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Chronique album : DOGBOWL - Zeppelin, par Erwann
Vendredi 22 novembre 2024 : 6714 concerts, 27231 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.
Critique d'album
Encore une révélation, décidemment à chaque fois que j'écris c'est une révélation ; à croire que je n'écoute qu'un CD par an. Bref arrêtons-là ces diggressions car je vois que vous tentez déjà de lire la prochaine critique.
Alors, que puis-je dire sinon que c'est une musique très simple (non pas simpliste) qui épure tous les artifices du rock humain. Bref c'est un joyau de musiques qui vous prennent là (non pas là, ici au coeur) et qui vous transportent dans un univers ou tout le monde saurait chanter. Des textes en anglais faciles à comprendre (je suis en train de passer pour un gros nul en anglais) mais qui sans fioritures laissent songeur (The president was shot). Des chansons lentes mais rythmées (tout et son contraire qu'ils m'appellent) Womanizer.
Bon il est l'heure d'aller souper (comme dirait vos grand-parents)
A +.
Alors, que puis-je dire sinon que c'est une musique très simple (non pas simpliste) qui épure tous les artifices du rock humain. Bref c'est un joyau de musiques qui vous prennent là (non pas là, ici au coeur) et qui vous transportent dans un univers ou tout le monde saurait chanter. Des textes en anglais faciles à comprendre (je suis en train de passer pour un gros nul en anglais) mais qui sans fioritures laissent songeur (The president was shot). Des chansons lentes mais rythmées (tout et son contraire qu'ils m'appellent) Womanizer.
Bon il est l'heure d'aller souper (comme dirait vos grand-parents)
A +.
Critique écrite le 20 septembre 1999 par Erwann
