Post-punk, expérimental.
The Residents en concert
The Residents : l'historique des concerts
Sa.
02
Fév.
2019
Ve.
01
Fév.
2019
Sa.
25
Nov.
2017
Ve.
24
Nov.
2017
Je.
23
Nov.
2017
Je.
09
Nov.
2017
Sa.
04
Nov.
2017
Je.
02
Nov.
2017
The Residents : les dernières chroniques concerts 2 avis
The Residents + Iglu & Hartly + Creature (Transmusicales de Rennes 2008)
En faisant le choix d'être à fond sur l'actu découvertes et les projets audacieux, les Trans Musicales de Rennes prennent le risque de programmer de temps en temps des groupes qui se plantent complètement, soit parce qu'ils sont intrinsèquement mauvais (Iglu & Hartly, Creature, à notre humble avis), soit parce que leur forme du moment ne leur permet pas de provoquer des étincelles sur scène (The Residents)... Après avoir passé en revue les groupes et les concerts rennais qui nous ont plu (The Black Angels, Bon Iver, Jay Reatard, John & Jehn, Esser, We Have Band, Cage The Elephant, White Rabbits, The Deathset, Miss Platnum... ), place maintenant à ceux qui nous ont profondément ennuyé, voire énervé. Iglu & Hartly Le pire groupe du lot est Iglu & Hartly, un infect combo californien chassant sur les terres de Kid Rock et Europe, qui se produisait le jeudi 4 décembre dans le Hall 3 du Parc des Expos de Rennes... Tout est faux chez ces gens adeptes d'une laideur musicale peu commune ! Le mélange de hip hop putassier et de rock à moustaches - le guitariste à bacchantes ressemble au membre de Justice faisant semblant de tourner des boutons sur scène - est totalement ridicule chez eux ; leur attitude scénique est risible... Lire la suite
Anthony Joseph + Ebony Bones + Beat Torrent + The Black Angels+ Miss Dj Blue + The Résidents + Missill Live Gang + South Central Dj set + The Driver
En ce début d'après-midi j'accuse un peu le coup là...2 cafés & 2 jus d'orange plus loin, ça y est je pète le feu pour fêter dignement cette soirée de clôture des 30e Trans, que je compte pour une fois mener jusqu'à son terme... Attente en fort agréable compagnie, une demoiselle rennaise prénommée Servane, sur les escaliers de la "Cité" pendant le concert d'un certain Léon Jean-Marie...( pas terrible à entendre, de loin...m'en fout j'ai ma rennaise) Retrouvailles avec Anthony Joseph & the spasm band, déjà vus il y a environ 2 ans pour un concert en petit comité à Marseille, mais assez mémorable... Cette fois-ci ils jouent devant une salle de la Cité pleine à craquer et plutôt chaleureuse... Il y a des nouveautés au niveau du line-up : un guitariste qui apporte une touche encore plus funk qu'auparavant et un invité de marque, le tromboniste américain Joe Bowie, leader de Defunkt et fils de Lester Bowie... Leur afrobeat à la sauce spoken word et ambiances voodoo démarre par des titres assez downtempo et va monter en puissance progressivement jusqu'au climax final ! Un modèle de concert orgasmique réussit ! Leur disque ne m'avait pas autant convaincu que leur 1er concert et finalement je suis très heureux de les revoir... Lire la suite