Groupe américain pratiquant un disco punk/rock très accrocheur.
We Are Scientists en concert
We Are Scientists : l'historique des concerts
Di.
26
Mars
2023
Ve.
01
Avril
2022
Ma.
15
Mai
2018
Ma.
31
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2016
Ma.
01
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Sa.
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Ve.
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23
Oct.
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We Are Scientists : les dernières chroniques concerts 7 avis
R.E.M. + We Are Scientists
La Rockal qui accueille le groupe ce soir, semble sorti de nulle part. Pas facile d'y arriver, le Gps nous arrête un peu trop tôt, et après un détour par le centre ville, nous voici revenus a notre point de départ, mystère de la technique. Mais nous comprenons vite dans quelle direction il nous faut nous diriger au vu des voitures qui se suivent à la queue leu-leu. La réceptionniste de l'hôtel nous ayant alertés sur la difficulté de se garer, nous stoppons sur un parking proche, et décidons de finir à pied. Nous ne sommes pas les seuls d'ailleurs à opter pour cette stratégie. Le paysage autour de nous est indescriptible, finalement bien dans l'esprit de la pochette de Accelerate, sauf que nous sommes au beau milieu d'une friche industrielle. Les bâtiments sont marrons, rouillés, et il y a des gravats partout autour de nous, sacré chantier . j'aurais bien du mal à imaginer qu'une salle de concert puisse avoir été érigée ici, sans la présence d'une tour ultra moderne pour me rappeler que la vie continue. Après un chemin qui me semble interminable, nous touchons au but car il y a une queue importante pour rentrer. J'y gagne un Cd d'un guitariste amateur, et après une fouille en règle, nous pénétrons dans la salle. Le bâtiment est... Lire la suite
Summercase (Nick Cave & Grinderman, Blondie, Patrice, We are Scientist, Ian Brown, The Verve, Midnight Juggernauts, Interpol, Edwyn Collins, Etienne De Crécy)
Critique écrite le 07 septembre 2008, par Cybermetisse & Gring
Parc del Forum, Barcelone 18 juillet 2008
La journée finit sous un soleil brûlant et nous arrivons dans la place, quelque peu surpris par l'aspect des lieux; en effet, le festival se déroule dans une sorte d'enceinte bétonnée élevée sur un dock. Nous sommes entourés par la mer et les scènes particulièrement rapprochées, bénéficient de bétonflor géants empilés de façon à ce que la populace grouillante puisse reposer son séant; choc psychologique pour nous quand nous nous aperçûmes que, contrairement aux festivals dans lesquels nous avions l'habitude de traîner, le gazon (et donc la boue) est quasiment inexistant au Summercase... Ca fera des vacances à nos (fausses) Converse. Après avoir traversé la totalité de l'enceinte, nous gagnons la mini-scène ou se produit le Patrice. Ayant globalement une sainte horreur du reggae sauf en bord de mer, étalée sur une pelouse en fumant des cigarettes, je me dis finalement que la musique du teuton rastaquouère n'est pas si désagréable que ça par beau temps. Quelques irréductibles fans tentent un butterfly ragga dans l'indifférence générale quand nous décidons, à la faveur des derniers décibels, de migrer vers les fumeux We Are Scientists qui occupent la Grande Scène. Depuis 2006, le succès de ce groupe me laisse rêveuse. Qu'on t'il fait... Lire la suite
We are Scientists + Pixies (Voix du Gaou 2006)
Critique écrite le 24 juillet 2006, par Pirlouiiiit
Presqu'ile du Gaou - Six Fours les Plages 19 juillet 2006
Apres la grosse déception du concert de Massive Attack deux jours plus tôt, je suis assez inquiet en me rendant au Gaou. La route en venant de Marseille me parait longue (nous sommes une nouvelle fois obligé de rouler doucement en raison de la pollution - ne prenez plus vos voiture sauf cas extrêmes !) Le cadre est toujours aussi joli et je peux encore plus en profiter car cette fois on me fait croire que les parking les plus proches sont pleins et je suis obligée de me garer loin ce qui me force a prendre mes tracts LiveinMarseille.com dans mes poches pendant tout le concert ... Je n'ai jamais vu les Pixies par contre j'ai vu Frank Black il y a très longtemps et j'avais trouvé cela sans intérêt sur scène ; et puis je suis fatigué. Nous arrivons juste a temps pour voir la fin de la conférence de presse (dont vous retrouverez l'intégralité ici) ou je trouve Frank Black en petite forme (mais bon il faut dire avec les questions qu'on lui posait ...). L'interview prend fin au moment ou We are Scientists (qui remplacent les Futurheads originalement annoncées) attaquent. Le nom me dit quelque chose ... je finirai par reconnaître un groupe que j'avais failli aller voir l'année dernière séduit par l'humour des deux clips sur... Lire la suite
Pixies + We are scientists (Voix du Gaou 2006)
Critique écrite le 25 juillet 2006, par DogEatCatEatMouse
Presqu'ile du Gaou - Six Fours les Plages 19 juillet 2006
La soirée commence donc par We are scientists qui m'avaient guère enthousiasmé en mp3, en live c'est à peine mieux : si tu as 19 ans et que le Rock = Franz Ferdinand & co, tu as dû adoré, moi j'ai trouvé ça plat et sans réel intérêt...ça me fait penser à tous ces staracademiciens qui arborent fièrement une crête de punk...mais bon, ça fait passer le temps et de temps à autre on peut même taper du pied...Le changement de plateau dure plus d'une ½ heure : long ! J'avoue : j'avais un a priori un peu négatif vis-à-vis de ce concert des Pixies, après avoir lu des propos de Frank Black qui avouait avoir reformer le groupe avant tout pour le fric, et après avoir entendu un extrait live où il chante faux tout le long et où le groupe joue sans conviction, ce devait être un jour sans... Car le concert de ce soir, bien que n'ayant duré qu'1h10, est pas loin d'être un concert historique à mes yeux et à mes... Lire la suite
We Are Scientists : les chroniques d'albums
We Are Scientists : With Love And Squalor
Chronique écrite le 18/02/2006, par Pierre Andrieu
Les heureux propriétaires des plus belles moustaches (malheureusement cachées par des chatons sur la pochette) depuis celles arborées par les Village People viennent de sortir un album truffé de tubes scientifiquement pop, abrasivement rock et diaboliquement disco punk. Ces jeunes gens farfelus et drôles ont pris pour nom We Are Scientists, ils viennent de New York et sur nombre de leurs titres, on pense avoir affaire à une sorte de Franz Ferdinand américain ne fréquentant pas le couturier Heidi Slimane, mais plutôt celui des Beastie Boys dans le mémorable clip de Sabotage. Malgré ce look savoureux et plutôt original en 2006, les trois Américains pratiquent une musique peu surprenante : ils participent, avec un enthousiasme réjouissant il est vrai, à l'actuel revival eighties New Wave/Post Punk. La recette est simple mais efficace : un chant de crooner radiophonique, des mélodies qui restent en tête, des riffs qui tuent, une guitare piquante et, hop, on obtient une flopée de singles pour faire danser les filles... En n'inventant rien, et en plaçant çà et là dans les textes de délicieuses idioties, ces flamboyants... Lire la suite