Accueil Yo La Tengo en concert
Samedi 23 novembre 2024 : 6572 concerts, 27231 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.


Dans le sillon de la Pop US, Yo La Tengo s'est toujours nourrit de la culture européenne en décrivant des fresques sonores aux rythmes agréablement redondants et aux denses instrumentations. Groupe très versatile (il peut aller du rock garage à la pop en passant par le rock psyché... ), Yo La Tengo sort des disques surprenants et classieux, avant de visiter régulièrement l'Europe dans la foulée.


Yo La Tengo : vos chroniques d'albums
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Yo La Tengo en concert

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Yo La Tengo : l'historique des concerts

Ve.

18

Août

2023

La Route du Rock en concert
La Route du Rock 2023 : The Black Angels, Yo La Tengo, Osees, Young Fathers, Clipping, Billy Nomates, Deena Abdewahed... La Route du Rock | The Black Angels | Osees | Yo La Tengo | Billy Nomates | Young Fathers | Clipping
Fort de Saint Père - Saint Père Marc en Poulet (35)

Je.

17

Août

2023

La Route du Rock en concert
La Route du Rock 2023 - Pass 3 Jours : BJM, Jamie XX, King Gizzard & The Lizard Wizard, M83, The Black Angels, Viagra Boys, Yo La Tengo, Gilla Band, Dry Cleaning, Deena Abdelwahed, Sorry, Billy Nomates, Clipping... La Route du Rock | The Black Angels | The Black Angels | M83 | Yo La Tengo | The Brian Jonestown Massacre | Gilla Band (ex Girl Band) | King Gizzard & The Lizard Wizard | Viagra Boys | Bodega | Billy Nomates | Dry Cleaning | Jamie XX
Fort de Saint Père - Saint Père Marc en Poulet (35)

Je.

04

Mai

2023

Sa.

16

Fév.

2019

Je.

14

Fév.

2019

Sa.

19

Mai

2018

Me.

16

Mai

2018

Yo La Tengo (us) Le Fri-son - Fribourg (Ch)

Di.

25

Oct.

2015

Yo La Tengo : les dernières chroniques concerts 4 avis

Yo La Tengo

Critique écrite le 22 mai 2018, par Gaël Jonard

Cabaret Sauvage, Paris 19 mai 2018

Yo La Tengo en concert

Pour Noël, avec mon épouse, nous nous offrons un week-end à la capitale en mai avec comme point d'orgue une place pour le concert de Yo La Tengo. Fin mars sort le dernier album du trio. Je me l'offre pour mon anniversaire. Je suis un peu déçu. C'est un bon disque à écouter semi éveillé juste avant de tomber dans les bras de Morphée. C'est donc avec une légère appréhension que nous nous rendons au Cabaret Sauvage. Le lieu perdu au fond du parc de La Villette se mérite, à un quart d'heure de marche de la station de métro. Nous avions été prévenus auparavant qu'il n'y aurait pas de première partie mais deux sets de prévu. Du coup nous nous dépêchons pour ne pas en louper une miette. Nous arrivons pile à l'heure dans ce lieu que nous pourrions qualifier de magique car c'est un chapiteau type Magic Mirror : structure en bois avec plein de petits miroirs et tentures de velours. Ça pose une ambiance. Sur scène, des vinyles, des bobines de film, une banane en plastique (tiens tiens... Lire la suite

Yo La Tengo, Hot Chip, The Knife, Warpaint, Jagwar Ma, The Haxan Cloak, Savages, Mac Demarco, No Age, Connan Mockasin, Colin Stetson, Panda Bear, Danny Brown, Majical Cloudz, Omar Souleyman, Youth Lagoon, Pegase (Pitchfork Music Festival Paris 2013)

Critique écrite le 09 novembre 2013, par Audreymllr

Grande Halle de La Villette, Paris 31/10 au 02/11 2013

Yo La Tengo, Hot Chip, The Knife, Warpaint, Jagwar Ma, The Haxan Cloak, Savages, Mac Demarco, No Age, Connan Mockasin, Colin Stetson, Panda Bear, Danny Brown, Majical Cloudz, Omar Souleyman, Youth Lagoon, Pegase (Pitchfork Music Festival Paris 2013) en concert

