Avis et critique du concert de (ma) Rue du Rock #4 (Festival Phocea Rocks) : Catherine Vincent, la Krorale, Lady Flint, Kaao, Kim Jong Hun, Canine, Mr Vertigo, No Exit Only, Jack Face, Swan Ink, 25, Laydown, The H.O.S.T. le 17 septembre 2016, Rue Consolat, Marseille, par Philippe

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Chronique de Concert

(ma) Rue du Rock #4 (Festival Phocea Rocks) : Catherine Vincent, la Krorale, Lady Flint, Kaao, Kim Jong Hun, Canine, Mr Vertigo, No Exit Only, Jack Face, Swan Ink, 25, Laydown, The H.O.S.T.

Rue Consolat, Marseille 17 septembre 2016

Critique écrite le 19 septembre 2016 par Philippe

Hail hail, Rock'n'roll ! Une merveilleuse après-midi en rock à la rue Consolat ! Encore une Rue du Rock, c'est déjà l'édition #4 ! Et ce pour la troisième année depuis que la Ville de Marseille a officiellement oublié le sens du mot Culture, le 31.12.2013 au soir ! En parlant de la Ville, un mot sur une nouvelle contrainte imposée pour cette édition : bloquer chacun des cinq accès avec un véhicule (pas simple, mais on imagine bien pourquoi, et faut avouer que ça tranquillise pas mal les bénévoles au final !...). Mais aussi, vider la rue Consolat, de Libération jusqu'à Bernex, de toutes ses voitures !

Et ça c'est un sacré challenge, quand on connaît la propension des Marseillais.es à ne pas lire les panneaux ou à s'en foutre : Phocea Rocks a affiché les arrêtés municipaux, les a traduit en français courant écrit gros, a tracté les voitures et les portes, et averti sans relâche toute la semaine ! Bref, la fourrière municipale a bien tourné le samedi matin, devant des organisateurs bien désolés, mais qui avaient fait tout leur possible pour l'éviter, avant... En tout cas l'après-midi, force est de constater qu'une rue sans voitures se prête mille fois mieux à une déambulation agréable et plus encore, à l'écoute de concerts joués en plein air !

Pour ma part, après avoir eu mon niston dans les bras pendant les trois premières éditions, je suis cette fois-ci là en tant que "vrai" bénévole. Et donc utilisé à faire les mille petites choses qui font que, dans le meilleur des cas, le public comme les artistes trouve que tout est super smooth, sécurisé, souriant et efficace, qu'on tend au curieux un programme des 22 (VINGT DEUX, non de Zeus !) groupes du jour, avant même qu'il en ait ressenti le manque... Avec quelques merdouilles sans méchanceté à gérer, mais surtout beaucoup de fun et pour une fois, un vrai sentiment d'être utile...

Et en contre-partie, beaucoup de concerts où je n'ai pu assister que 5 minutes - les textes seront donc proportionnels à la longueur de mon passage et comme toujours dans ces cas-là, d'autant plus inexacts ou incomplets, mille excuses ! Idéalement une réaction ou même une autre chronique, devrait pouvoir compléter largement ce qui sera ici juste des impressions de concert, bien plus que des chroniques...

Catherine Vincent by Pirlouiiiit 17092016

Après un rapide passage au catering (assuré comme des bêtes par les gens de la Casa Consolat), on m'a confié comme l'an dernier une lourde tâche : assurer la fonction de videur pour le seul concert de la journée où il faut faire barrage à l'entrée ! Celui des minuscules donc, au Théatre de la Ferronerie : entrée interdite aux plus de 1,20m... Car comme pour Rit l'an passé, la salle va rapidement se peupler au point de devoir exfiltrer gentiment les parents pas indispensables !

Cette fois-ci c'est Catherine Vincent, bien connue de nos services, qui vient s'y coller, conter Malmousque et le reste avec son groupe, et c'est comme toujours un beau succès puisqu'à mon comptage une bonne cinquantaine d'enfants a assisté (ou est passée) à ce spectacle, et que le niveau d'attention dans la salle semblait excellent ! Curieusement les papas et mamans ainsi refoulés n'en ont pourtant pas tous profité pour aller boire un godet à la buvette voisine...

