Accueil Chronique de concert (mon) Rock en Seine 2005, 1/2 : Flying Pooh, The Sunday Drivers, Arcade Fire, Hot hot heat, Queens of the Stone Age, Jurassic 5, Vitalic
Dimanche 17 novembre 2024 : 6584 concerts, 27223 chroniques de concert, 5420 critiques d'album.

Chronique de Concert

(mon) Rock en Seine 2005, 1/2 : Flying Pooh, The Sunday Drivers, Arcade Fire, Hot hot heat, Queens of the Stone Age, Jurassic 5, Vitalic

(mon) Rock en Seine 2005, 1/2 : Flying Pooh, The Sunday Drivers, Arcade Fire, Hot hot heat, Queens of the Stone Age, Jurassic 5, Vitalic en concert

Saint-Cloud, Parc de Saint-Cloud 25 août 2005

Critique écrite le par



C'est avec grand plaisir qu'on se rend pour la deuxième année consécutive à Rock en Seine, le petit dernier des gros festivals, dont la programmation est encore globalement un peu sage (beaucoup de choses déjà vues ailleurs) mais qui a su, comme l'an passé, nous appâter avec quelques pointures et aligner par exemple aujourd'hui, excusez du peu...

Les deux plus chauds groupes de rock actuels (plus un ancien, un peu refroidi)

On n'a pas réellement écouté le groupe pop Athlete car il fallait bien redécouvrir le site, agrandi d'une scène, et la magnifique expo photo-rock de Philippe Levy, qui photographie avec le même talent et la même passion les navrants Bloc Party, les énormes Beastie Boys, les mystérieux Daft Punk et le génial Tricky... très classieux tout ça !

Les français de Flying Pooh ouvrent donc notre bal avec leurs beaux costards noirs et cravates blanches, et leur musique dissonante, délurée et potache (selon la brochure, leur style improbable serait du cartoon core), passant allègrement du rock français pêchu (style Dionysos) au metal le plus outrancier (la fin déclenchera d'ailleurs un pogo furibard). Les chansons Spanking Day et Be fat confirment le côté 'Jackass' d'un projet cependant très convaincant et ludique (on pense même par moments aux expérimentations du génial Mike Patton), affaire à suivre !

On ne suivra par contre pas plus loin The Sunday Drivers, un groupe de sympathiques espagnols qui a fait voeu de rester bloqué dans les années '60 (où pourtant ils n'étaient pas nés), plus particulièrement dans la pop gentillette et comme qui dirait formatée (époque Beach Boys). Même leur tube On my way nous en touche une sans bouger l'autre... mais l'ensemble reste, soyons juste, agréable et reposant à l'oreille.

De toutes façons l'événement interplanétaire (au moins selon Télérama et Rock&Folk) arrive : les canadiens d'Arcade Fire et leur pop-rock étrange, élégiaque et sophistiqué (si recherché qu'il faut du temps pour l'apprécier, d'ailleurs). Quoi qu'il en soit à force de persévérance on a fini par (presque) adorer ce groupe protéïforme, dont le noyau est le duo formé par le grand Win-qu'il-est-vilain Butler et la flamboyante Régine-qui-parle-français Chassagne, entouré d'une section cuivres, strings, rythmique et divers : presque un orchestre sur scène !
Si la voix du bon géant a un je-ne-sais-quoi de bouleversant et vous prend aux tripes, on aime un peu moins celle de la demoiselle (comparée un peu hâtivement à Björk)... mais le duo s'accorde à merveille !
Connaissant mal les titres de ce genre d'album (qui s'écoutent en une fois, ou pas du tout), je suis un peu à la rue pour la playlist : on aura bien sûr droit entre autres aux 4 magnifiques versions de leur thème Neighborhood en commençant par la deuxième (accordéon et voix à la Bowie old school). La version n° 3 (I woke up in Paradise) nous emmène en effet au septième ciel ! D'ailleurs émoustillé par cette musique divine, le ciel décide à cet instant de se mettre définitivement au grand bleu, pour accueillir une chanson d'un premier album dont, damnation, nous n'avions jamais entendu parler ! Neighborhood #1 déferle alors comme une immense vague de Prozac liquide devant un public conquis !
Le slow qui tue, Crown of Love, nous fait regretter l'absence de quelqu'un, jusqu'à sa dernière minute totalement disco et déjantée ! A signaler, outre des temps morts un peu longs entre les chansons, la présence d'un hurluberlu aux percussions, sorte de fou du roi plein de conneries qui nous amusera tout le concert en tabassant un casque, ses collègues et même parfois un instrument, aussi bien sur une chanson calme comme Haïti que sur la pétaradante et fabuleuse Rebellion. Bref leur concert, quoique sacrément trop court, Tabernac', ne sera pas décevant !

