Groupe culte de pop sixties... Actif de 1961 à 1967, les Zombies se reforment régulièrement depuis 2004 pour faire plaisir à leurs nombreux fans et commémorer le bon vieux temps. Leur mythique album, Odessey and Oracle, est considéré par beaucoup comme un chef d'uvre.
The Zombies en concert
The Zombies : l'historique des concerts
Ve.
27
Nov.
2015
Je.
26
Nov.
2015
Me.
25
Nov.
2015
Ma.
24
Nov.
2015
Ma.
24
Nov.
2015
Sa.
12
Juin
2010
Domaine du Pinsan - Eysines (33)
Sa.
12
Juin
2010
Je.
10
Juin
2010
The Zombies : les dernières chroniques concerts 2 avis
The Zombies
Critique écrite le 26 novembre 2015, par Jacques 2 Chabannes
Le Poste À Galène, Marseille 24 novembre 2015
Le Retour des "Z" ! (This Will Be Their Year...) Lorsque l'on chronique d'écrit une prestation Live des Zombies, il est plutôt conseillé de se retourner un (plus ou moins) court instant afin que d'évaluer un chouia à qui l'on a véritablement affaire, avant que d'aller plus loin pour aborder ce jouissif retour aux... affaires, des "rosbifs" susnommés. C'est en effet en la lointaine 1961, à St. Albans/Grande Bretagne, que le duo formé de Rod Argent & Colin Blunstone, se rassemble autour de la chose musicale (comme tant et tant d'ados Anglais de cette même époque). Une paire d'années et quelques, plus loin, le quintet originaire de Hertfordshire finira par décrocher, via un concours, un deal avec le label Decca pour finalement accoucher du mythique She's Not There (repris par Vanilla Fudge, Santana,UK Subs, The Purple Helmets, Crowded House, Nick Cave & Neko Case, et... des pelletées d'autres, au fil des décennies suivantes !) On aura connu bien pire, plus long ou plus poussif, en termes de débuts dans la carrière. Dans la foulée d'une belle main de singles et d'un album conforme en tout point aux standards de l'époque - des reprises inspirées ou revisitées de classiques cohabitant avec des compos plutôt connotées mais mélodieuses... Lire la suite
Hurly Burlies+ Jessie Evans+ The Zombies
Munis d'un sens de l'orientation approximatif, rendu plus approximatif encore par un temps cyclothymique, nous parvenons tout de même en cette fin d'après-midi plombée au domaine du Pinsan. Haut lieu du footing, des rendez-vous obscurs pour joueurs de djembés chevronnés et autres adeptes de la marche bucoliquement urbaine. Domaine du Pinsan, donc, pour le premier jour du festival "Eysines goes rock'n soul" ). Une belle arène à la romaine, une grande scène chouettement sonorisée, quelques stands histoire de suturer les différents temps morts, tout va bien, sauf qu'il est trop tôt, et qu'il nous reste une bonne heure à poireauter un verre recyclé de bière de festoch à la main, gentiment assis comme le reste de la foule éparse. La musique d'attente, quand quelqu'un pense à en mettre, est soit de la playlist molle en boucle, soit du hard rock FM. Bon. Et à guetter le ciel noir qui semble de moins en moins conciliant, j'ai d'autant plus hâte que les festivités commencent. Les Hurly Burlies (à ne pas confondre avec les Curlee Wurlee ou les Wonky Monkees , n'est ce pas) montent sur scène au nombre de cinq et envoient le bouzin. Du rock boogie aux effluves pop heurté par des ballots de paille. Ça sonne Kinks , Monks , Count... Lire la suite