Bonne idée ensuite, et comme l'an passé, un enchaînement en douceur avec une chorale déambulatoire dehors. Ce coup-ci c'est La Krorale, une chorale rock'n'roll mixte avec chorégraphies intégrées, qui se taille un beau petit succès en rameutant tout ce qui flâne dans la rue hélas pas encore très, très peuplée (eh oh ! c'est samedi et c'est l'heure du pénéquet, aussi !). J'avoue une petite préférence pour celle de 2015 (plus orientée cabaret), mais ils ont très bien fait le job, la preuve étant que de source sûre de moins de 1,20 mètres (qui a tout écouté et dansé, ne s'interrompant que pour se battre un petit peu avec un ami), "c'était trop bien leur concert de la krokrale, papa" !

Encore meilleure idée ensuite, ne pas enchaîner directement avec du death metal en plein air ! L'an dernier des organisateurs ont vu des parents fuir, horrifiés, avec leur progéniture, à 15 h 30 ! On enchaîne donc en relative douceur avec Lady Flint, duo rock pêchu at au son costaud mais calé à l'intérieur de la Meson (il faudra d'ailleurs en fermer les portes), et les plus calmes Kaao juste à côté dehors, rock un peu psychédélique avec joli violoncelle, devant le Garage de Thomas.

Pas brutal du tout et donc kid-compatible ! Tout l'après-midi, il va d'ailleurs y avoir une amusante compète entre les numéros 52 et 54, un coup ce sera la Meson qui dépote trop, un coup le Garage... Pas bien grave ! Quoi qu'il en soit on constate que chez les parents le casque anti-bruit pour tout-petits s'est pas mal répandu et en plus, cette fois, on a des bouchons d'oreille à distribuer.

A propos de performances bruyantes, j'évacue tout de suite (et avec regret) la question des 2 groupes qui se sont produits rue Chevillon : malgré leur excellent emplacement (acoustique d'enfer !), qu'on va réutiliser sans fautes, j'étais chaque fois "de barrière" aussi bien pendant les étranges Da Leada (qui à l'oreille m'ont paru arythmiques et amélodiques, donc intéressants !) que plus tard ...

... pour la consécration de x25x qui semble avoir fait notamment grimper des punks joliment crêtés aux murs et aux fenêtres de joie (Photo by Melissa Chanteau, merci !), avec leur putain de son furibard... Je n'ai pas eu le temps de m'approcher pour voir les musicos, ni pour l'un ni pour l'autre, d'autant qu'à chaque fois un joli moulon les avait cernés ! Help me !

"Pendant ce temps" (ça on pourrait le mettre partout dans la chronique, avec cette année régulièrement 3 propositions à la même heure malgré leurs très légers décalages !), avec leur équipement de facture manifestement nord-coréenne, les problèmes techniques pleuvent sur le pauvre Stéphane S. qui emmène le groupe Kim Jong Hun au PIM : micro qui se casse la gueule, corde pétée...

Qui viennent s'ajouter à quelques petits problèmes de calage (démarrer deux chansons différentes en même temps, ce genre). Mais qu'à cela ne tienne, leur rock est pétaradant, punchy, ça sonne et évidemment les problèmes sont toujours marrants à regarder. Prestation prometteuse d'un groupe à revoir, donc !

J'arriverai également à gratter quelques minutes de Run Run Run, le couple rock'n'roll à beatbox formé par deux ex-Ich Bin Dead (... dit-il pour ne pas mettre deux prénoms sur eux, et pas sur les autres groupes qu'il connaît moins bien...). Autant le Mounguy est un bar franchement accueillant, autant sa forme fait qu'au delà de 20 personnes devant la scène (qui est située... plus bas !) on ne peut hélas plus y voir grand-chose...

Concert très sympa en tout cas, qui a rameuté tous leurs collègues (peu ou prou la bande du Lollipop Music Store, quoi) : dans ce réduit et acculés contrte le matos d'autres groupes à suivre, le guitariste trouve quand même la place de tournoyer sur lui-même et la chanteuse, celle d'onduler sur sa base et de lever les bras. C'est classique mais ça groove et ça fonctionne super bien en live !

