Chronique de Concert
(mon) Download Festival 2016 : Lofofora, Strange Bones, Trivium, New Years Day, Children of Bodom, Sabaton, Rival Sons, Volbeat, Last Train, Megadeth, Rammstein
Arrivée en France du Download Festival, le gros machin metal de Live Nation, donc ? Personne n'est dupe, ce n'est pas de la philanthropie, l'idée est évidemment d'aller empiéter sur les terres des festivals existants dans le coin (Hellfest, Graspop...) et de faire quelques profits en plus en y faisant repasser les artistes déjà programmés au festival anglais du même nom. Si l'on a rien de particulier à reprocher à la qualité des installations et à l'ergonomie du festival, cette approche de type "relevé des compteurs", est quand même largement perceptible ! Bon, on passe sur le gobelet de 48 cl, la nouvelle mesquinerie à la mode, déjà observée à Rock en Seine l'an dernier. Mais le site web par exemple ? Dans un vrai festival, après coup, on vous remercie, on publie des photos, de la presse, de la vidéo. Ici, rien puisqu'il ne s'agissait que d'une billetterie et qu'il n'y avait déjà aucun vrai contenu préalable... Et que comme il y a eu 30 % de fréquentation de moins que prévu (oui, même avec 100 000 personnes !), il n'est pas du tout sûr que le festival ait de nouveau lieu sous cette forme !
Encore plus pénible, l'acheminement au site, impossible en voiture, très loin et malaisé en modes actifs (un cheminement piéton ? des garages à vélo ? ohééé ?), possible uniquement par navettes de bus donc : correct en voyage aller car le public se répartit sur l'après-midi, il sera totalement débordé à la fin des concerts, avec des itinéraires incompréhensibles, aucun personnel qualifié pour encadrer des files déjà mal barriérées, des bus non identifiables (on le sait, on a pris le mauvais et ça a failli nous coûter une bonne heure de marche nocturne dans Paris !), de pauvres bénévoles débordé.e.s par des milliers de festivaliers excédés : la chienlit à l'état pur, Nicolas, et un chaos bien plus grand qu'aucun syndicat en grève n'aurait pu te le générer ! On épargnera seulement à Live Nation le reproche d'une météo de type... breton... en ce dimanche 12 juin 2016 - ça ce n'est pas leur faute et au moins, ça nous a rappelé en version light, notre visite au festival le plus boueux de tous les temps... Bref, assez parlé logistique, parlons musique !
On prend donc pied sur le site (encore assez ferme sous la semelle) au son de Lofofora, ces bons vieux briscards du metal français, en tournée depuis bien 20 ans et donc déjà souvent croisés ici et là. Emmenés par l'infatigable et toujours attachant Reuno et ses culottes courtes, lui qui s'autodéfinit comme un ado attardé dans la chouette chanson pogogène qui concluera leur concert ! Ce serait mentir que d'affirmer qu'ils nous ont envoyé au ciel (qui lui nous tombait un peu dessus), mais ils ont quand même du bon texte (généralement audible !), type Le Fond et la Forme, et du bon riff en réserve. Des gens qui affichent un beau drapeau Sea Shepherd et pensent à chier sur la Défense située juste en face du site de Longchamp, sont forcément des types bien ! On s'autorise quand même un peu de dissipation pendant leur set, curieux du public de ce nouveau festival : il se trouve qu'il est typé metalleux à environ 50 %, pas davantage, évidemment très masculin (et comme déjà souvent observé, la rare fille metalleuse est souvent au bras... d'une autre fille metalleuse). Le set des Lofo-boys se finira par un tonitruant "Marine, on t'encule !" du plus bel effet, statement qui résume au fond (après la Défense et Sea Shepherd) en 21 signes (mieux que Twitter), le dernier tiers de notre pensée politique !
Notre dissipation lors de ce concert nous a par ailleurs permis de visiter quelques installations, comme le Metal Market (assez classique), un assez bon choix de bouffes variées (pas donnée évidemment), mais aussi la "petite scène" (une belle jauge quand même, et couverte !), où se produisaient les Strange Bones. Soit un trio vociférant un punk-rock sauvage (et metalloïde, pour faire le lien). Leurs hymnes, référencés, sont quand même assez efficaces, ils ont de belles gueules et tatouages, des attitudes parfaites, la musique est maîtrisée même si le chant - mais c'est le style qui veut ça non ? - l'est nettement moins... Sympas en tout cas pour passer un quart d'heure et plus originaux que plusieurs autres formations qu'on va voir cet après-midi. Leur set s'arrête plus tôt que prévu d'où son insertion possible dans celui de Lofofora : un créneau bien rempli donc que ce 15h-16h, où il a fait beau et plu deux fois !
