Wraygunn est le groupe de rock 'n roll blues & soul de Paulo Furtado aka The Legendary Tigerman. Un biberon d'Elvis, deux assiettes du blues du Delta, un peu de soul et de gospel pour corser tout ça. Sauvage et salvateur ! De retour en 2012 avec l'album L'art brut, le 1er single est intitulé Don't You Wanna Dance ?.
Wraygunn en concert
Wraygunn : l'historique des concerts
Me.
24
Oct.
2012
Sa.
07
Avril
2012
La Sirene Espace Musiques Actuelles - La Rochelle (17)
Ve.
06
Avril
2012
La Citrouille - St Brieuc (22)
Je.
05
Avril
2012
L'Aéronef - EuraLille (59)
Me.
04
Avril
2012
La Flèche d'Or - Paris (75)
Ve.
20
Juin
2008
Je.
29
Nov.
2007
Je.
01
Juin
2006
Coopérative de Mai - Clermont Fd (63)
Wraygunn : les dernières chroniques concerts 5 avis
Barrence Whitfield & The Savages + Wraygunn + The Dustaphonics (Cool Soul Festival 2012)
Initiative à saluer et à défendre (une prog rock & soul aussi classe, c'est pas tous les jours que ça arrive !), le Cool Soul Festival #2 a débuté en fanfare le jeudi 4 avril 2012 à La Flèche d'Or, à Paris, avec des prestations positivement jouissives de The Dustaphonics, Wraygunn et Barrence Whitfield & The Savages... A signaler pour les amateurs du genre, Le Cool Soul festival se poursuivra le 5 avril à l'Aéronef de Lille, le 6 avril à La Citrouille de St Brieuc et le 7 avril à La Sirène de La Rochelle (avec en plus Lewis Floyd Henry, Bob & Lisa des Bellrays et Mama Rosin, nom d'une pipe ! ) Voici un petit compte rendu de ce que le chanceux public parisien a pu voir en live et de ce que vous pourrez déguster très bientôt, si le cur vous en dit... The Dustaphonics : groupe anglais de rock & soul (voire plus si affinités) avec une chanteuse à la voix noire (et avec de sexy bas résille), des guitares surf 'n roll et une belle énergie en live... A la manière des BellRays, ce combo a tous les atouts pour réjouir et faire danser sur sa musique les amoureux fous de Rhythm & Blues, de Rock 'n' Roll, de Surf et de Soul. Le son est vintage, les chansons sont sacrément bien foutues, les Dustaphonics ont super envie... Lire la suite
Wraygunn + Nation All Dust
Ayant rédigé une chronique totalement dithyrambique de l'album de Wraygunn, j'attends beaucoup de ce concert et j'ai donc peur d'être décu et pire, de décevoir d'éventuels lecteurs de LiveinMarseille qui nous auraient fait confiance (cf la prestation consternante des affligeants Bloc Party). L'arrivée au Moulin confirme ma première crainte : France/Australie + OM/Le Mans + pas de métro + manque de curiosité générale du public marseillais = Dégun ! Les milliers de "fêtards" (ha, ha) qui se pressaient devant les télés à la Fiesta des Suds sont donc retournés s'enterrer pour un an, qu'ils reposent en paix... Enfin dégun, pas tout à fait : rendons grâce aux 2 ou 300 personnes qui ont passé outre toutes ces mauvaises excuses et sont venues, sur la base de la promesse faite par le Dépanneur (et LiveinMarseille) de voir du Kicking Rock'n'Roll ce soir : Wraygunn (étymologiquement, Link Wray + Peter Gunn), groupe de Coimbra, Portugal, unanimement célébré comme une des révélations rock de 2005 dans la presse spécialisée. Première partie, Nation All Dust, (support your) local band prometteur déjà vu ici même lors de la soirée Le rock est Mort. Le quatuor pratique un gros rock noisy, de bonne qualité, aux harmonies recherchées. Petite... Lire la suite
Wraygunn
Ce groupe Portugais à la patate ! J'avais lu dans Rock & Folk que l'album était bien coté ! Il fallais que j'aille voir ce nouveau groupe sur scène. Pas de déception. Un concert très energique, très rock emmené par un guitariste chanteur survolté et les voix très "soul" des deux... Lire la suite
Wraygunn + The Film
Critique écrite le 08 novembre 2005, par Pierre Andrieu
La Coopérative de Mai, Clermont-Ferrand 7 novembre 2005
