontrôlable pour la jeunesse. Leur premier LP Negative Dots sort sur P-Trash et Relaxomatic, en février 2010.
The Irritones en concert
The Irritones : l'historique des concerts
Sa.
18
Fév.
2012
La Machine à Coudre - Marseille (13)
Sa.
10
Déc.
2011
La Machine à Coudre - Marseille (13)
Ve.
09
Déc.
2011
Sa.
03
Déc.
2011
Me.
23
Nov.
2011
Ma.
22
Nov.
2011
Ve.
18
Nov.
2011
Je.
10
Nov.
2011
The Irritones : les dernières chroniques concerts 12 avis
Interview d'Olivier Gasoil (ex-Bleifrei, Gasolheads, Hatepinks, Irritones), pour la naissance de 'La Flingue'
... La fin du monde n'a pas eu lieu et donc, l'immarcescible Olivier Gasoil joue encore dans un nouveau groupe, La Flingue. Question par clavier interposé à cet accro des écrans, qui semble trouver qu'on se fout parfois un peu trop de sa gueule et de celle de ses comparses, sur Concertandco en général et via Liveinmarseille, en particulier. Où l'on en apprend un peu plus sur ses motivations à écrire des chansons brèves et explosives et à monter les défendre en équipe sur scène depuis presque 20 ans, sur sa propre histoire du punk rock, et sur le groupe 'La Flingue' en particulier ... mais pas sur le sens du mot 'Hatepinks', ni sur une éventuelle influence de rockers scandinaves ou de chevelus américains, ni même sur son amour pour nos chroniques que, trop pudique, il a préféré ne pas évoquer. Depuis combien d'années fais-tu le guignol sur scène, à enturbanner de scotch ton crâne déjà capillairement sinistré avant de péter bêtement des canettes de bière par terre, puis de toucher le zizi aux gens du premier rang et de danser comme un idiot en levant les talons le plus haut possible ? Comment répondre à un question formulée de cette manière? Je ne fais pas le guignol sur scène. J'ai cassé plusieurs fois des télés et des... Lire la suite
the Irritones + les Jolis + the Calvities (soirée de soutien à Relax-O-Matic)
Après un samedi commencé au Roll'Studio et continué au Poste à Galène me voici donc à la Machine à Coudre (après être passé au Paradox où la soirée Meltin'Art n'a pas encore commencé) pour la soirée de soutien au label / organisateur de concert Relax-O-Matic, et c'est donc là que j'aurai juste le temps de boire une bière en écoutant J2P me parler de son expo en cours à la Maison Hantée et surtout de ses projets de prochaines, avant que les premières notes de the Calvities ne retentissent. Alors les Calvities est un trio guitare-basse-batterie avec à la guitare le fils de la famille Blues Hoffmamn. Autant dans son groupe familiale c'est trè blues, autant là c'est résolument punk. Ca joue vite, bien (autant que je puisse en juger), ça braille en anglais, les titres des chansons sont à l'image du nom du groupe. Le chanteur a le port nerveux, le batteur plutôt recroquevillé, et le bassiste cool de loin est quand même sacrément agité de près. Toujours amusant et sympathique de découvrir un nouveau groupe, voir comment il va se démarquer (ou essayer de le faire) dans son jeu, dans son attitude, dans sa tenue ... Il faut dire qu'à Marseille il y a maintenant une sacrée tradition de groupes dans le genre ... et que des gens comme... Lire la suite
the Irritones
Critique écrite le 10 décembre 2011, par Pirlouiiiit
Lollipop Music Store - Marseille 09 décembre 2011