Bon, c'est pas tout ça mais avant les cadors de fin de soirée, il y a quelques groupes à passer, comme ces Trivium : joli décor pas kitsch du tout du tout, bons instrumentistes, chanteur sympathique qui anime joyeusement son balloche metal en organisant tour à tour mosh pits et autre levers de doigts ("Let's fucking explode !")... Mais rien n'y fait, les pauvres n'ont pas de chansons et il faut bien avouer qu'on s'emmerde gentiment pendant leur set, en machouillant un sandwich au boeuf argentin, cher et sans intérêt. Heureusement, leurs meilleurs titres sont vers la fin, un peu plus hardcore, déclenchant donc les plus belles cavalcades dans le public. Quand même très anecdotiques au final....
Jouant sur un autre tableau, les New Year's Day sont plus marrants à voir : ils misent beaucoup sur leurs maquillages (gothico-zombie) et sur leur petite chanteuse, pétaradante petite chose bicolore en rouge et noir. Leurs 5 chevelures identiquement noir pétrole (sauf celle de la fille, qui est à moitié rouge donc) headbanguent en cadence, rien à dire, c'est efficace rythmiquement (et c'est ouch, très fort !) mais là non plus, pas de chansons marquantes sur la période où nous les avons écoutés ! Dans un style esthétiquement proche, on se souvient d'avoir été nettement plus saisi par les Eths, par exemple, et leur chanteuse au ton nettement plus castrateur que celle-ci qui, malgré leur looks de goules, semble avoir besoin d'amour et relance un peu trop souvent le public. Ce death metal couplé avec un chant presque pop reste quand même tout à fait supportable en live, on aperçoit d'ailleurs des mômes floqués Rammstein, inspirés par le son sans doute, qui tabassent leur pauvre père...
On pensait sentir passer également le concert de Children of Bodom : avec un nom pareil, on pouvait craindre qu'ils ne soient pas là pour rigoler, surtout qu'eux aussi cochent toutes les cases cliché : cheveux longs de rigueur, guitares Flying V à toutes les sauces, bannière géante (quoique plus cryptique : "COBHC", wtf ?), un style assez old-school et pas du tout révolutionnaire. Et certes, I Worship Chaos n'est pas exactement la danse des canards, leur chanteur (très belle raie au milieu !) n'est pas un fou-rire, mais ce groupe-là a le petit plus qui a fait défaut aux précédents : des riffs qui marquent, des vraies mélodies (on a rien contre un orgue en metal, quand il est bien employé), un chant hurlé assez impressionnant, un batteur branché sur haute tension : une belle fusion thrash-mélodique en somme ! Et cette fois, on est embarqué ! C'est peut-être une impression, mais le reste du public aussi nous semble plus dans le coup qu'aux concerts précédents. Au final, le chanteur (pas si méchant qu'il en avait l'air) et son bassiste (baragouinant un peu de français) récoltent une belle ovation : leur créneau 17.00-18.00 est passé comme une lettre à la poste et se finit ... par le déluge officiel de l'après-midi.
Car là ce n'est plus de la drache ou du crachin, notre petit parapluie est notre nouveau meilleur ami ! On constate que le Parisien (tout comme le Marseillais), peut être assez bête pour se pointer sans rien d'imperméable à porter, alors que la météo était sans ambiguité pour toute la journée... Après cette grosse averse, le site entier est évidemment descendu de 3 centimètres dans la boue, en mode Glastonbury : fini les galopades, ça commence à glisser/coller sérieusement sous les pompes ! Et pour ne rien arranger, c'est l'heure de Sabaton, à qui on décernera une brassée de trophées : le look le plus ridicule (ces pantalons treillis, ce tricot à plaques de metal), le logo le plus mégalo, les chansons les plus nazes (metal folklorique ?), ces suédois sont vraiment très, très lourds, Spinal Tap n'est pas loin ! On s'attend presque à voir surgir des nains avec des flutes sur scène... Involontairement (ou volontairement peut-être, qui sait ?) comiques, du coup ils sont quand même distrayants à regarder (...des gens qui rendent hommage aux Scorpions ont forcément de l'humour, non ?). Un spectateur a opportunément gonflé un zizi géant, qu'il leur brandit avec fierté. On se prendra quand même un bon shoot (de chocolat pur) pour atteindre enfin 19 heures...