Entre temps et vers 17 heures, la Rue du Rock commence à bien se remplir (si j'en crois une photo que j'ai prise de la Casa Consolat, bar et cabinets pris d'assaut... au moins jusqu'à 21 heures !). Un concert un peu caché (raffut dehors, donc Meson fermée à double tour) n'attire pas tout à fait autant de gens qu'il l'aurait mérité, celui de Mr Vertigo !

Déjà passé à la rue du Rock et qui a judicieusement choisi de revenir avec tout un groupe autour de lui. Ses compositions bukowskiennes, chantées d'une voix mélodieuse mais plutôt douce, s'accommodent magnifiquement d'un accompagnement gracieux (dont ici encore, un violoncelle !), et mal de la porte qui s'ouvre hélas tout le temps. Je n'ai pas pu rester longtemps mais j'ai apprécié cet oasis de tranquillité et de grâce. A revoir en salle insonorisée !

Et donc, le raffut dehors ? Boah, après vérification, c'était trois fois rien en fait : juste 200 ou 300 personnes massées en mode moulon/bouchon, en transe et vociférant de jolie autour de Canine, un combo supersonique de rock hardcore qui déchirait tout, une sorte de révélation pour Phocea Rocks qui a eu un vrai coup de coeur, tout comme pour Moon Rà l'an passé.

Ici un son d'enfer, incisif (oui je sais, mais j'ai pas fait exprès) et puissant, des compos originales, c'est une vraie morsure cuisante aux fesses... et un vrai déchirement (aÏe) puisque je n'en vois que 2,5 chansons... Décidément le carnet de bal se remplit à vue d'oeil à la Rue du Rock, de concerts à revoir sans fautes dans l'année qui arrive ! Et au final c'est bien le but, que de pousser le public à retourner en salle approfondir les choses...

Plus haut et bien moins vénère (encore qu'avec le sinistre Vénère la Combine à la basse), voici le nouveau (a priori) No Exit Only qui comporte plusieurs visages familiers ! On les connait dans d'autres groupes allant du rock garage 60's au punqueroque le plus contondant, c'est donc amusant de les voir dans un style un peu à mi-chemin : une certaine idée du pop-rock sympa et efficace, du genre qu'on peut laisser écouter aux enfants sans protection.

C'est d'ailleurs là que je retrouverai le mien, de retour avec sa maman pour un deuxième passage aujourd'hui à la rue Consolat. A ce propos, je ne sais pas pour les autres, mais nous on a croisé 2 autres mômes de sa classe avec leurs parents, et sa maîtresse d'école en personne ! De là à penser qu'il y avait toutes les maternelles de la ville de représentées ici, il n'y a qu'un pas !

S'en suit, pour moi, un long moment à la barrière Rue des Abeilles... Mais sans regret ! On papote avec les autres, les nombreux collègues qui passent, on distribue des programmes, on vend des badges aux tout-petits comme aux plus grands, on s'amuse de voir passer, apoplectique, Pirlouiiiit qui tente de photographier les 22 concerts... Et de voir, enfin détendue, la Troïka dirigeante de Phocea Rocks, Nos Bienaimés Leaders Immarcescibles, qui goûtent un succès bien mérité (...notre Flamboyant Inspirateur Originel étant déjà rentré se reposer).

Avec l'énergie qu'ils y ont mis avant, on a pas le coeur à leur faire garder une barrière, à Stefan, Vincent et Jord ! Du coup pour ne pas abandonner le poste, on emmène se dévergonder un autre bénévole, anglo-saxon d'origine, horrifié à l'idée de faire un petit pipi pourtant bien innocent contre un conteneur à côté... Pratique qui vaudrait arrestation, paraît-il, dans son Irlande d'origine ? A se demander si ces gens ne nous auraient pas un peu Brexité juste parce que nous sommes des gros dégueulasses ...

