Accueil Chronique album : THE DARKNESS - PERMISSION TO LAND, par Pierre Andrieu
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Critique d'album

THE DARKNESS : "PERMISSION TO LAND"

THE DARKNESS :

Pop - Rock

Critique écrite le 03 novembre 2003 par Pierre Andrieu

En "admirant" les photos promo de The Darkness, on s'aperçoit que la troupe au grand complet a eu la lumineuse idée de racheter les costumes de scène de Queen et du leader omnipotent de Guns 'n Roses, Axl Rose ! Qui plus est, dans ses interviews, le groupe déclare qu'il est là pour réparer les méfaits provoqués par Nirvana. Le groupe de Kurt Cobain avait pourtant eu le grand mérite de mettre hors jeu tout le Hard Rock pourri des années 80 ! Au premier abord, The Darkness inspire donc la méfiance... Dans la foulée de son homologue anglaise, une certaine presse française veut nous faire gober que le premier disque de The Darkness est excellent... Qui essaye-t-on de tromper encore une fois ? Après avoir espéré un Tribute to AC/DC pendant les trente premières secondes du disque, le chanteur de ce combo improbable se met à pousser la chansonnette, et patatra ! Pour être précis, ça ressemble au couinement caractéristique du porc qu'on égorge. Justin Hawkins, le sinistre personnage faisant office de chanteur, semble s'être coincé une partie intime de son anatomie dans la porte du studio... Il vocalise dans les aigus comme un hard rockeur castrat des années 70/80 en vociférant sans aucun humour d'incroyables niaiseries (I Believe In A Thing Called Love). En plus, cerise sur le gâteau, le groupe n'est pas en reste : les guitaristes partent dans des solos hyper techniques d'un autre temps tandis que les autres musiciens touchent du doigt l'insoutenable lourdeur de l'être. Il est un peu curieux que pendant l'enregistrement de cet "œuvre" intitulée Permission to land personne n'ait eu une envie de débrancher le micro, de couper les cordes des guitares à la tronçonneuse, de crever les peaux de la batterie puis de renvoyer The Darkness à sa tournée écossaise des pubs miteux. Chaque titre réussit l'exploit de surpasser son prédécesseur dans le mauvais goût : après le Heavy Metal bas du front, on en arrive même à Love is only a feeling et Friday night des ballades FM que les radios commerciales s'arracheraient, si on était en 1983... Tout ceci est véritablement insupportable. Maintenant, le mal est fait, cette "chose" est gravée pour l'éternité, il ne reste plus qu'à la détruire en sautant dessus à pieds joints. On vous l'a dit et répété : protéger ses oreilles est un acte de santé publique !







2003
Vignette Pierre Andrieu

 Critique écrite le 03 novembre 2003 par Pierre Andrieu
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