Soit l'heure du meilleur concert de la journée - et il ne faudra que 30 secondes pour le savoir : celui des Rival Sons ! Certains signes avant-coureurs nous ont prévenu : un dernier disque excellent (et amplement visité ici), une entrée (assez flippée manifestement) sur du Ennio Morricone, la présence à la basse d'un sosie parfait du regretté Philip Seymour Hoffman, et même un guitariste moustachu en costume verre bouteille (ça c'est chic !) : on les sent comme habités de la mission de sauver le heavy rock old-school (dont ils sont les seuls représentants ici). Leur concert commence, comme le disque, par la fumante Electric Man qui donne le ton : un son délicieusement organique, du riff fuzz en béton, une frappe de mule, un orgue sensuel, des attitudes de poseurs absolus, au micro une voix sexy à damner un saint, ces types donnent une bonne idée de ce qu'a du être Led Zeppelin dans sa folle jeunesse !
Les soli brefs et saignants font presque toujours la bonne durée, le chanteur se tortille dans son cuir comme un Jim Morrison des temps modernes, hulule magniquement (quelle organe, nom de dieu !), leur Secret sonne donc chaud, sale et humide. Ils ont finalement un tout nouvel album à défendre (aussi jouissif que le précédent a priori), et sont assez en confiance pour risquer un long et splendide slow, Where I've Been, dont les miaulements déchirants font saigner nos coeurs de brutes épaisses... Avant d'enchaîner sur Torture, le titre le plus diaboliquement groovy qu'on ait entendu depuis environ 400 ans en live ! Malheureusement la texture du sol nous dissuade de nous rouler par terre, même sur une Open My Eyes également surpuissante ! Leur concert se termine sous les hourras, dans un déluge de fuzz (et de flotte, eh oui, encore). On entend pas mal d'avis enthousiastes sur le groupe, que beaucoup de gens viennent juste de découvrir - tant mieux pour eux !
On arrive donc tout guillerets (et à nouveau un peu trempés) à Volbeat, un bon groupe d'entertainers danois de division 2, déjà vu aux Eurockéennes. Bon, ne soyons pas méchants... on avait déjà constaté que leurs titres de rock'n'roll pur, joués avec un son metal (leurs titres Motörhead-like donc) sont excellents : ce sont les meilleurs passage de leur show ! Mais le reste est du metal pop sans grand intérêt et parfois même à la limite de l'embarrassant. Ce qui se passe de plus intéressant pendant le concert sera donc finalement une magnifique éclaircie, complétée d'un arc-en-ciel du plus bel effet. Comme il n'y a à chaque fois qu'un seul concert sur la grande scène et rien ailleurs, il faudra bien patienter jusqu'à la fin de ce groupe, quand même un peu inconsistant à la longue.
Par politesse et par curiosité, on passe ensuite revoir les très jeunes gens de Last Train, groupe alsacien de rock sombre, aperçus à Rock en Seine en 2015 et très prometteurs (mais largement égarés dans la programmation d'aujourd'hui !). Eux arrivent sur du post-Morricone, avec un titre de l'album Rome, la classe ! Mais entre les milliers de gens qui se massent déjà pour approcher Till Lindemann, et ceux qui sont allés à l'autre bout du site voir Dave Mustaine, ils n'ont pas une grande foule à disposition. Qu'à cela ne tienne, ils remercient et donnent quand même tout ce qu'ils ont, en vrais jeunes professionnels. Et l'on se promet d'écouter leur premier disque LP... dès qu'il le sortiont ! Leur complainte sonique Jane, lente et intense, nous a en tout cas fait forte impression. Et c'est alourdi de mauvaise consicence (mais quel mauvais timing, aussi !) qu'on les quitte, attirés à l'autre bout du site. M'enfin, on se reverra sans aucun doute !
