Accueil Yves Laplane en concert
Jeudi 21 novembre 2024 : 6751 concerts, 27228 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.


Pianiste jazz influencé par les compositeurs romantiques, classiques comme par les pianistes de jazz modernes tels que Chick Corea, Michel Petrucciani ou Enrico Pieranunzi.

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Yves Laplane : les dernières chroniques concerts 4 avis

Yves Laplane quartet

Critique écrite le 05 décembre 2011, par Pirlouiiiit

Roll'Studio - Marseille 03 décembre 2011

Yves Laplane quartet en concert

Ce soir étant invités tous les 3 à une raclette ... nous avons décidé de nous rendre au Roll'Studio pour voir au moins le premier des 2 sets du concert de Yves Laplane. A notre arrivée (comme à chaque fois que je viens d'ailleurs) le caveau est plein et il faut se mettre sur la pointe des pieds pour voir ce qu'il se passe en bas ... Annoncé comme un trio il s'agit finalement d'un quartet puisque Yves Laplane (piano) est accompagné de Jean-Marc Baccarini au saxo en plus de Giuseppe Crimi à la basse et Willy Walsh à la batterie. Je commence le concert d'en haut et puis ayant repéré une place au premier rang à droite je profite des applaudissements entre 2 morceaux pour y aller. La température y est bien plus importante qu'en haut où il faisait déjà bon. Je suis donc au pied de la batterie et en face du saxophone, par contre le bassiste et le pianistes me sont cachés (par le saxo et le piano). Assez rapidement je me rends compte que si je commence à pouvroir m'exprimer concernant les saxophonistes (à force de voir Jerome Sabbagh- celui par qui j'ai commencé à apprecier du jazz -, Raphaël Imbert, Fred Pichot, Fabien Genais and co ...) en revanche pour les pianistes je manque cruellement de références (en dehors de Yaron Herman dont on... Lire la suite

Jazz Ensemble (Nonet du C.N.R.R.) et Jazz Groupe D6

Critique écrite le 07 juillet 2011, par Mardal

Conservatoire National - Marseille 6 juillet 2011

Jazz Ensemble (Nonet du C.N.R.R.) et Jazz Groupe D6 en concert

Le Conservatoire National de Jazz -à rayonnement régional- comme le précise le tromboniste Philippe Renault, présentateur de la soirée, offre régulièrement des concerts. Précisons à notre tour qu'il s'agit de musique de très haut niveau, autant pour la première partie menée par de jeunes et talentueux élèves, que pour la seconde, celle des professeurs grisonnants et chenus (dixit Philippe Renault), mais non moins talentueux. Dans un cadre superbe, celui de la cour intérieure du Conservatoire, place Carli, ornée de palmiers exotiques et du noble séant du David de Michel-Ange (taille originelle, le même que sur la Corniche !), les nombreux auditeurs confortablement installés à la fraîche en ont eu pour l'argent qu'ils n'ont pas versé. Nous avons pu écouter un jazz d'une grande finesse, arrangé et adapté par Philippe Renault dans la première partie, dans le style West Coast des années 50, tout en souplesse, en puissance et retenue alternées. En plus de la virtuosité de chacun, de nombreux passages attestent de la maîtrise technique de groupe. La gestuelle du chef, Philippe Renault souligne constamment ce souci de performance : réglage en volume des pianos, crescendos, decrescendos, notes piquées de plusieurs cuivres ensembles d'une... Lire la suite

Festival Jazz des Cinq Continents 0/5 : Magic Malik Orchestra + Sardar Orkestra + Enseignants et élèves de la Cité de la Musique

Critique écrite le 21 juillet 2010, par Mcyavell

Cours Estienne d'Orves - Marseille 19 juillet 2010

Festival Jazz des Cinq Continents 0/5 : Magic Malik Orchestra + Sardar Orkestra + Enseignants et élèves de la Cité de la Musique en concert

Si cette soirée gratuite en préambule au Festival des Cinq Continents devait être une vitrine de ce qui va s'y passer, alors ce fut un fiasco. C'était l'occasion rêvée pour faire découvrir au profane le jazz sous différentes facettes. A l'issue de cette soirée, lequel d'entre eux a pu se dire : "C'est génial le jazz ! Je prends mon pass semaine illico !" ? J'ai vu des spectateurs à la pelle se boucher les oreilles et quitter le Cours Estienne d'Orves dare-dare lors du concert donné par la "Master Class" dirigée par Malik Mazzedri. J'ai vu des amis pourtant connaisseurs quitter les lieux au milieu de la prestation des Enseignants de l'Ecole de Musique prétextant "il commence à se faire tard et demain on travaille". J'ai vu l'accès aux premiers rangs devenir de plus en plus aisé pendant le set du Magic Malik Orchestra débuté à 23 heures passées. C'était pourtant bien parti avec le Sardar Orkestra. Fanfare festive composée de musiciens vus dans des tas d'autres groupes : deux onzièmes de Samenakoa, deux tiers de Namasté !, deux sixièmes de Méandres, plus Christophe LeLoiL et d'autres joyeux drilles animent le Cours Estienne d'Orves. Une foule compacte est déjà massée autour d'eux à mon arrivée. Inutile d'essayer de se mettre en face... Lire la suite

Charlie Jazz Festival Jour 3 : Paris Jazz Big Band + Duo Isabelle Olivier / Youn Sun Nah + La Fanfarine + Yves Laplane Quartet

Critique écrite le 09 juillet 2009, par Mcyavell

Domaine de Fontblanche - Vitrolles 5 juillet 2009

Charlie Jazz Festival Jour 3 : Paris Jazz Big Band + Duo Isabelle Olivier / Youn Sun Nah + La Fanfarine + Yves Laplane Quartet en concert

Troisième et dernière soirée du Charlie Jazz Festival 2009. L'éclectisme du jazz est illustré par le programme de ce dimanche : un quartet de jazz moderne, un quintet-fanfare, un duo harpe/voix et un big band classique de 17 musiciens. Yves Laplane est un pianiste compositeur marseillais. Ce sont ses compositions - souvent dédiées à des proches - que son quartet interprète à l'exception d'une du saxophoniste niçois Jean-Marc Baccarini. Ce dernier est mis en avant dans chaque pièce et ce n'est pas pour me déplaire. A sa droite, Yves Laplane passe de son clavier Rhodes à son Yamaha (je préfère le son de ce dernier). Joseph Crimi à la contrebasse et Willy Walsh (batterie) rythment le propos. Willy est Irlandais et nous fait découvrir ou redécouvrir un instrument à percussion de chez lui, le bodhrán, sur Nomad's Land. Deux compositions retiennent mon attention : Blues For Ann pour lequel Joseph Crimi a troqué sa contrebasse contre une basse électrique. Chacun y a droit à son solo et celui du pianiste commençait à me faire apprécier le son du Rhodes. Auparavant, ils avaient interprété une merveilleuse mélodie, Fluffy Doll, ballade où s'entrelacent le son du piano et celui du saxo. Ils terminent en remerciant Claude... Lire la suite