Bref, même loin des scènes, on passe d'excellents moments en ratant d'excellents concerts (x25x par exemple), et tout le monde est content ! D'ailleurs comme à tout festival, pas mal de spectateurs semblent faire de même et profiter simplement d'une déambulation : comparé à la canicule il y a une semaine, et à la pluie il y a deux jours, le temps est finalement super agréable !

D'autres glandouillent gentiment devant les bars et assis sur des marches : la rue étant pour une fois dégagée de bagnoles, on peut s'asseoir partout sans avoir le nez dans le cul généralement crasseux d'un scooter ou d'une voiture, et c'est bien agréable aussi ! Plus tard dans la soirée il faudra d'ailleurs allez les baratiner presque individuellement, les flâneurs, pour les convaincre de quitter la Consolat avant qu'elle redevienne bagnolarde et plutôt moche pour les prochains 364 jours...

Un moment sera quand même passé à Jack Face, un putain de bon groupe de metal qui tente de faire imploser la Ferronerie, le petit théatre tremblant de tous ses parquets (quel contraste avec Catherine Vincent !). Avec une basse à 5 cordes et une guitare à 7, autant dire qu'on est pas là pour vendre des cravates : c'est un vrai bonheur pour les amateurs, d'autant que le groupe semble expérimenté et a un son vraiment bien en place.

Un pur moment de jouissance même pas spécialement régressive, pendant les 10-12 minutes passées avec eux. Parmi les curieux, on constate que même un public non instruit à la chose (et qui ne payerait donc pas pour les voir), semble apprécier ce type de musique dite extrême et y prendre un certain plaisir ! Note pour plus tard, toujours avoir un groupe de metal sans concession dans la prog', toujours !

Par contre et même si les deux sonnaient bien aussi, je n'ai vraiment vu que quelques instants de Le Détail, je n'ai objectivement pas pu apercevoir quoi que ce soit de Los Bankalos (toujours au Mounguy, mais là vraiment plein à péter) : il n'y a que Swan Ink sur lequel je puisse tenter un avis.

Pas forcément ma tasse de thé musicalement à la base, j'ai trouvé de belles mélodies chez ces jeunes filles, une jolie présence de type bête-en-cage chez la chanteuse (qui tentait de trouver son espace sur trois mètres carrés, sans écraser nos enfants qui dansaient dans ses pattes) tout comme chez sa guitariste (qui faisait ce qu'elle pouvait pour couvrir le vacarme de la rue sans écraser leur son). Pop lunatique, en effet, un peu barrée, ça détonnait dans une programmation rock sans pour autant être hors-sujet, une belle surprise au final et un beau succès !

Pour terminer ce copieux après-midi, Laydown et son garage rock efficace et d'abord assez anodin, n'a eu qu'à rameuter toute la rue en tant que dernier concert programmé ici ! Puis, une fois le chaland appâté, leur musique s'est dirigée vers du plus trippant, du lancinant, du plus bruyant d'ailleurs, du qui vous vrille le cerveau l'air du rien, du qui vous capture dans ses filets façon Thee Oh Sees et compagnie !

Le public a donc été à ce point hypnotisé qu'il n'a remarqué ni les lampadaires qui s'allumaient, ni la nuit qui tombait, ni la programmation qui se terminait déjà, occupé à communier avec cet excellent et apparemment assez jeune groupe ! Allez donc convaincre des gens, après ça, de quitter une rue où ils ont passé un si bon moment, une partie étant encore à moitié perchée, et l'autre déjà à moitié bourrée...

Il a pourtant bien fallu le faire, et avec un certain succès à en voir les quelques 500 personnes ressemblées au concert final, au Kiosque des Réformés (soit un bon quart de ceux qui étaient passé dans l'après-midi, a priori !). Les The HOST, on y reviendra pas trop en détail ici (Concertandco les défend depuis toujours et puis ils sont un peu consanguins avec Phocea Rocks, en plus), y ont donc défendu une nouvelle fois avec classe leur excellent Sound the Charge !