Hé, mais c'est qu'on est quand même venus aussi (un peu) pour ces bon vieux muppets de Megadeth, pas revus depuis le concert über-boueux déjà cité en introduction ! Eux par contre, n'ont plus rien à prouver, et déroulent sans états d'âme un set en forme de best-of, avec un son malheureusement un peu écrasé par une batterie omniprésente (d'autant plus que le batteur de Megadeth a au moins 4 ou 5 pieds, il faut le savoir). Dave Mustaine n'est toujours pas devenu, ni le plus beau ni le plus sympathique des vieux rockers, mais enfin il envoie la purée et ses titres les plus mythiques font évidemment mouche (mention spéciale aux plus théatraux d'entre eux) : Sweating Bullets, Peace Sells. Le tout-venant étant resté à attendre Rammstein, il ne fait pas le plein mais a au moins l'avantage de jouer devant un vrai public de fans, qui connaît toutes les chansons par coeur. Il a quand même l'air de faire la gueule.
A Tout le Monde, à tous mes amis..., inénarrable, drôle autant que presque émouvante, nous fait penser avec regret à tous les bons amis metalleux et crétins avec qui on aurait pu rendre cette journée encore plus fun... Il y a aussi quelques passages inévitables où le groupe tente de vendre son énième album, passages que l'on laisse passer dans l'attente, non récompensée hélas, de Angry Again (mais putain les gars, c'est une de vos trois meilleures chansons !), et des heureusement inéluctables Symphony of Destruction et Holy Wars... pour conclure. Le groupe a beau finir bien et propre, on sent qu'à l'autre bout du site, un puissant aimant s'est mis en marche (on a lutté tout le dernier tiers du concert pour ne pas y céder !), et qu'il nous faudra beaucoup de volonté, une grosse envie de bière (et un peu la peur de se rétamer comme une crotte dans la boue désormais omniprésente, aussi...) pour ne pas nous ruer en courant vers le Main Stage, une dernière fois...
C'est que là-bas a déjà commencé, enfin, enfin, Rammstein ! A qui l'on doit l'un des meilleurs concerts de notre vie et sans aucun doute, le plus impressionnant : celui de Nîmes en 2005 ! Et que après Ramm 4, l'introduction de Reise, Reise fait déjà frissonner de joie 30 000 personnes solidement tanquées les deux pieds dans la merde, entre eux et nous... Avouons que sans leur présence, on aurait sans doute pas traversé la France. Eux non plus n'ont pas réellement sorti de grands tubes depuis 15 ans (Amerika ? bof !) et leur album-matrice, celui qui contient les 2/3 de leurs meilleurs chansons : Mutter ! A signaler quand même quelques "nouveautés" pas déplaisantes : Zerstören, Ich tu dir weh et une Frühling in Paris apparemment très rarement jouée (une voisine a failli s'évanouir de joie).
On s'amusera selon les titres, à mesurer que ce groupe a déjà deux générations de fans distincts : ceux qui les ont découvert dans le cauchemardesque Lost Highway en 1997 (nous les vioques, donc) et les plus jeunes, plutôt par Youtube, et qui vibrent presque davantage sur les morceaux le plus récents... Ici aussi ça va donc être un concert en mode best-of, mais on leur sait gré de laisser de côté leurs derniers titres parus, se débattant souvent sous la ceinture, aux titres distingués façon Te Quiero, Puta !, et ceux où il est question de mettre "meine Bratwurst in deiner Sauerkraut"... S'il faut exprimer un petit regret sur ce concert (peut-être parce qu'on est en configuration festival ?) c'est que la scénographie, leurs maquillages, et pyrotechnie (leur marque de fabrique) sont rigoureusement les mêmes qu'il y a 11 ans, non, en fait, il y en a même un peu moins !
Mais après cette petite réserve (ils sont quand même très beaux et ça vous chauffe quand même bien les oreilles quand ça pète tout ensemble !), et une fois qu'on a réussi à s'approcher à moins de 50 mètres, il n'y a plus qu'à se rendre, devant une liste de tubes totalement imparables et invariablement jouissifs ! Keine Lust, Du riechst so gut (oui enfin che grois que che sens un peu le chien mouillé quand même), Mein Herz Brennt (là c'est moi qui ai failli tomber dans les pommes de joie), Links 2,3,4 et la géniale Ich Will, sadiquement enchaînées avec Du Hast (soit le climax du concert évidemment !) Et encore leur version de Stripped, et les merveilleusement jouissives Engel et Sonne, au rappel ! "Ach, Paris, fous êtes zingroyables !"... Ils nous saluent élégamment à genoux, à la fin d'un set totalement parfait, qu'ils avaient commencé en saluant la mémoire des martyres des attentats. Rammstein, grande classe, wunderbar !
