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Chronique album : AFI - SING THE SORROW, par Ju de Mayenne
Lundi 18 novembre 2024 : 6599 concerts, 27224 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.
Critique d'album
Après 6 albums sur le label de Dexter Holland (The Offspring), Nitro, Afi signe pour Sing The Sorrow chez Dreamwork, là, beaucoup on dit Wonan, ça c'est pas cool, ils vont pu etre Underground et tout, enfin, que des conneries quoi ...Et bah là, nan, moi je dis Bravo, et j'en redemande, car c'est sur, chez Nitro c'était du bon Punk mélodique, réalisé avec des moyens honnetes mais pas pharaoniques, mais là putain, la claque ce cd, ils ont enfin pu laisser pleinement s'exprimer leurs idées et leur imagination débordante.
Les textes de Havock sont toujours aussi sombres, mais sa voix à encore pris de l'ampleur, et il n'y a qu'a l'entendre gueuler sur la chanson 'Death Of Season', où un beat Techno vient meme faire une breve appariton le temps de quelques (trop) courtes secondes.
La puissance de ce groupe réside dans le fait qu'il sont capables de jouer des chansons rapides et nerveuses 'Bleed Black', Dancing through Sunday', 'Death Of Seasons', ou encore le premier single 'Girl's not Grey', tout en les entrecoupant de chansons calmes et presques émouvantes comme 'The Leaving Song', 'The Great Desapointment', ou meme 'But Home Is Nowhere'.
Au Final, cet album, qui ne sera surement pas le meilleur pour les puristes Punk, se révèle à mon sens le plus travaillé, et pour moi, mon préféré, et essayez de trouver un autre groupe capable d'instaurer une telle atmosphère lors de l'écoute.
Chapeau l'artiste comme on dit à l'accoutumé.
Si on me demandais de But en blanc quel est mon album préféré deu moment, je répondrais à brule pourpoing que c'est celui-là, et la ca serait le drame, car j'aime aussi 'The art of drowning', mais ceci est un autre sujet.
Les textes de Havock sont toujours aussi sombres, mais sa voix à encore pris de l'ampleur, et il n'y a qu'a l'entendre gueuler sur la chanson 'Death Of Season', où un beat Techno vient meme faire une breve appariton le temps de quelques (trop) courtes secondes.
La puissance de ce groupe réside dans le fait qu'il sont capables de jouer des chansons rapides et nerveuses 'Bleed Black', Dancing through Sunday', 'Death Of Seasons', ou encore le premier single 'Girl's not Grey', tout en les entrecoupant de chansons calmes et presques émouvantes comme 'The Leaving Song', 'The Great Desapointment', ou meme 'But Home Is Nowhere'.
Au Final, cet album, qui ne sera surement pas le meilleur pour les puristes Punk, se révèle à mon sens le plus travaillé, et pour moi, mon préféré, et essayez de trouver un autre groupe capable d'instaurer une telle atmosphère lors de l'écoute.
Chapeau l'artiste comme on dit à l'accoutumé.
Si on me demandais de But en blanc quel est mon album préféré deu moment, je répondrais à brule pourpoing que c'est celui-là, et la ca serait le drame, car j'aime aussi 'The art of drowning', mais ceci est un autre sujet.
Critique écrite le 28 juin 2003 par Ju de Mayenne