Ce (vendredi) soir encore nous voici au Lollipop pour le showcase des Irritones tout juste rentrés d'une tournée en Allemagne et avec un nouveau disque Pénis Romantique qu'ils ont d'ailleurs décidé de nous interpréter en intégralité au cours de ce showcase de 21 minutes. Deux questions en arrivant ici 1) que va casser Olivier cette fois (la dernière fois ici il avait jeter son dévolu sur un vinyle d'ACDC) ? 2) Lucie ne va t elle pas être effrayée par le comportement scénique de ce jeune homme pourtant tout ce qu'il y a de plus civilisé en dehors des concerts ? Après s'être fait jolis : t-shirt Relax-O-Matic et cravate attachée à la ceinture pour Olivier, t-shirt Keith Richards Overdose (présents dans la salle) pour Miguel, chemise noir pour Rudy, et costard blanc pour Polo, la classe ! Ils attaquent par La France du Rock n' roll est une charogne (morceau pendant lequel on les entend parler de Eudeline et de Manoeuvre). Comme a son habitude Olivier ne tient pas en place mais il semble un peu limiter dans l'amplitude de ses mouvements par le plafond (un peu bas) et par la présence de Lucie devant dans le public. Lorsque celle ci ira dans la deuxième partie de la pièce il pourra s'en donner à cur joie, casser un deuxième... Lire la suite
The Rapidboys + Irritones
Chouette soirée à l'Enthröpy (titrée "encore du punk rock pour un monde de merde" ou quelque chose du genre), bien remplie ce vendredi soir. Première partie, les The RapidBoys, un mini-super groupe formé d'anciens/actuels (?) membres de The Anus Fletchers, Jimi & the Hotrods, The Calvitie... et peut-être d'autre - le tout avec une moyenne d'âge bien inférieure à 20 ans ! Efficace et bien fait, rien de très original mais ça déboite et ça fait du bien pour clore une semaine de se laver les oreilles au punk-rock roboratif ! Certes c'est moins subtil que le live unplugged des Rescue Rangers à Lollipop qui a commencé la soirée... Mais, bon. Pogos, slams, insultes, tout y est : back to 1977, again and again... Certains dans la salle y étaient déjà, d'autres pétaient dans leurs couches (moi par exemple), et la moitié de la salle n'était même pas encore envisagée par ses géniteurs : en tout cas on ne s'en lasse pas et ça fait toujours plaisir : pourquoi s'en priver ? Dans la salle, les "explosants" Dissonant Nation (entendez par là, en train d'exploser), récemment trouvés hyper efficaces et jouissifs à la Fiesta des Suds, et qui grâce à un coaching efficace vont sûrement jouer en division nationale bientôt. Ils prouvent par leur simple... Lire la suite
The Irritones : les chroniques d'albums
Irritones : Negative Dots
Chronique écrite le 21/07/2010, par Philippe
Ca a commencé avec des CD géniaux mais vendus seulement au Japon et remixés uniquement pour les USA, ça a continué avec des 45 tours de 16 chansons atroces, et même un certain nombre de vinyles plus ou moins inécoutables, sauf à l'envers, dont le seul intérêt était de faire tourner le fond de roulement du Lollipop Music Store et/ou de décorer ses chiottes. Eux, on commence à bien connaître leurs titres de punk-rock contondant mais racé, patinés de soli de guitare poloïques et autres ponts de basse rudiesque vibrants, prétextes à diverses galipettes de leur chanteur, le vibrionnant et hargneux Gasoil, le dernier a arborer le t-shirt blanc et noir concept du groupe. A propos de poseurs, c'est peut-être aussi à une chronique que je dois ce punkissime commentaire reçu par mail (je cite) : va te faire enculé salope de poseur toi même ! Pour l'occasion, vous imaginez bien que les braves garçons sont faits des têtes de K7 pour rester incognitos. "Ouais bon, mais en fait tu peux les reconnaître aux chaussures !" a noté une fine connaisseuse du groupe - encore raté donc, là aussi. Je retiens aussi du chanteur qu'on a l'air plus rock sans lunettes qu'avec - ça peut me servir quand j'aurai son âge et que je serai une rock star comme lui.... Lire la suite