Comme déjà précisé, cette journée vraiment copieuse, chargée de très bons concerts (et presque autant d'assez mauvais... mais seulement presque !), se finit donc par une évacuation de 30 000 personnes dans le calme, mais relativement catastrophiquement organisée par ailleurs ! C'est que de la dernière note du concert jusqu'au moment où on a pu enfin s'écrouler sur un lit, il aura fallu pas moins de deux heures, pas mal de marche et une séquence presque surréaliste de course effrénée, à plusieurs dizaines de festivaliers, dans la station Charle de Gaulle Etoile pour attraper le dernier métro et ne pas se retrouver en pleine pampa à l'autre bout de Paris... Donc, si on revient un jour ici, ce sera à vélo ou rien !
Critique écrite le 14 juin 2016 par Philippe
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> Réponse le 23 juin 2016, par Jenny
Nous aussi on est venus que le dimanche pour Rammstein. Assez d'accord avec votre chronique ! Grosse rigolade à Sabaton et grand pied à Rammmstein que je rêvais de voir depuis des années. entre le kitch ridicule et le kitch grandiose il n'y a qu'un pas. Rival sons je n'ai vu que la fin et ça m'a bien plus, bien plus fun que beaucoup d'autres ! Et fuck la pluie en juin ! enfin ceci dit mon copain s'est étalé dans la boue et j'ai bien rigolé ^^ en parlant de décoration le hellfest est quand même nettement plus beau mais comme vous le dites, livenation est d'abord là pour faire de la thune ! on reviendra quand même si la prog est aussi bien une autre fois. Réagir
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55 000 pass 3 jours pour le Hellfest 2019 écoulés en 2 heures ! Ce n'est pas rien, d'autant que la majeure partie de la programmation était inconnue au moment du fait. C'est... La suite
SABATON + ACCEPT + TWILIGHT FORCE par Abigail Darktrisha
Bikini, Ramonville, le 18/01/2017
Alors que le plateau germanico-suédois fait débat sur la présence du légendaire groupe de heavy Accept en ouverture du plus récent Sabaton, c'est par le froid polaire qui touche... La suite
Sabaton + Alestorm + Bloodbound par Abigail Darktrisha
Le Rocher de Palmer, Cenon, le 23/02/2016
De retour au Rocher de Palmer dans ce mois à l'actualité très chargée niveau concerts métal pour la région Bordelaise (Machine Head, Ghost, Sabaton, Symphony X... ), une file... La suite
Sabaton + Bloodbound + Alestorm par Meli
L'Espace Julien- Marseille, le 22/02/2016
Le lundi est la journée la plus " merdique " : le week-end vient de se terminer et une longue semaine de labeur nous attend. Bref, c'est la déprime !!! Quoi de mieux qu'un bon... La suite
Strange Bones : les dernières chroniques concerts
Strange Bones (God Save Clermont 2019) par Pierre Andrieu
La Coopérative de mai, Clermont-Ferrand, le 06/04/2019
Monumentale fessée déculottée administrée par les Anglais de Strange Bones pour le final du festival God Save Clermont à La Coopé ! Même si leurs clips permettaient de prévoir... La suite
Trivium : les dernières chroniques concerts
Shvpes, SikTh, Trivium par Sodis Xiii
Espace Julien Marseille, le 16/03/2017
A la sortie d'un début d'année assez pauvre en concert à Marseille à mon goût, avec en plus, et je viens de l'apprendre, le changement de propriétaire du Korigan, dernier bastion... La suite
Hellfest 2014 (1/3) : Slayer, Iron Maiden, Sepultura, Trivium, Therapy ?, M.O.D, Loudblast, Satan, Showtime par Gandalf
Clisson, France, le 20/06/2014
"On the road again after all these years ! Eh oui, après 10 années de Festivals intenses, suivies de 4 ans de diète, me voici de retour dans ce qui est devenu l'un des plus gros... La suite
Machine Head + Trivium + Dragonforce + Arch Enemy par Gandalf
Elysée Montmartre à Paris, le 29/11/2007
Une bien jolie affiche qui nous est proposée deux soirs d'affiliée sur Paris en cette fin novembre. Malheureusement en pleine semaine. Je me bouge malgré tout exceptionnellement pour le jeudi soir à l'Elysée Montmartre, car revoir Machine Head en petite salle après le concert atomique du Wacken 2005, c'est déjà tout bénèf, mais en plus découvrir... La suite
Trivium par ?