Pour se remettre, rien ne vaut un groupe dispensable comme Hot hot Heat, pop-rock catchy à double voix, très tendance mais sur lequel on a absolument rien à dire tellement ses compos sont banales, malgré un nom écrit sans doute à la taille de leur prétentions : très très grand. Ce sera le groupe joker de la journée, celui pendant lequel on trouve avec plaisir le temps de s'asseoir et de se restaurer.

Car c'est pas tout ça, mais il fallait être au top de sa forme pour assister au concert des Queens of the Stone Age dont on sait depuis les dernières Eurocks de quoi ils sont capables ! Accompagné par une charmante, mais plutôt petite personne, on restera cependant ce soir à distance raisonnable de l'inévitable pogo dans lequel nous faillimes mourir de bonheur (et d'écrasement) la dernière fois.
Dès l'entrée sur Big black wolf du groupe, on constatera encore une fois que le grand Josh Homme, ses cheveux roux gominés, ses biscottos et sa moue boudeuse à la Elvis, son déhanchement et ses yeux de chat font un effet certain à la même demoiselle (tandis qu'on retrouve de notre côté avec plaisir la plantureuse joueuse de clavier du groupe).
L'énorme Medication nous chope au colback et on sait bien qu'on ne va plus être lâché, matraqué par les chansons de leur dernier album, impression confirmée par First it giveth ou encore Little Sister ! Les rouquins étant l'incarnation du Malin comme chacun sait, on est guère étonné que Burn The Witch soit la chanson favorite de Josh Homme. Par ailleurs ses assistants, un bassiste à tête de tueur à gages et un batteur baraqué et tatoué à mort (sans même la tête d'oiseau de proie de Mark Lanegan, exclu du groupe) instillent en nous quelque chose qui ressemble à... de la peur !
On aura aussi droit, notamment, à une nouveauté, mais aussi à la fascinante Tangled up in plaith, aux inévitables et stoner-issimes Someone's in the Wolf et Song for the Dead, ou encore au blues toxique de I Never came où la voix précise et posée du chanteur, assez viril pour ne pas craindre les notes aigües, fait des merveilles !
Après la toujours sublime No one Knows on repart de là un poil moins exténué que la dernière fois (la playlist étant moins longue - pas de Everybody knows that you're insane par exemple) mais tout aussi heureux : les QOTSA sont très certainement le meilleur groupe de scène actuel (d'ailleurs mon pote le batteur pètera la gu... à qui osera dire le contraire), et j'ai eu le privilège de les voir deux fois cet été !

Un peu ivre de musique et à nouveau en goguette sur le site, on réalise qu'il y avait ce soir un excellent concert de rap U.S. dont on verra la fin avec plaisir : Jurassic 5, comme les 5 types au flow impeccable à la Public Enemy et sur une base musicale qui nous rappelle Cypress Hill, y'a pas à dire c'est carré, pro, ça déchire, voilà un style où les français ont vraiment du mal à atteindre une telle perfection (et oui, on a aussi vu IAM et NTM en concert) !

Cela dit notre écoute du concert est un peu troublée par l'intense cas de conscience qui nous agite depuis la première lecture du programme : Pixies ou Vitalic ? Peut-on se permettre de rater l'un des plus grands groupes de rock du monde pour aller voir un simple DJ techno-rock, sous prétexte qu'il squatte notre iPod depuis des semaines ?! Peut-on se permettre de rater encore (comme aux Eurocks) le DJ le plus excitant de ce siècle pour aller voir des petits gros sur le retour anonner leurs chansons, bien sûr géniales mais quand même salement défraîchies ?