Sex & rock ‘n roll L'affiche Wraygunn + The Film a permis de chasser le blues du lundi soir en province au mois de novembre à grands coups de décibels et de textes sexuellement connotés... Même si le club de la Coopérative de Mai sonnait un peu creux, les aficionados de rock fiévreux qui s'étaient déplacés n'ont pas eux à le regretter : The Film est désormais une redoutable machine de guerre scénique, quant à Wraygunn, c'est un sérieux prétendant au trône de superstar du punk ‘n blues sexy, toujours occupé par l'inestimable Jon Spencer. Electric warriors La soirée commence par une bonne décharge de punk rock glam signée The Film... Le groupe, qui évolue désormais à quatre sur scène, a accompli des progrès considérables depuis son concert en première partie de Dionysos au festival de Sédières, en juillet 2004. Avec un batteur, les excellents titres qui figurent sur le premier album des Bordelais sont maintenant ultra percutants sur scène. En plus, cela encourage Guillaume Brière et Benjamin Lebeau à se lâcher sur leurs instruments (basse énorme, guitare machine à envoyer des riffs) et leurs micros respectifs comme des guerriers électriques. Les violents gimmicks à la Ron Asheton, à la Marc Bolan, voire à la Keith... Lire la suite
Wraygunn : les chroniques d'albums
Wraygunn : Shangri-la
Chronique écrite le 24/10/2007, par Philippe
Quoi de neuf à Coimbra, Portugal ? On y avait découvert avec ravissement il y a 2 ans Wraygunn, inattendu groupe de rock, gospel et blues old school, aussi inspiré sur disque, que pétaradant sur scène. Et surtout, groupe emmené en enfer par un authentique héros du rock, Paulo Furtado aka The Legendary Tiger Man. Le nom du groupe était déjà inspiré rock à 100 %, le titre de ce nouvel album aussi : certes Shangri-La est un endroit mythique mais c'est aussi - et surtout - un célèbre girl-band à chignon des années 60. Signe peut-être d'une nouvelle direction pour ce troisième album : à l'oreille le groupe est en effet de plus en plus souvent un girl band, puisque Paulo s'est mis en retrait et s'occupe plus de faire ronronner sa poële à frire que du... Lire la suite
Link Wray : Rumble - The Best Of Link Wray
Chronique écrite le 05/05/2006, par Philippe
La première fois que j'ai entendu le nom de Link Wray c'était à propos de l'explosif combo Wraygunn à qui il a donné la moitié de son nom. De quoi s'intéresser donc à ce guitar-hero des temps anciens (sa carrière commence il y a pile 50 ans). Historiquement, Link Wray est unanimement reconnu, non comme l'inventeur de la gratte électrique, mais comme le premier qui en joua avec une distorsion, autrement dit comme l'inventeur du larsen, excusez du peu ! Le fait se produisit en perçant un ampli à coups de crayons, en 1958, et en constatant que ce son pourri venu d'ailleurs déclenchait l'hystérie des kids. Et tout ceci 10 bonnes années avant que cela fasse tilt dans la tête de Jimi Hendrix et de ses contemporains chevelus (Black Sabbath, Led Zep ...), qui allaient inventer le hard rock en 1969-1970. Autrement dit on peut très bien supposer que sans lui, même les meilleurs n'auraient pas tous été sauvés : Angus Young serait peut-être devenu pompiste, John Spencer braqueur de banques, Jack White joueur de poker, Hôtel des Kills un proxénète, Michel des Cowboys from Outerspace un véritable machiniste... La liste est longue, mais je suis sûr que les VRAIS guitaristes savent tous ce qu'ils lui doivent. Et ne parlons pas de la galaxie du hard-rock... Lire la suite
Wraygunn : Ecclesiastes 1.11.
Chronique écrite le 05/09/2005, par Philippe
Le groupe l'annonce sans ambages sur leur site : Forget about N.Y.C., L.A. and London, The most exciting rock'n'roll band in 2005 is coming from Coimbra !. Et force est de reconnaître que cela pourrait être vrai. L'inattendu groupe Wraygunn a sorti du fin fond du Portugal son premier LP, Ecclesiastes 1.11, un de ces disques qui vous font penser avec soulagement que le rock ne pourra vraisemblablement jamais mourir. Car ce groupe touche-à-tout n'a peur d'aucune outrance, et développe une palette étonnante de talents : prêche gospel à la James Brown pour ouvrir le bal (Soul city), puis rock endiablé avec voix arrogante et classe (Drunk or stoned, et plus loin Speed Freak), et pourquoi pas rock'n'roll presque variète à la B 52's (Keep on praying et All Night Long), voire crooner Elvisien (I'm your man) tant qu'on y est. Et au moment précis où l'on croit commencer à les cerner, on se prend en pleine gueule Juice, tuerie punkoïde et sexy sur fond de choeurs gospel, ... il faut l'entendre pour le croire : c'est comme les Hatepinks multipliés par Motörhead, avec en plus une contrebasse revenue du fond des enfers, c'est monstrueux, très probablement le meilleur morceau de rock'n'roll qui sera composé en 2005 ! Et... Lire la suite