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Chronique album : Neon Electronics - Ever After Monkey, par Philippe
Lundi 13 janvier 2025 : 7277 concerts, 27256 chroniques de concert, 5421 critiques d'album.
Critique d'album
Neon Electronics : "Ever After Monkey"
A l'instar du groupe-à-la-Blonde, le groupe ne crache pas sur le concept de grosses basses en octave typiques années 80, ni sur celui des paroles minimalistes : Toyboy, Cherish Love, ou encore Les Enfants du Paradis appliquent joyeusement ces principes physiquement imparables par un corps humain normalement constitué. Mais il peut aussi sonner plus techno à la Underworld (Maximum Joy), voire house minimale style The Hacker (très plaisantes Better way et Miss Brain).
Par ailleurs ce qui distingue le groupe est la voix grave et souvent doublée du chanteur, qui rappelle (curieusement) les très riches heures du batcave corback : Economix sonne ainsi très Sisters of Mercy ! La chanson, manifestement tube du groupe, apparaît également en fin d'album dans deux version remixées techno (dont une ghost, carrément enthousiasmante).
Pas révolutionnaire mais incontestablement énergique et tonifiante, la musique de Neon Electronics est calibrée pour faire danser les gens. En outre, une photo de guitariste sur leur Murdochspace (et des riffs entendus ici ou là, comme sur Shadowplayer) laisse à espérer ne pas voir qu'un DJ et un Korg sur scène (comme c'est trop souvent le cas) - à vérifier très prochainement !
(Le Son du Maquis, 2007)
Critique écrite le 15 janvier 2008 par Philippe
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