C'est décidé et tant pis pour eux, même si le coeur se serre un peu en entendant de loin Where is my mind, ils n'avaient qu'à pas nous mentir : l'an dernier c'était la reformation de la dernière chance pour les voir, dont acte, veni vidi vici et p... que c'était bon, mais là ca fait un an qu'ils tournent et ils enregistrent un nouvel album ! Un article du Parisien confirmera que ce concert, joué sans passion excessive, semblait ne servir qu'à relever les compteurs... maybe next time ?

... Ce fut donc Vitalic comme 2 ou 3 centaines de happy few et on n'a pas regretté ce choix ! Au départ il entame son set sur des morceaux qui ne figurent pas sur son génial premier LP Ok Cowboy. Elles n'en sont pas moins entousiasmantes car il y a presque toujours une allusion au rock (riff de guitare et/ou batterie binaire), on pense souvent à Daft Punk (bonne époque) et le public est déjà très chaud quand, après une demi-heure, vient enfin un repère : Newman, ses hurlements torturés et sa basse énorme.
Sans arrêter son mix, une transition nous conduit tout naturellement à l'énormissime La Rock 01, remixée comme pour rendre le public encore plus hystérique, c'est réussi car c'est une vraie tuerie ! Sans plus de retenue, on se met à bondir, comme tous ceux qui nous entourent, une belle bande de kangourous en somme !
Mais Vitalic n'en a pas fini avec nous, le temps de constater (il est enfin éclairé) qu'en plus le salaud est un sacré beau gosse... Et il enchaîne, par la transition d'un morceau électro-tech hallucinant où il torture sa propre voix, et nous voilà livrés à son tubissime My Friend Dario, pas la meilleure sur album mais qui sera ce soir la plus excitante de toutes, et le public (mystérieusement multiplié par 5 en volume, s'emmerderait-on sur la grande scène ?) devient définitivement extatique et hilare !
Il pensait manifestement terminer son set sur la chanson No fun, mais à la demande d'un public qui ne le lâche pas, il se lance dans un rappel sur l'air de Midnight Express qui part hélas en sucette, son ordinateur faisant un caprice. On se contentera donc d'une chanson déjà jouée auparavant, mais très excitante, pour conclure sur ce set largement à la hauteur de nos espérances !

Cette première journée a donc tenu toutes ses promesses, et en plus agrémentées de découvertes agréables. Le Métropolitain très efficace de Paris nous ramène en ville, pour une fin de soirée où nous ne ferons pas long feu...
Pour le deuxième jour du festival, suivez le guide, c'est par ici !

Photo vignette : QOTSA prise aux Eurockéennes 2006.

Rock en Seine : les dernières chroniques concerts

(mon) Rock en Seine 2024, 2-2 : Soyuuz, Dynamite Shakers, Ghinzu, PJ Harvey, Pixies, LCD Soundsystem en concert

(mon) Rock en Seine 2024, 2-2 : Soyuuz, Dynamite Shakers, Ghinzu, PJ Harvey, Pixies, LCD Soundsystem par Philippe
Parc de Saint-Cloud, Saint-Cloud, le 25/08/2024
Contrairement à hier, ce dimanche, il fait résolument beau et donc soif, dès la fin de la matinée ! On a pris le temps d'un apéro et d'une belle balade en ville à Paris avec nos... La suite

(mon) Rock en Seine 2024, 1-2 : Astéréotypie, Sleater-Kinney, The Kills, CVC, The Offspring, (Inhaler), Vox Low, Massive Attack, Polo, Pan & Myd en concert

