Accueil Chronique album : OpeNightmare - SLICED BY A TURBOMACHINE, par Robert Oppenheimer
Vendredi 22 novembre 2024 : 6714 concerts, 27231 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.

Critique d'album

OpeNightmare : "SLICED BY A TURBOMACHINE"

OpeNightmare :

Metal / powerpunkrock

Critique écrite le 04 novembre 2003 par Robert Oppenheimer

Dès le premier morceau, on sait qu'on ne va pas s'ennuyer : l'album commence par des hurlements hystériques d'un public (féminin) en folie, probablement en réaction aux premières notes de "Wet Wet Pants" (un tube en soi)... Ensuite, "White Trash" nous entraîne du côté de l'Amérique profonde, mais alors vraiment profonde : c'est Trust et les Stooges qu'on assassine !!!
La divine surprise se niche à la plage 4, avec "Web Side Story", un bijou pop-punk où la voix du chanteur (Yves, en anglais) s'exprime pleinement. Glissons sur un "Snuff Movies" particulièrement malsain (d'où Diable provient ce sample d'intro ???) et un "Speed Farmers" trop court pour nous attarder sur "Gimme A Mind" ... C'est à la fois Punk et Métal, très puissant. On sent nettement l'influence de Queens of the Stone Age sur la composition et le mix. Le morceau suivant, "Organic Women", est un hymne noisy pop qui s'achève en cauchemar stoner. Deux morceaux au son plus roots (visiblement issus de sessions plus anciennes) terminent l'album. Là, les influences sont plus punk, avec un net penchant pour les mélodies incisives à la Burning Heads
2004 (Vegas Records, Mosaic Music Distribution)

 Critique écrite le 04 novembre 2003 par Robert Oppenheimer

OpeNightmare : les chroniques d'albums

Openightmare : Sliced By A Turbomachine

Openightmare : Sliced By A Turbomachine par Gabba Gabba Hey !
13/11/2004
Ben c'est difficile à définir: y a du punk, du métal, du rock et du hardcore et bien plus (de la sueur, de la sciure, des tripes et de la salive incrustée dans les micros) dans l'album d'OpeNightmare ! L'album, sorti en autoprod en mai 2003 et... La suite