Troisième édition du Pitchfork Music Festival Paris, qui a une fois de plus investi la Grande Halle de la Villette pour trois nuits de concerts, du 31 octobre au 2 novembre 2013... 31 octobre 2013 : Premier soir de concert ou après avoir récupéré mon bracelet et avoir subi la meilleure fouille au corps de ma vie, je découvre une Halle bondée de gens très excités. Dans la cours des files interminables (bon, pas de bière pour moi ce soir... ) pour acheter les fameux jetons, sésames indispensables et, forcément, bien chers, pour accéder aux joies de la beuverie et de la cuisine américaine. D'ailleurs, les banquettes esprit guinguette au milieu de la cour parsemée de papiers gras sont déjà remplies et resteront occupées non stop pendant trois jours, probablement par des personnes différentes, pas sûr. Au dessus d'eux des chaussures aux semelles clignotantes, pourquoi pas. On croise un photomaton pour faire comme à Berlin. Premières sensations: LCD Soundsystem craché par des speakers sponsorisés, partout une odeur de viande frite et de ketchup, et déjà un peu de sueur. il est 19 heures. No Age La soirée commence donc pour moi avec le duo punk from L.A, No Age, installé sur la pink scéne. A peine le set commencé, mes... Lire la suite

The Cure, Yo La Tengo, The Raveonettes, Great Lake Swimmers, Camille, !!!, The Polyphonic Spree, The Wedding Present, The National, Sébastien Shuller, Mus, The Organ, Art Brut, Alamo Race Track, Boom Bip, Maxïmo Park, Colder, Sonic Youth, Mercury Rev (La Route du Rock 2005)

Critique écrite le 28 décembre 2005, par Pierre Andrieu

Fort de Saint Père et Palais du Grand-Large, Saint-Malo 12 au 14 août 2005

The Cure, Yo La Tengo, The Raveonettes, Great Lake Swimmers, Camille, !!!, The Polyphonic Spree, The Wedding Present, The National, Sébastien Shuller, Mus, The Organ, Art Brut, Alamo Race Track, Boom Bip, Maxïmo Park, Colder, Sonic Youth, Mercury Rev (La Route du Rock 2005) en concert

Quinzième anniversaire réussi pour la Route du Rock. Fort de la plus belle affiche de l'été, la quinzième Route du Rock a permis d'offrir aux festivaliers ravis un panorama quasi complet de ce qui se fait de mieux actuellement en pop et rock (voire électro, mais dans une moindre mesure). Les slogans affichés sur les t-shirts 2005 du meilleur festival français de la catégorie pop - qui semblaient un peu trop aguicheurs avant le début des hostilités - étaient cette année "Pop is not dead" et "Sea, sex and rock 'n roll" ; ils se sont finalement révélés prémonitoires et furieusement tendance. La pop n'est toujours pas morte, c'est vrai, mais ça on s'en doutait quand même un peu... La plage de Saint-Malo est plus que jamais magique, avec son sable fin et sa vue imprenable sur les bikinis et autres strings ou top less, et si l'eau est un froide au début, quand on en ressort elle provoque instantanément des envies humides, voire lubriques. Hum, hum... Le rock 'n roll, quant à lui, est toujours la chose la plus réjouissante inventée par l'homme pour péter les plombs. La preuve ? Même les branchés têtes à claques, qui il n'y a pas si longtemps s'extasiaient sur le moindre DJ planqué derrière ses sinistres platines et dissertaient à n'en plus... Lire la suite

Yo La Tengo

Critique écrite le 12 septembre 2007, par Kfr!