(mon) Rock en Seine 2024, 1-2 : Astéréotypie, Sleater-Kinney, The Kills, CVC, The Offspring, (Inhaler), Vox Low, Massive Attack, Polo, Pan & Myd par Philippe
Parc de Saint-Cloud, Saint-Cloud, le 24/08/2024
Retour heureux en cette fin d'été à Rock en Seine, où l'on est venu à peu près une fois sur deux depuis sa création en 2003. Le joli site arboré et tout en longueur n'a pas... La suite

Foals, Strokes, Wet Leg, Murder Capital, Gaz Coombes (Rock en Seine 2023) en concert

Foals, Strokes, Wet Leg, Murder Capital, Gaz Coombes (Rock en Seine 2023) par Efix Efix
Parc de Saint Cloud, Paris, le 27/08/2023
Rock en Seine, bilan de ma seule journée.Un Gaz Combes qui a eu un peu de mal à se mettre en marche mais qui a très bien maîtrisé la 2eme partie de son set...Après un début qui se... La suite

The Strokes (Rock en Seine 2023) en concert

The Strokes (Rock en Seine 2023) par lol
Parc de Saint-Cloud, le 27/08/2023
Le point d'orgue annoncé de cette dernière journée de l'édition 2023 de Rock en Seine était sans nul doute le concert de clôture donné par les Strokes. Si la journée avait été... La suite

Arcade Fire : les dernières chroniques concerts

Arcade Fire + Boukman Eksperians (The We Tour 2022) en concert

Arcade Fire + Boukman Eksperians (The We Tour 2022) par Coline Magaud
Arkea Arena, Bordeaux, le 25/09/2022
Dire qu'on a été fan d'Arcade Fire tiendrait de l'euphémisme et c'est ce qui rend cette chronique d'autant plus difficile à écrire, car hier soir, à l'Arkea Arena près de... La suite

Arcade Fire en concert

Arcade Fire par Philippe
Zénith, Lille, le 11/09/2022
Arcade Fire, septembre 2022... Nous nous sommes tant aimés, sur scène et sur album, au soleil et sous la pluie... Nous nous sommes tant revus (au moins 5 fois a priori depuis... La suite

Arcade Fire + Preservation Hall Jazz Band (Infinite Content Tour 2018) en concert

Arcade Fire + Preservation Hall Jazz Band (Infinite Content Tour 2018) par Fred Boyer
Palau Sant Jordi - Barcelone, le 21/04/2018
"Est-ce que ce monde est sérieux?" (un troubadour toulousain de la fin du XXeme siècle) Été 2017, après une absence de quatre ans, le groupe américano-canadien Arcade Fire... La suite

Arcade Fire, Temples, Pixies, Julien Doré, Len Sanders, Le fils du facteur, l'Orchestre Tout puissant Marcel Duchamp XXL (Paléo festival 2017) en concert

Arcade Fire, Temples, Pixies, Julien Doré, Len Sanders, Le fils du facteur, l'Orchestre Tout puissant Marcel Duchamp XXL (Paléo festival 2017) par Lionel Degiovanni
Paléo festival, Nyon, le 19/07/2017
Len Sanders Pour le deuxième jour du Festival Paléo 2017, je démarre les concerts par Len Sanders qui est une jeune suisse. On peut définir sa musique comme de l'électro-pop... La suite

Flying Pooh : les dernières chroniques concerts

Slaïdup+Hounsi+EARL et Urban poizon+Flying Pooh par steackman
Angers, le 21/05/2005
Slaïdup : groupe de métal Hardcore qui a débuté la soirée en mettant la pêche. C'est un groupe pleins d'energie malgré qu'il faisait l'ouverture (pas facile), avec des compos vraiment bien travaillées du genre base métal et des parties Reggae/Hip Hop/Funky.Franchement une grosse claque; ça promet ... Hounsi : Fusion bien pêchue, ça groove pas... La suite

FLYING POOH par Carine
Le Batofar - Paris, le 07/05/2005
Arrivée au Batofar un peu tardive, puisque le premier groupe a déjà entammé les hostilités ... Lazy propose un rock puissant aux accents noise/metal, plutôt pas mal. C'est efficace, bien rentre dedans mais pas emballée plus que ça. Changement de plateau... et voici les tant attendus FLYING POOH ! Les ayant vus pour la dernière fois pour Viva... La suite

