Psyché rock progressif de Berlin. Un rock ultra personnel où on y retrouve l'ouverture de 31 Knots, le grain de guitare des Melvins, des passages orientaux à la Silver Mont Zion.
Trio (violon, guitare, batterie) basé à Berlin, fruit de la rencontre entre des tribus italiennes et françaises. Composé de Marco Biancardi, songwriter, jadis activiste de la scène avant-gardiste de Florence puis de Bologne, batteur dans Elton Junk, chanteur dans Hotel Ambiente, guitariste dans Caboto. Rafäel Bord, lui, a usé ses archets sur les routes pendant 10 ans avec Les Hurlements d'Léo, Marcello Busato n'est plus à présenter dans la Haupstadt allemande où on ne peut plus passer à côté des performances "expéri-débile-mentales" de son Infinite Monkey Show. De la musique de sauvages interprétée par des gentlemen, ou alors l'inverse. The Somnanbulist sort son premier album "Moda Borderline".
The Somnambulist en concert
The Somnambulist : l'historique des concerts
Sa.
07
Déc.
2013
Ve.
06
Déc.
2013
Je.
05
Déc.
2013
Sa.
23
Oct.
2010
Le Volume - Nice (06)
Ve.
22
Oct.
2010
Ma.
19
Oct.
2010
The Somnambulist : les dernières chroniques concerts 1 avis
Nitwits + The Somnambulist
Critique écrite le 27 octobre 2010, par Mystic Punk Pinguin
La Machine à Coudre - Marseille 22 Octobre 2010
Que n'a-t-on pas écrit dans ces colonnes sur Nitwits ? On adore tout simplement. Le groupe délivre une musique unique sur Marseille, entre rage grunge, déflagrations soniques et cassages de rythmes free. Une originalité rare, une énergie explosive, une présence certaine et une envie de sortir des sentiers battues, entre mélodies presque pop (j'ai dis presque) et une recherche chaotique permanente. On s'enthousiasme à chacun de leur passage sur scène, encore une fois ils ont été impériaux. Relisez nos chroniques de concerts passés, plus développées, et surtout ne les manquez pas lors de leur prochain passage. The Somnambulist sont une découverte pour moi. Si j'en crois leur bio, ce trio italo-franco-allemand vient de Berlin, comporte le violoniste des Hurlements de Léo en leur saint et délivre du psyché rock progressif. On retrouve bien Rafaël des Hurlements (groupe alterno que j'ai pas mal suivi), son éternelle caquette vissée sur le crâne. Mais la musique est bien différente. D'entrée j'accroche. Bien moins agressive que leurs prédécesseurs, elle n'en manque pas moins de personnalité. Pas mal de montées planantes, quelques riffs quasi noise, un orfèvre à la... Lire la suite