Strasbourg La Laiterie, le 03/06/2007
Meilleur concert de ma vie, avec deux prmière partie de choix : Sanctity et Annihilator.
Comme c'était le dernier concert d'une tournée mondiale et que c'est la première fois qu'ils vont prendre des vacances depuis 3 ans, ils ont donner tous ce qu'ils avaient avec une qualité de concert exceptionnelle avec les membres des premières parties... La suite
Volbeat : les dernières chroniques concerts
Hellfest 2016 1er jour (Rammstein, Nashville Pussy, Le Bal des Enragés, Halestorm, Mass Hysteria, Anthrax, Turbonegro, Bullet For My Valentine, Hatebreed, Volbeat, Dropkick Murphys) par Abigail Darktrisha
Clisson , le 17/06/2016
Après l'anniversaire pour les 10 ans du festival l'an dernier, c'est donc toujours avec autant d'ardeur que s'ouvrira cette deuxième décennie musicale en ce mois de juin... La suite
Volbeat + Rammstein (Download festival France 2016) par Lebonair
Hippodrome de Longchamp, Paris, le 12/06/2016
Volbeat
On vient à peine d'apprécier la magnifique prestation de Rival Sons sur la Stage 2 qu'il va falloir traverser l'hippodrome dans toute sa longueur afin... La suite
(mes) Eurockéennes 2014, 2/2 : Uncle Acid & the DeadBeats, DakhaBrakha, Biffy Clyro, Volbeat, Goat, A Tribe Called Red, Robert Plant & the Sensational Space Shifters, Ghost, The Black Keys par Philippe
Presqu'île du Malsaucy, Evette Salbert, le 06/07/2014
Le samedi, c'est par là !
Mauvaise nouvelle pour commencer : on a pas assez trainé au barbecue du dimanche pour rater comme prévu les abominables chevelus d'Uncle acid & The... La suite
Volbeat + Iced Earth par Stephan75
Le Bataclan, Paris, le 25/10/2013
J'avoue que c'est vraiment excité que je rejoins le Bataclan ce soir, et au vu de la file d'attente je ne suis pas le seul. Il faut dire que l'affiche propose du lourd, du très... La suite
Hippodrome de Longchamp, Paris : les dernières chroniques concerts
Pearl Jam (Festival Lollapalooza Paris 2022) par lebonair
Hippodrome de Longchamp, Paris, le 17/07/2022
Ce dimanche 17 juillet 2022 à 21h30, un miracle a eu lieu à Paris car on n'y croyait vraiment plus. On parle évidemment de Pearl Jam, qui a enfin joué en France, eux qui nous... La suite
The Rolling Stones (Sixty Tour Europe 2022) par Electric Eye
Hippodrome de Longchamp, Paris, le 23/07/2022
Il faut s'y faire : c'est la fin pour les Rolling Stones. On aimerait bien en reprendre pour soixante ans, mais comme le décès de Charlie Watts l'an dernier nous l'a... La suite
Pearl Jam, Maneskin (Lollapalooza Paris 2022) par JM
Hippodrome de Longchamp, Paris, le 17/07/2022
Bon, il est clair que sans Pearl Jam, jamais je n'aurais mis les pieds au festival Lollapalloza Paris. En dehors du groupe emmené par Eddie Vedder et de Maneskin je ne... La suite
Perry Farrells Kind Heaven Orchestra, The Strokes, Ben Harper, Cosmopaark, Jain, IAM, Roméo Elvis, Orelsan, Nekfeu, Twenty One Pilots, Migos... (Lollapalooza Paris 2019) par Samuel C
Hippodrome de Longchamp - Paris, le 21/07/2019
Les couronnes de fleurs sont parfaitement ajustées sur les têtes et le maquillage délicatement posé sur des visages heureux, les sourires sont éclatants et les t-shirts très... La suite