FLYING POOH par isa
Le Mars Attack - Angoulème, le 23/04/2005
Arrivée au Mars attack : Gatechien a déjà commencé... C'est un duo basse batterie à la Neurosis ! Attention, de vrai barjots ! Ils chantent du yaourt sur un son des plus rentre dedans ! ça s'crache à la gueule, ça transpire, ça boit d'la bière d'une main et joue d'la basse de l'autre ! J'connaissais pas et franchement, j'ai pas été déçue ! Si ça... La suite

Flying Pooh par Fageon
Tournefeuille, Toulouse, le 13/03/2005
Après avoir vu plusieurs concerts de l'excellent album Viva San-Antonio, j'ai eu l'immense plaisir d'assister au concert de leur nouvel album : Spanking Day (le jour de la fessée...). Au programme très bon son, évolution, puissance, etc. En bref ce fut un très bon concert et je conseille vivement l'achat de Spanking Day qui marque une certaine... La suite

Hot Hot Heat : les dernières chroniques concerts

!!! + Hot hot Heat + Sahara Hotnights + the Dirtbombs (Siren Festival 2003) en concert

!!! + Hot hot Heat + Sahara Hotnights + the Dirtbombs (Siren Festival 2003) par Pirlouiiiit
Coney Island - Brooklyn, le 19/07/2003
Affiche séduisante cette année encore pour la troisième édition de ce Festival gratuit organise par le nom moins gratuit Village Voice. Deux scènes qui accueillent The... La suite

Hot Hot Heat + Tegan & Sara par samuel charon
Boule Noire, Paris, le 21/05/2003
Deux jeunes groupes, ambassadeurs du Canada anglophone, effleuraient pour la première fois les planches d'une salle française et confirmaient que Radical productions, tourneur indépendant angevin, sait dénicher de futures valeurs sûres. Tegan & Sara, troublantes jumelles (seule un piercing permet de les distinguer), distillent une pop... La suite

Hot hot heat + Tegan & Sara par Invisiblefab
La boule noire, Paris, le 21/05/2003
Amis melomanes, enfants du rock, dancers in the dark, bonjour ! Mercredi soir, je suis rentré à Villemorte à 00 H 45. Non pas que la soirée fut interminable voire mémorable, mais le périphérique étant fermé entre Porte Maillot et Porte de Briançon, je me suis un peu égaré... (Je suis sûr que c'est Delanoé qui installe des couloirs de... La suite

Jurassic Five : les dernières chroniques concerts

Slimkid3 + Dj Nu-Mark + FiKus en concert

Slimkid3 + Dj Nu-Mark + FiKus par Sami
Nomad Café, Marseille, le 24/01/2015
Marseille ville hip hop, c'est un cliché qui m'a toujours fait tiquer tant les bons concerts du genre sont somme toute assez rares dans le coin. 2015 commence néanmoins sur les... La suite

Jurassic Five par PMAX
PARIS, Bataclan, le 21/10/2006
Enfin, après 3 ans d'absence, un retour sur la scène européenne tonitruant pour les J5... Un show de presque 90 min, plus qu'intense, une vrai culture hip-hop dignes des origines du mouvement et des légendaires Zulu Nation ou Afrika Bombataa ; ça fait du bien de voir une performance comme celle là. Freedom, respect and Peace ! Et ça change du wesh... La suite

Queens Of The Stone Age : les dernières chroniques concerts

(mon) Hellfest 2024, 3-3 : Sang Froid, Destinity, Pensées Nocturnes, Dool, Scowl, Rendez-Vous, Therapy ?, Frank Carter & the Rattlesnakes, Sierra, Queens of the Stone Age, Offspring, Madball, Rival Sons, Cock Sparrer (+ Conférence de presse QOTSA, Show me the body, Corey Taylor) en concert

