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Dimanche 22 décembre 2024 : 6843 concerts, 27255 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.

Ynodible en concert

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Ynodible : l'historique des concerts

Ve.

30

Mai

2008

Les Jolis en concert
Les Jolis + Ynodible Ynodible | Les Jolis
Lollipop Music Store - Marseille (13)

Sa.

08

Mars

2008

Holy Curse en concert
Holy Curse + The Dead Clodettes + Ynodible Holy Curse | Ynodible | The Dead Clodettes
La Machine à Coudre - Marseille (13)

Sa.

01

Sept.

2007

The Pneumonians + Ynodible Ynodible | The Pneumonias
Machine à Coudre - Marseille (13)

Ve.

20

Juillet

2007

Roisbite + Ynodible Roisbite | Ynodible
Balthazar - Marseille (13)

Sa.

14

Juillet

2007

Menpenti en concert
Motornoïse,Menpenti, The Aggravation, Hyppicore, Ynodible Menpenti | The Aggravation | Ynodible
Rockab - Marseille (13)

Sa.

05

Mai

2007

No Bull Case en concert
No Bull Case + Les Jolis + Ynodible Ynodible | No Bull Case | Les Jolis
Machine à Coudre - Marseille (13)

Je.

07

Sept.

2006

The Metropolitans & Ynodible Ynodible | The Metropolitans
Intermédiaire - Marseille (13)

Ve.

07

Juillet

2006

Les Rois Bite , Ynodible New Palace - Marseille (13)

Ynodible : les dernières chroniques concerts 1 avis

(ma) Fête de la Musique 2006 (La Cumbia Chicharra, Ynodible, Los Rastaqueros, Kunshot Diesel, Outburst, KOD, ...)

Critique écrite le 23 juin 2006, par Philippe

La Plaine Marseille 21 juin 2006

(ma) Fête de la Musique 2006 (La Cumbia Chicharra, Ynodible, Los Rastaqueros, Kunshot Diesel, Outburst, KOD, ...) en concert

Contrairement à pas mal de mélomanes qui ne mettent pas, ou plus le nez dehors ce soir-là, j'ai toujours conservé une petite envie d'aller voir ce qui se passe le 21 juin, si c'est bien le solstice d'été comme on l'apprend à l'école, ne serait-ce que pour changer de ces salles de concert exigües et enfumées que je fréquente à longueur d'année à Marseille, mon rayon de balade étant en gros, le quartier de la Plaine. Première constatation : il y a moins d'abrutisseurs qu'avant. Par ce néologisme hardi, j'entends ces emmerdeurs de bougre de cons de patrons de bar et autres vendeurs de merguez improvisés, qui sortent ce soir-là deux grosses enceintes et jouent la dernière compile dance à la mode à fond les watts, faisant chier les pauvres musiciens non amplifiés (dont il m'est arrivé de faire partie). Les grosses baffles sont toujours là mais c'est généralement des sound-systems : c'est ainsi rue Crudère avec des reggaemen noirs, et Cours Julien avec des reggaemen blancs. Au moins il y a quelque chose à voir : l'enthousiasme souvent démesuré de ces DJ de dancehall qui ont l'air d'être en train de jouer leur propre musique. Mais enfin, ça plait aux gens, rien à dire tant qu'il y a du bon rhum ! Par ailleurs les grands standards se... Lire la suite