Trabendo - Paris 11 septembre 2007

Peu de groupes de cette envergure nous permettent de voyager avec cette facilité déconcertante. De la pop au rock psyché en passant par le blues et la country, les 3 compères, Ira Kaplan (chanteur-guitariste), sa femme Georgia Hubley (batteuse) et le bassiste James McNew savent... Lire la suite

Yo La Tengo : les chroniques d'albums

Yo La Tengo : Fade

Chronique écrite le 30/01/2013, par Pierre Andrieu

Yo La Tengo : Fade

A peine sorti et déjà à ranger au rayon des classiques intemporels, le dernier album en date de Yo La Tengo, Fade... A son écoute, l'auditeur constate instantanément que l'alchimie qui opère chaque fois que Georgia Hubley, Ira Kaplan et James McNew se retrouvent ensemble en studio est ici une nouvelle fois à l'œuvre ! Avec trois bouts de ficelle (façon de parler), beaucoup d'idées et une solide culture musicale, Yo La Tengo arrive à instaurer des climats sonores hyper prenants, que la direction choisie soit la pop & folk psychédélique, le rock bruitisite, la pop minimaliste, le jazz monté sur pneumatiques ou les expérimentations oniriques. En empruntant donc de multiples chemins, ce disque enregistré et mixé avec maestria par le musicien et producteur John Mc Entire (Tortoise... ) respire à plein nez l'inspiration débridée, la fraîcheur inaltérable et la liberté artistique brandie comme un étendard. Ce... Lire la suite

Yo La Tengo : Popular Songs

Chronique écrite le 14/10/2009, par Pierre Andrieu

Yo La Tengo : Popular Songs

Avec 25 ans de carrière et 14 albums, l'expérience de Yo La Tengo fait toujours la différence : le trio reste éternellement jeune, curieux, versatile dans ses humeurs et touche à tout en matière de styles musicaux abordés... La preuve : Georgia Hubley, Ira Kaplan et James McNew sont tour à tour capables de rocker sévèrement, de faire planer gravement ou de provoquer des sautillements de joie sur leur dernier album en date, le très bon Popular songs... Cet opus aux vertus positivement euphorisantes - pourquoi tant de talent ? parce que ! - comporte en effet des titres de pop avec violons blaxploitation (superbes Here to fall, If It's True), du rock garage joliment agité (Nothing to hide), des pop songs propices aux décollage... Lire la suite

Yo La Tengo : I'm Not Afraid Of You And I Will Beat...

Chronique écrite le 30/09/2006, par Pierre Andrieu

Yo La Tengo : I'm Not Afraid Of You And I Will Beat...

Malgré les années qui passent, le groupe américain Yo La Tengo se maintient en forme olympique ; comme le titre de son dernier opus le suggère, il n'a vraiment pas à avoir peur de quiconque et peut botter le cul à n'importe quel groupe du circuit actuel. Quel est le secret d'Ira Kaplan, Georgia Hubley et James McNew ? Et bien ces gens discrets, drôles et doués s'amusent ensemble, tout simplement. C'était déjà flagrant sur la scène de la Route du Rock 2005 lors de la tournée consécutive à l'extraordinaire compilation Prisoners of love, ça l'est encore plus sur l'excellent I'm not afraid of you and I Will beat your ass. Sur ce disque, Yo La Tengo passe du coq à l'âne avec un talent fou : on peut aussi bien y trouver un morceau bruitiste de 10... Lire la suite

Yo La Tengo : Prisoners Of Love

Chronique écrite le 13/10/2005, par Pierre Andrieu

Yo La Tengo : Prisoners Of Love

Pas la peine de tourner autour du pot pendant des heures : la triple compilation du groupe américain Yo La Tengo est tout bonnement géniale. Dans un élan incontrôlé d'emphase, on pourrait même ajouter que Prisoners of love est un bijou musical hors du temps et des modes, à posséder absolument dans sa discothèque. Ira Kaplan (guitare schizophrène, basse rêveuse, voix acide susurrée), Georgia Hubley (batterie caressée ou giflée, chant troublant à la Nico) et James Mc New (basse parfaite, orgue imparable, chant discret) l'ont encore prouvé cet été, sur la scène - pourtant trop grande - de la Route du Rock : ils composent ensemble une captivante musique, à caractère incroyablement protéiforme. Leurs compositions inventives inspirées par les travaux séminaux de Lou Reed, Moe Tucker, John Cale et Sterling... Lire la suite