(mon) Hellfest 2024, 3-3 : Sang Froid, Destinity, Pensées Nocturnes, Dool, Scowl, Rendez-Vous, Therapy ?, Frank Carter & the Rattlesnakes, Sierra, Queens of the Stone Age, Offspring, Madball, Rival Sons, Cock Sparrer (+ Conférence de presse QOTSA, Show me the body, Corey Taylor) par Philippe
Site du Hellfest, Clisson, le 30/06/2024
Hey ! Mais comme le temps est passé vite, c'est déjà le toujours-difficile-3ième-jour-au-Hellfest ? Sauf qu'il va être plus facile que d'habitude. Déjà parce qu'on a étonnamment... La suite

Queens of the Stone Age en concert

Queens of the Stone Age par Philippe
Bercy, Paris, le 07/11/2023
... "Et moi, je suis Monsieur Homme !" clama alors Joshua en français, hilare et les bras en croix, vers le milieu du concert, dans un Bercy évidemment rempli et fou de joie, à la... La suite

Queens of the Stone Age (Festival Pause Guitare) en concert

Queens of the Stone Age (Festival Pause Guitare) par Philippe
Base de loisirs de Pratgraussals, Albi, le 05/07/2023
Quelque fois dans la vie, vous avez de la chance. Votre groupe fétiche, placé un peu au dessus de tous les autres, un groupe de notoriété mondiale, sait encore se ménager des... La suite

Queens of the Stone Age - At the Drive-in - BCUC - Chronixx - Juliette Armanet (Les Eurockéennes de Belfort 2018) en concert

Queens of the Stone Age - At the Drive-in - BCUC - Chronixx - Juliette Armanet (Les Eurockéennes de Belfort 2018) par Lebonair
Presqu'île du Malsaucy - Belfort, le 07/07/2018
Les Eurockéennes de Belfort, le 7 juillet 2018 BCUC - Chapiteau Greenroom - 17h30 18h30 Pour notre premier concert de la journée, on a choisi le... La suite

Vitalic : les dernières chroniques concerts

Shaka Ponk + Vitalic + Greg Delon (Festival de Nîmes) en concert

Shaka Ponk + Vitalic + Greg Delon (Festival de Nîmes) par Aulie
Arènes de Nîmes , le 22/07/2018
Dimanche 22 juillet 2018, direction le festival des arènes de Nîmes pour la soirée de clôture du festival avec, en tête d'affiche le groupe Shaka Ponk et Vitalic, et en première... La suite

Vitalic, Fritz Kalkebrenner, Julian Jeweil, Patrice Baumel (Festival MMX) en concert

Vitalic, Fritz Kalkebrenner, Julian Jeweil, Patrice Baumel (Festival MMX) par Marcing13
Marseille Mucem, le 16/09/2017
Les festivals Acontraluz et We Are ont décidé de fusionner pour donner naissance à un nouveau festival le Marseille Music Expérience ou MMX sur un créneau laissé libre par... La suite

Vitalic, Meute, I Muvrini, Christophe Maé, Broken Back, Régis, Alan Corbel, Mat Bastard (Paléo Festival 2017) en concert

Vitalic, Meute, I Muvrini, Christophe Maé, Broken Back, Régis, Alan Corbel, Mat Bastard (Paléo Festival 2017) par Lionel Degiovanni
Paléo Festival , Nyon, le 22/07/2017
Meute Pour démarrer l'avant dernier jour du Paléo, place à la fanfare MEUTE qui vient d'Allemagne. Cette fanfare fait de la musique techno hypnotisante car elle fait un... La suite

(mes) Eurockéennes 2017, 1/2 : Thomas Azier, Johnny Mafia, Rei, HMLTD, Killason, Meatbodies, Explosions in the Sky, Dropkick Murphys, Vitalic, Justice en concert

(mes) Eurockéennes 2017, 1/2 : Thomas Azier, Johnny Mafia, Rei, HMLTD, Killason, Meatbodies, Explosions in the Sky, Dropkick Murphys, Vitalic, Justice par Philippe
Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert, le 08/07/2017
Devenir un vieil Eurockéen ? Ce n'est pas être vieux et aller encore au festival, non, c'est juste faire le constat que d'y aller pour la 24 ième p...n d'année d'affilée, donne... La suite