Rock
Tito & Tarentula en concert
Tito & Tarentula : les dernières chroniques concerts 3 avis
Tito & Tarantula
Et dire que j'ai failli avoir la flemme d'y aller. Mais les ayant raté déjà une fois ... Tito & Tarentula vous le saviez sûrement c'est le groupe qui fait une apparition remarquée dans (et une partie de la musique de) Une nuit en enfer ce qui leur vaut d'avoir l'étiquette Tarantino collée sur le front. Sur scène ils sont 4 guitare-guitare-basse(une fille !)-battterie. Très rock (n' roll) cela m'a fait penser à un croisement entre Big Soul (pour el côté souriant, sautillant et riff qui revient) et les Rolling Stones en plus crade (je parle de la musique). Niveau ressemblance physique si le deuxième guitariste m'a fait penser à Fred Chichin avec sa mouchage aux ras de la lèvre, Tito lui ressemble vraiment au Joe Cocker de Mad Dogs and English Man... Lire la suite
Tito and Tarantula
Critique écrite le 02 avril 2002, par éric
chez paulette PAGNEY derriere barine (TOUL/NANCY) 30 mars 2002
Dans la petite salle de Pagney, et malgrès un retard d'une heure le groupe mexicain a fait un concert de très haut niveau. En jouant de nombreux morceaux de leurs différents albums et des incontournables tel que After Dark et Angry Cockroaches, ils ont conquit le public. Le... Lire la suite
Tito & Tarantula + American Dog
Dans la petite salle de la coopé presque pleine, la soirée commence avec les cousins américains des Hellacopters, American Dog : cheveux longs permanentés, gros riffs de guitare, chanteur hurlant, batteur cognant ses fûts comme un possédé ! Par contre, quelques différences avec les représentants suédois de "Head and Shoulders" : ils ne sont que trois, pas de soli de guitare à genoux et pas de ventilateurs dans les cheveux pour faire comme Slash. C'est décevant quand même, j'étais venu pour ça ! Remboursez moi les 60 francs tout de suite ! American Dog est fait pour passer en tête d'affiche au tristement célèbre Free Wheels de Cunlhat : après un strip-tease et avant un numéro de jonglage avec une tronçonneuse enflammée ! L'"auteur" du groupe doit visiblement respecter un cahier des charges sévère. Il doit composer chaque chanson en plaçant à des endroits stratégiques les quatre mêmes mots : beer, pussy, fuck, drink. Leur hymne s'intitule d'ailleurs "I don't remember, I drank too much". Ils sont quand même agréables à écouter ( si on... Lire la suite