Bien rodés, bien secondés en bas des escaliers par nos deux efficaces camarades de la sécurité (merci les gars !) pour convaincre les gens de ne pas monter danser, ils ont déroulé leur stoner rock que, comme toujours, j'ai foutrement bien apprécié en live, ayanten plus réussi mon défi personnel (et inédit pour moi à la Rue du Rock) de ne pas être complètement bourré à 21 heures...

J'ai donc eu cette fois-ci, le loisir de recueillir de nombreux remerciements chaleureux des gens (oui, même ceux qu'on essayait de virer gentiment de la rue Consolat), a priori tous ravi.e.s de leur journée en rock ! Il faut bien constater qu'en terme d'événement gratuit et ouvert à tout le monde, peu de choses fédèrent aussi bien le moutard en poussette et le punk à chien, le rockeur nez au vent et la voisine du quartier, le lascar en goguette et le bobo en balade, que la [notre, votre] désormais presque traditionnelle Rue du Rock !

Autant de gens qui vivent côte à côte sans trop se mélanger (Photo DoogMcHell, merci !), qui se regardent peut-être avec un peu de méfiance le reste de l'année, mais qui peuvent aussi tous se retrouver devant une guitare amplifiée avec le même plaisir, trivial et tribal, de simplement vibrer tous ensemble...

Alors Longue vie à la Rue du Rock !

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Critique écrite le 19 septembre 2016 par Philippe
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rue du rock : les dernières chroniques concerts

rue du rock : toutes les chroniques de concerts
rue du rock : la fiche artiste

Swan Ink : les dernières chroniques concerts

Phocea Rocks court-circuite Cambuza - Los Fralibos, Garces Kelly, Mr Thousand & Ramirez, Moon Rã, De la Crau, Swan Ink, x25x en concert

Phocea Rocks court-circuite Cambuza - Los Fralibos, Garces Kelly, Mr Thousand & Ramirez, Moon Rã, De la Crau, Swan Ink, x25x par Philippe
La Cambuza, Gémenos, le 10/06/2018
Bon, j'imagine que comme d'hab' si on veut garder en souvenir de cette journée inédite, un truc un peu plus présentable qu'une vingtaine de "likes" sur une page "Evénement" morte... La suite

Mesparrow, Swan Ink par Marcing13
nomad café marseille, le 10/12/2016
Nous nous rendons ce soir au Nomad Café pour une soirée intitulé Girl Power, pour une programmation exclusivement féminine comme le nom l'indique. Bizarrement c'est la première... La suite

Fiesta des Suds : Skip&Die vs Lindigo / Swan Ink / Louise Attaque / DJ Tony S / Lou Seriol / Baja Frequencia en concert

Fiesta des Suds : Skip&Die vs Lindigo / Swan Ink / Louise Attaque / DJ Tony S / Lou Seriol / Baja Frequencia par Lumak
Docks des Suds - Marseille, le 21/10/2016
Pour cette 25ème édition de la Fiesta des Suds, je suis arrivé aux dernières secondes de The dizzy Brains au Cabaret, ça joue fort et à fond (bouchons indispensables), c'était le... La suite

Swan Ink : toutes les chroniques de concerts
Swan Ink : la fiche artiste

The H.O.S.T. : les dernières chroniques concerts

The Stranglers + the H.O.S.T. en concert

The Stranglers + the H.O.S.T. par Jacques 2 Chabannes
Le Mas Des Escaravatiers / Puget Sur Argens, le 11/07/2018
Docteur Martens et Mr. Black L'avant-match (et en VO, aussi...) via le Facebook officiel du groupe (https://www.thestranglers.net/). "Important notice: Due to the France v... La suite

The H.O.S.T. + The Coyote s Dessert + Philippe Petit + Russel Swallow (Sound The Charge Release Party) en concert

The H.O.S.T. + The Coyote s Dessert + Philippe Petit + Russel Swallow (Sound The Charge Release Party) par Philippe
Le Dock des Suds, Marseille, le 29/04/2016
Retenu en début de soirée par un bien agréable quoiqu'archi-bondé apéro-case velvétien (juste un jour parfait au Lollipop Music Store...), j'ai du traverser la ville en dinant... La suite